• Je pars en vacance ... Ou plutôt je vais voir ailleurs, en Europe, si le climat social et économique est meilleur, les fonctionnaires moins nombreux et sans privilèges , les syndicalistes moins stupides et politisés mais quand même défendant les ouvriers, les politiques plus honnêtes, moins fonctionnarisés et donc, ne vivant pas sur la planète Mars.

    Je pense que je n'aurais pas de mal à trouver mieux que l'esprit morose et politiquement pourri de mon pays, la France, soit trouver de l'herbe plus verte ...

    En attendant, pour vous distraire, les turpitudes de nos politiques, (Martiens), de tous bords vus par d'autres des meilleurs que moi. (Et la matière première ne manque pas).

    C'est pas triste, « on » rigole bien dans notre France "politicoaffairiste"... 

    Mais c'est vraiment consternant ... Pour l'instant c'est la droite qui en prend plain la "gueule", au prochain et inévitable retournement, ce sera la gauche qui ne vaut pas mieux coté honnêteté et qui de plus, en aggravant, reste la représentation caricaturale de la nullité orgueilleuse.

     

    A savoir, plus de 80 % de nos responsables politiques actuels sont des fonctionnaires... Et, au total, nous en avons plus de 6.000.000 de fonctionnaires à entretenir sur ces modèles d'incompétences ...(Heureusement, le plus souvent, la base, bien que trop nombreuse, est plus honnête... Là non plus, pas tous, beaucoup trop de profiteurs...)

    Notre actuelle ruine.

     

     

    Magouilles, affairismes, incapacités, même nulité, notre france politique ...

     

    Pour rire de bon cœur ...

     

     

    Allocution de François Hollande : le pédalo a encore rétréci

    Lien directe en fin ...

    C’est avec un peu d’étonnement que j’ai appris que Hollande allait intervenir sur les médias, étonnement qui s’est rapidement mêlé de consternation en entendant ce que le président avait à dire. Cela méritait-il vraiment d’interrompre toutes les rotatives et tous les journalistes en radio ? Franchement, je me demande.

    la dialectique peut elle casser des briques

    Parce qu’en cinq minutes d’une intervention menée à un rythme qui ne ressemblait pas à celui, lancinant, qu’il impose d’habitude à ses auditeurs, ce qu’il a dit n’a pas franchement cassé des briques.

    Après avoir passé un petit savon sur les électeurs du FN, qui n’ont vraiment pas été gentils, lui font mal à sa France et mettent ce beau pays, le phare de la Liberté et des Droits de l’Homme, dans une sale posture vis-à-vis des autres membres européens, Hollande a fermement décidé de faire porter le chapeau à son prédécesseur et à la conjoncture très difficile (mais surtout pas lui), puis s’est fixé comme mission de réformer la France et de réorienter l’Europe, parce que bon, ça suffit à la fin, maintenant, c’est décidé, il faut faire des choses.

    Voilà donc le capitaine de pédalo qui annonce vouloir agiter ses petites cannes de serin pour draguer derrière lui tout le paquebot européen. On y croit très moyennement, d’autant moins que son frêle esquif a encore rétréci au lavage électoral, et ne mesure plus guère qu’un petit 15% (si on oublie l’abstention, et 6.1% sinon). Mais il y tient : avec sa nouvelle légitimité turgescente et vigoureuse, il va réorienter l’Europe, d’autant plus qu’il va mener une réforme du Tonnerre De Brest en France, vous allez voir, ça va cogner du chaton mignon.

    hollande alibi

    Oui, vous avez bien lu (et pour les plus courageux d’entre nous, vous avez bien entendu), il entend réformer la France à grand coup de plans d’actions, de pactes trucs et de dépoussiérage institutionnel machin. Cette affirmation soudaine à vouloir changer les choses interroge. D’une part, on se demande pourquoi il ne s’y est pas mis plus tôt. Même en imaginant qu’il lui ait fallu un an pour prendre la mesure de l’ampleur de la crise, la deuxième année aurait largement dû être consacrée à mettre en place les réformes structurelles qui permettraient, justement, de relancer la croissance, ou, au moins, de stabiliser la situation, arrêter l’hémorragie d’emplois, de reboucher les paniers percés des administrations, bref, insuffler un vrai vent de réformes profondes.

    D’autre part, on attend toujours les détails de ses pactes divers et variés, annoncés pour certains depuis la fin de l’année dernière. Si la mise en place des réformes demandera bien évidemment du temps, annoncer précisément de quoi il va retourner n’en prend guère, et composer des grandes lignes pour préparer l’opinion à ces réformes ne nécessite surtout que du courage. Les données, on les a depuis des lustres. Les domaines d’actions sont connus. Les méthodes ne sont, malheureusement, pas pléthore et les marges de manœuvre ont même tendance à se réduire, ce qui laisse peu de place aux tergiversations chronophages. Mais apparemment, l’actualité a été trop chargée ces derniers temps puisque nous n’avons eu ni les grandes lignes, ni le détail de ces réformes, juste leurs noms sous forme de slogans publicitaires et de jingles acidulés.

    quand valls économise un chaton mignon prend cher

    Et du côté européen, il prétend pouvoir réorienter tout le paquebot Europe. On se demande où il est allé pécher une idée pareille, mais deux petites secondes de réflexion montrent qu’il ne le pourra pas. D’abord, parce que le Parti Populaire Européen (la droite européenne, donc) a toujours la dragée haute. Ensuite, il faut bien admettre qu’actuellement, ceux qui ont le vent en poupe, ce sont largement plus les anti-européens que les pros, et certainement pas le PSE (parti socialiste européen) qui a perdu pas mal de sièges et n’a toujours pas la majorité au parlement. Et enfin, les récentes élections, toutes bleues marines furent-elles, n’ont pas changé la donne européenne : les équilibres sont identiques, les gugusses sont globalement les mêmes. Hollande n’a rien pu réorienter en deux ans d’Europe, on ne voit pas ce qui pourrait changer maintenant. Et ce n’est certainement pas avec sa nouvelle crédibilité qu’on n’aperçoit plus maintenant qu’avec un microscope à balayage électronique qu’il va pouvoir déclencher autre chose que des sourires amusés parmi ses collatéraux à Bruxelles.

    hollande : habemus blagounette

    Avant même d’avoir entendu le chef de l’Exécutif s’exprimer sur les résultats de campagne, il était légitime de se demander s’il y avait réellement matière à commenter de sa part.

    Après tout, le peuple, souverain, a voté, et a mis une solide calotte aux partis de gouvernement : il n’y a guère à discuter. Après tout, l’élection implique des députés européens, et si elle est probablement un défouloir pour les électeurs, ne change pas l’équilibre des forces en présence dans le jeu national : il n’y a donc en France rien qui change fondamentalement. Après tout, le bonhomme est en place pour encore trois ans et peut, si cela sent vraiment le roussi, dissoudre l’assemblée ; moyennant le scrutin à deux tours, il aurait probablement une droite pas trop extrême en face de lui pendant le reste de son mandat, ce qui sera amplement suffisant pour la griller définitivement et être réélu quasiment dans un fauteuil. Bref : même un échec pareil ne le remet pas directement en cause.

    Alors, sérieusement, pourquoi a-t-il pris la parole ?

    Quel conseiller à moitié débile lui a proposé une manœuvre aussi délicate, et pire, quel hydrocéphale lui a pondu un texte à ce point navrant ? Prendre la parole devant le peuple à la suite d’une telle rouste demande effectivement du courage, mais cela se transforme en pure inconscience si c’est pour ensuite se placer, encore une fois, dans un nouveau piège rhétorique. C’est à se demander si Hollande, parfaitement conscient de son inamovibilité, ne se moque pas ouvertement du peuple français. Alternativement, il est totalement inconscient du décalage de son attitude par rapport à ce qui est demandé et ne comprend pas qu’ajouter une grosse louchée de langue de bois sur la débâcle de dimanche ne fait qu’attiser l’irritation générale, tant chez ses opposants que, pire, chez ses partisans (dont le nombre continue de diminuer).

    De façon claire, prendre la parole pour un résultat aussi calamiteux laisse pour le moins perplexe. Si l’on écarte la possibilité qu’il ait lancé cette idée en l’air, pour rire, entre deux tartines au petit-déjeuner, et que tout son staff, aussi servile que perdu, ait embrayé aussi sec, on est forcé d’imaginer que cette prise de parole répond à une stratégie particulière. Bien évidemment, on en sera réduit aux pures spéculations, mais peut-être le message d’hier ne s’adressait-il finalement pas aux Français. Peut-être était-il plutôt dirigé vers l’extérieur, ce monde qui nous regarde un peu, consterné par les résultats, et que Hollande a bien maladroitement tenté de rassurer, tant sur le plan politique que sur le plan économique avec ses promesses de réformes, pour l’instant sans substance concrète. Peut-être aussi ce message s’adressait-il à ses propres troupes sur le mode « Tenez bon, j’ai compris qu’on barbotait dans le purin, on va s’en sortir », impossible à faire avaler.

    Difficile à savoir. La seule impression qui surnage est que le chef de l’Exécutif semble s’être fait dicter sa conduite par un parti tiers, qu’il est balloté par les événements et ne montre aucun signe de savoir où il va… mais qu’il y va quand même, à tout hasard.

    Vraiment, tout ceci n’est pas très rassurant.

    http://h16free.com/2014/05/27/31437-allocution-de-francois-hollande-le-pedalo-a-encore-retreci

     

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  • Madame Aubry, êtes-vous, bien sûr, que ce sont les "travailleurs" qui souhaitaient les 35 heures et non vos fonctionnaires pour essayer de régulariser (conforter vis à vis du public) leur faible présence, (honteuse), mais bien "faiblement" réelle au travail.

    À mon avis, les ouvriers, les vrais auraient mieux aimer continuer sur la base des 40 heures, avec un salaire correspondant... Ces gens que vos syndicats négligent, n'ont pas plus peur du travail que leurs patrons ...

    Ce sont eux tous, ouvriers, employés cadres et patrons dont le revenu final dépend de leur travail. C'est bien eux la France, la vrais, et non les trop nombreux glandouilleurs syndiqués de notre fonction publiques et autres privilégiés dont le revenu dépend de l'état.

     

    Ils ont votés FN nos ouvriers et employés ... Comme leurs patrons et, pour les mêmes raisons ...



     

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  •  FN en tête : le crépuscule des eurocrates ???

     FIGAROVOX/CHRONIQUE - Pour l'économiste, l'opacité du processus de décision européen, la morgue de certains hauts fonctionnaires, l'impuissance du Parlement expliquent le retour de flamme populiste aux élections européennes.

     

    Cri de victoire ... Avec 26 % des voix sur moins de 50 % d'électeurs, c'est très bien, mais dans la réalité pas très représentative ni des Français, ni des Européens...

    Quand même, je reconnais, cri de victoire mérité pour un parti politique qui à quand même su fédérer le réel mécontentement des Français dans une opposition devenue la plus crédible de nos oppositions par sa vision d'un mécontentement général vis-à-vis de nos classes politiques traditionnelles.

     

    Classes politiques qui, ont depuis de très, trop, nombreuses années rien d'autre à proposer que leurs tristes magouilles politiciennes...

    Magouilles politiciennes qui nous ont amenées à notre très peut enviable situation économique... Les uns, la droite, par faiblesse, (peurs des syndicats et électoralisme)... Les autres, nos socialistes de tous bords pour les mêmes raisons, sauf qu'ils sont eux même les initiateurs ou, au minimum ont été « les souteneurs » de nos irresponsables syndicalistes fonctionnarisés). Raison à laquelle, toujours pour la gauche, et en aggravant, il faut également ajouté l'utopie, pour ne pas dire une profonde bêtise sur les raisonnements économiques, et même, les moraux...

    Soit, une classe politique française gauchisante qui se croit supérieure, mais reste totalement hors des réalités de vie du pays et même de celles de leurs discours...

     Mêmes, s'ils essaient de nous faire croire le contraire, classe politique n'étant pas mieux lotie sur le plant moral que ceux de l'UNP ou, de toutes autres droites ou extrêmes droites qu'ils jugent, du haut de leur " triste socialisme à la française", lui, totalement ringard et, de plus, uniquement de parole.

     

    Droite qu'ils jugent immorale, sans se regarder...

    Le seul intérêt de tous ses gens et beaux parleurs de nos classes « dites dirigeantes » qui se prétendent être qualifiés pour nous gouverner.

    Leur seul intérêt à tous, et le plus basique, reste l'attrait du pouvoir et de l'argent qui va avec...  Et ce, du haut au bas de l'échelle hiérarchique, y compris pour ceux de l'extrême gauche et de l'extrême droite.

    Pour le FN, ce parti politique n'ayant jamais gouverner, contrairement à l'extrême gauche,( ex URSS et autres joyeuses dictatures de gauche, idem pour celles tout aussi joyeuses d'extrême droite), mes paroles ne peuvent être qu'un procès d'intention argumenté par un nombre non négligeables d'impossibilités économiques de leur programme et, même d'impossibilités de gestion humaine ...

     

     

    Vitoire... de qui, de quoi, au bénéfice de qui ???

    Vitoire... de qui, de quoi, au bénéfice de qui ???

    Apparemment, il n'a pas compris et c'est tant mieux ...

     

     

     

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  •  Depuis pas mal d'années l'on nous bassine à pleines pages, écrans, radios, pour nous expliquer que les riches s'enrichissent et que les pauvres s'appauvrissent.

    Dans la réalité, une seule ligne ou quelques mots suffiraient à le dire ... Mais pas à le prouver ...

    Mais, une autre ligne suffirait à démonter que, concernant la France, ce n'est pas en taxant les riches à 75 % et, en piquant en plus, 60 % sur le travail productif des français que le quotidien des pauvres s'améliorera :

     

    Jamais depuis 2012 les Français n'ont été aussi taxés et jamais il n'y a eu autant de chômeurs, autant de défaillances d'entreprises, autant de pauvres...

     

    Mais aussi, autant de fonctionnaires et autant de dette publique.

     

     

    Une courte vérité...

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  •  

    Il faut voter pour une Europe forte, elle seule est capable de nous protéger de la gourmandise financière de nos élus gauchisants, fonctionnarisés et corporatifs à vie.

    Votez pour qui vous voulez,

     

    Mais surtout ne votez pas pour un fonctionnaire, il n'a qu'une idée, avoir le pouvoir de vous plumer pour améliorer ses fins de mois et celles de sa caste …

     

    Votez...

     

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