• Trois extraits d'articles permettant de mieux comprendre les problèmes du cinéma français, et les autres problèmes économiques liés...

     

    De même, quand Vincent Maraval avance la question des «fonds publics» et des «subventions» servant à payer des cachets à des hauteurs vertigineuses, il ne précise pas que cet argent public provient non pas des impôts (comme les vitupérations poujadistes ne manquent jamais de le laisser croire), mais des taxes collectées par le CNC sur les recettes des films français et étrangers exploités sur le territoire, ainsi que sur les diffuseurs internet.

     

    «Limitons à 400 000 euros par acteur - et peut-être un peu plus pour un réalisateur -, assorti d’un intéressement obligatoire sur le succès du film, le montant des cachets qui qualifient un film dans les obligations légales.»

     

    Le cinéma français repose sur une économie subventionnée et en 2012, à part Le Prénom, ses plus gros succès ont perdu de l'argent. Les chiffres des entrées n'ont rien de honteux, mais ce sont les budgets des films qui, trop élevés notamment à cause du salaire de ses stars, empêchent un long métrage de rentrer véritablement dans ses frais.

    Ce que je rajouterais, c'est que le cinéma non subventionné, tout comme n'importe quelle entreprise privée a l'obligation d’être rentable, pas le cinema subventionné, ce qui lui dommageable...

    Ce n'est un secret que pour la gauche française, qui elle ne connaît pas le mot «rentabilité». Sauf, pour faire payer ses déficits par l’impôt.

     

    Ayant vécu près de 20 à l’étranger, je peux témoigner de la faible représentation du cinéma français, sauf pour quelques exceptions, le plus souvent datant de 10 à 40 ans.

    Tant qu'aux filmes coproduit par la télévision, de par leur médiocrité ils ne passent que très rarement nos frontières. Ou alors dans des festivals eux aussi subventionnés...

     

    Dans le même mauvais sens economique, l'entreprise nationalisée est le plus souvent subventionnée car elle n'a pas d'obligation de gagner de l'argent, c'est l’impôt qui la subventionne et donc la met, elle et ses salariés, hors compétition productive et donc appauvrissante pour l’économie du pays...

    Encore aujourd'hui, la France continue à payer très cher les habitudes de facilités de gestion et l'absence d'obligation de rentabilité de nos anciennes entreprises nationales.

    Ce, par la non-obligation de toutes contraintes normales commerciales de ces ex entreprises nationales. Absences qui ont provoqué les débordements salariaux ainsi que les divers privilèges obtenus par les salariés et syndicats de ces entreprises.

     

    Débordements qui continuent à plomber notre économie et dont notre gouvernement de gauche a le plus grand mal à se défaire ...

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Acteurs français trop payés : un producteur lève le tabou

    C'est un vrai coup de gueule. Vincent Maraval, producteur, distributeur, fondateur de la société de distribution de films Wild Bunch, dont il est le directeur des ventes internationales, a trempé sa plume dans le vitriol pour écrire dans le journal Le Monde ce que …

    Le système du cinéma français paie-t-il trop ses acteurs ?

     

    Les bases de ma réflexion sont prises sur un commentaire anonyme correspondant à cet article

    « Il y a de quoi tomber à la renverse quand on lit l'article, l'exception culturelle! et bien voyons! »

     

    Des acteurs français sur un marché étroit, rarement vendu à l’étranger, (exception culturelle inexportable), mieux payer que dans le système mondial américain lui, très bien exporté !!!

    Un peu comme nos modèles d'impositions et de taxations, inexportables !!!

    Ou même, nos modèles syndicalistes ou fonction publique, tout aussi inexportables de par leurs spécificités rétrogrades et leurs coûts.

     

    Pourquoi, parce que l’état se mêle de régenter notre exception culturelle… Là, je suis sure que c'est une idée de nos bobos de gauche. Bobo dépourvue de toutes notions économiques et que cela dure depuis Mitterrand avec l’appui de nos divers ministres de la culture tous plus ou moins «BOBO» (droite et gauche confondus).

    Ce que je ne sais pas, c'est ou se trouve la « réalité » ou « vérité » du salariat (cachet) de nos acteurs. (affaire à suivre)

     

    En partant de cet article de presse,

    Un principe qui me semblerait juste, c'est que si le cinéma Français fonctionne sur subventions, c'est que les acteurs ne touchent plus de cachets mais des salaires, même si relativement élevés ce en rapport de leurs notoriétés et du risque de carrières non protégé, comme pour les sportifs .

    Salaires pouvant être améliorés, uniquement sur les bénéfices tirés de leur prestation, soit le succès financier du film. Idem pour les metteurs en scène et divers autres intervenants artistiques. 

    (Pour les acteurs les plus prestigieux il leur restera toujours la publicité et d'aller jouer à l’extérieur, si leurs besoins de gloire ou financiers ne sont pas satisfaits...)

    Mais surtout ne pas à être surpayé par nos impôts. Sinon, ce sont des fonctionnaires et ils doivent rentrer dans le cadre salarial de la fonction publique et de ses règlements.

     

    Dit également par mon anonyme,

    «Quand sera donc venu le moment d'avoir un homme politique, capitaine courageux, qui dénoncera et annulera tous les systèmes mafieux qui pompent continuellement nos impôts, et plus.»

    «Syndicats partisans, responsables politiques fonctionnarisés, fonctionnaires employés à vie et avec avantages rarement justifiés, EDF /GDF, POSTE, SNCF, et tous les autres encore liés aux avantages «fonction publique», à additionner les comités d'entreprises sur-financés sur les fonds publics, etc, etc ...»

    « Pendant ce temps les shadooks du gouvernement taxent et re-taxent tout ce qui est encore productif pour boucher les trous de notre économie en pleine dérive financière. » 

    Voir également sur le même sujet, le scandale des intermittents.

    « un quart du déficit de l'assurance-chômage (Unedic) "provient des intermittents du spectacle, qui ne représentent que 4 % des cotisants", souligne le patron de la CFDT. "Sur les dix dernières années, le déficit cumulé du régime des intermittents s'est établi à un montant proche de l'endettement total du régime d'assurance-chômage (9,1 milliards d'euros à la fin 2010) »

    Intermittents du spectacle, le scandale continue... (lien)

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  La CGT ne signera pas l'éventuel accord sur l'emploi Il est manifeste que la CGT ne signera pas un éventuel accord sur le marché du travail à l'issue de la négociation qui doit reprendre les 10 et 11 janvier. La centrale de Bernard Thibault affiche même une attitude de plus en plus hostile face à la politique ...

     

    Elle a bien raison notre CGT nationale, vaut mieux des chômeurs longues durées ou, de bons fonctionnaires avec tous leurs avantages, (dont ceux qui bénéficient à nos permanents Cégétistes).

    Également pour l’emploi de tous, la création de nombreux emplois aidés et subventionnés, inutiles et improductifs pour leur grande majorité, ou la nationalisation de toutes nos entreprises déficitaires pour le maintien d'emplois tout aussi déficitaires, le tout payé par nos impôts...

     

    A ce nivaux, on ne sait plus trop qui payera les impôts et les déficits gouvernementaux!  Ou, ce sera suivant les traditions communistes, par le recul du niveau de vie de tous, une obligation dans les pays où tout est subventionné et géré par l’État ...

     

    Tout cela vaut mieux, c'est sur, qu'un entrepreneur privé ou qu'un riche investisseur créateur d’emplois. Emplois obligatoirement, (de par leurs natures privées), productifs et donc porteurs de richesses nationales !!!

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Sur ces principes, que faire ?

     

    Faire payer plus d’impôts et de taxes, pour pouvoir plus aider nos chômeurs nos pauvres et entretenir notre fonction publique ?

     

    Ou, emprunter plus pour pouvoir continuer à couvrir les frais de notre système étatique ?

     

    Vraiment pour Monsieur Hollande et son gouvernement un choix politique. Mais aussi un choix moral vis avis de ses électeurs qui eux, attendent le contraire...

     

    Soit, moins d’impôts, sauf, pour les riches, les entrepreneurs, les investisseurs, soit tous les créateurs d'emplois ...

    Moins d'emprunt public,

    Plus de fonction publique et plus d'avantages pour cette dernière

    Plus d'emplois,

    De meilleurs salaires,

    Plus d'avantages sociaux,

    Moins de charges salariales,

     

    La fameuse quadrature du cercle promise par Monsieur Hollande et ses soutiens politiques.

     

    Soutiens politiques qui commencent à sérieusement se désolidariser …

     

    Monsieur Hollande et son gouvernement n'ayant pas réussi à résoudre cette équation, ce qui pouvait être prévu sans être un grand devin, (personne à ce jour n'a réussi).

     

    Ce qui me fait douter «sérieusement» du «sérieux» de notre gouvernement.

     

    Mais encore plus du «sérieux» de la gauche de l'actuel gouvernement, à avoir un jour la capacité de pouvoir gouverner notre pays, sans le réduire rapidement à l’état de pays socialiste sous-développé…

     

    Mentir électoralement pour avoir le pouvoir étant une chose assez immorale, bien que classique.

    Mais mentir en croyant en la réalité possible de ses mensonges économiques ou pire, utopies politiques, relève plus de la bêtise congénitale ou, de la flagrante escroquerie vis-à-vis des 15 ou 20 % de crédules.

     

    Aux dernières élections, un peut plus de 50% ...

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • La dépréciation de l'euro fait reculer la France dans le classement ...  Selon le Centre for Economics and business Research (CEBR), la France cèderait la cinquième place mondiale au Royaume-Uni en 2013. Pourtant, les performances économiques de l'Hexagone sont plus réjouissantes. Sur le même sujet. La France arrive ...

    La France, seulement 9ème puissance économique mondiale en ...

    Richesse: la France derrière la Grande-Bretagne en 2013



    Le résultat combiné de la baisse de l'Euro et de notre recul industriel ?

     

    Mais aussi, la deuxième raison de notre chômage !

     

    La première étant la sur-taxation de toutes nos activités ...

     

     

    Pourtant deux effets contraires, si la baisse de l'Euro augmente le coût de nos importations, (donc devrait les diminuer en nombre), en plus sensible pour la «bourse» des Français celui de nos achats d’énergie qui eux aussi augmentent automatiquement, (pétrole , gaz, etc. payer en dollars), importations obligatoires et qui pèsent également sur nos prix de revient.

     

    Cette baisse de l'Euro avantage nos exportations hors zone Euro, encore faut-il que nos taxations internes ne pénalisent pas les dites exportations.

     

    Ceci, étant notre gros problème actuel … (Notre système de production est trop taxé et, pour la consommation intérieure (concurrence des importations) et, pour l'exportation (concurrence internationale).

     

    Comme un petit oubli d'une certaine gauche préconisant la taxation ou la nationalisation de tout ce qui fait fonctionner l’économie. (Les entreprises, les entrepreneurs, les investisseurs, soit "l’ennemi N° 1" de cette gauche qui n'a à nous proposer en alternative que les modes de vie de Cuba ou de la Corée du Nord ...

     

    Pas très motivante comme alternative.

    Celle d'une certaine gauche qui oublie que pour que l'industrie emplois, il faut qu'elle investisse et quelle vende. Pour quelle vende il faut que ses prix de vente et donc de production soient compétitifs

    Basique, mais totalement oubliés par nos «va-t-en-guerre» de gauches et d’extrêmes gauches y compris nos écologistes les plus bornés.

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires