• À titre personnel, je n'y crois pas trop, je pense juste que notre planète est dans un de ses cycles de réchauffement naturel... (Si dans ce réchauffement certains pays vont y perdre, d'autres, les aujourd'hui trop froids pour l'agriculture, vont y gagner...)

     

    Pour les futurs plumés du "peut etre" réchaufement de la planette...

     

    Donc maintien d'un certain équilibre alimentaire et quelques migrations en prévision, la terre en a toujours connu de ces grandes migrations... 

     

    Mais là, par la prise en main gouvernementale, question "gros fric" et "contrôle du genre humain", ce sera tout benefices...

    Probablement, pour les tenants d'un gouvernement mondial, et les vendeurs d'écologie "payante"...

     Ce sera  l'affaire du millénaire... 

     

     Pour les futurs plumés du "peut etre" réchaufement de la planette...

     

    Il y en pas mal qui vont se faire un fric monstre sur "l'affaire du millénaire", surtout les politiques, puis les grandes banques ... 

    Déjà, notre Hollande national, "organisateur avec arrières pensées électorale et fiscal"...

    Va bien et, très rapidement, y trouver l'occasion de quelques  nouveaux bons et juteux "plaçous" pour ses amis + de quelques "bonnes et juteuses taxes" en accompagnement.

     

    Pour les futurs plumés du "peut etre" réchaufement de la planette...

     

     

    COP21 : il va falloir passer à la caisse

    Publié Par Contrepoints, le 31 octobre 2015 dans Édito, Fiscalité 

    Changement climatique : le discours de peur n’a qu’un seul but, ouvrir tout grand les poches des contribuables ! 

     

    Par Laurent Dupont (membre du Collectif des climato-réalistes).

    image: http://www.contrepoints.org/wp-content/uploads/2015/09/COP21-onu-rené-le-honzec.jpg

     

    COP21 onu rené le honzec 

    En prévision de la COP 21, les médias, gouvernants et ONG ont repris avec une ardeur renouvelée, à grands renforts de projections délirantes, un discours millénariste pour décrire les conséquences inéluctables et cataclysmiques d’une montée des températures « si on ne fait rien ». Car tous y ont un intérêt vital ! Les gouvernants pour afficher quelques résultats dans un domaine faisant a priori consensus, sauver la planète, ce qui est de nature à redorer le blason d’un président en apnée dans les abimes sondagiers.  Avec l’espoir fou que cette révolution verte génère des emplois par millions, ce que traduit bien le premier objectif de la loi de transition énergétique « favoriser une économie compétitive et riche en emplois ». De toute façon, pour créer des emplois, il n’y a pas de plan B. Les ONG y voient enfin l’occasion de renverser ce vieux modèle productiviste et consumériste pour faire éclore un monde plus juste, plus égalitaire, bref, les vieilles lunes marxistes. Les institutions internationales, elles, y décèlent l’opportunité d’aboutir à la formation d’un embryon de gouvernement mondial leur permettant enfin de peser de tout leur poids et de s’affranchir de tous ces peuples et gouvernements qui freinent la bonne marche libérale du monde. Des intérêts très divergents donc, mais avec un objectif commun, la réduction du CO2, à tout prix. Car tout ce discours de peur n’a qu’un seul but : mettre les peuples en condition pour accepter ce passage obligé, et accessoirement d’ouvrir tout grand leurs poches. Car cette « transition » a un coût, immense ! C’est la bourse (au carbone) ou la vie. Après le pilonnage de l’artillerie médiatique, c’est donc maintenant la charge des fantassins fiscaux qui sonne. Et avec l’imagination fertile qu’on leur connait, l’addition va être particulièrement salée.

     

    Dans un premier temps, les pays les plus riches doivent trouver les 100 milliards de dollars promis aux pays les plus pauvres pour faire face au dérèglement climatique. Ces 100 milliards correspondent au montant mythique sorti du chapeau des négociateurs en toute fin de conférence de Copenhague pour échapper au désastre diplomatique qui s’annonçait. Le Monde retrace, dans une avalanche de chiffres, toute la gymnastique financière à laquelle l’OCDE a dû se livrer pour tenter d’estimer la somme déjà versée depuis cette date. Car si, pour ce beau monde, il est particulièrement aisé de mesurer la température de la planète à 0,1°C près sur l’ensemble du globe, comptabiliser les transactions financières s’avère une épreuve quasiment insurmontable. Après de savants calculs, c’est pour l’instant 61,8 milliards de dollars de financements climat nord-sud en 2014 qui auraient été réalisés. Le mieux placé pour livrer une synthèse claire et précise de ces chiffres était Michel Sapin, vieux briscard du noyage de poissons, qui en a connu d’autres après quelques années d’annonces mensuelles du chômage en France. Il a donc synthétisé ces résultats dans une formule susceptible d’embrumer les esprits les plus lucides :

    « Le chiffre ne fait pas fuir ceux qui ont besoin de ces financements et n’ont donc pas de raison de se désespérer… Il ne fait pas fuir non plus ceux qui vont avoir à augmenter leurs efforts, puisque l’écart entre 61,8 et 100 milliards, d’ici à 2020, n’est pas hors de portée. »

    Nous voilà donc rassurés : le petit delta financier de 38 milliards à trouver n’est pas hors de portée ! Et tant mieux, car pour 100 milliards, aujourd’hui, t’as plus rien. Ce que confirme benoitement Le Monde : « Que représentent 100 milliards face à l’immensité du chantier de la lutte contre le réchauffement climatique ? » Un « négociateur chevronné » penche effectivement pour un autre ordre de grandeur : « c’est presque une distraction, il faut réorienter des milliers de milliards d’investissements ». Ce que confirme l’ONU, avec des coûts d’adaptation estimés pour l’ensemble des pays en voie de développement compris « entre 250 et 500 milliards par an à l’horizon 2050 ».

    image: http://www.contrepoints.org/wp-content/uploads/2015/10/finances-climat-rené-le-honzec.jpg

     

     

     

    finances climat rené le honzec

     

    En savoir plus sur http://www.contrepoints.org/2015/10/31/227390-cop21-il-va-falloir-passer-a-la-caisse#ItcH5QsPSvTcbIZJ.99
     
     
     
    Dans ce passionnant match à la surenchère, c’est finalement Les Échos qui emportent haut la main le trophée : «  Les économistes ne se risquent plus à donner des chiffres mais jugent le coût potentiellement infini. » Encore une belle leçon des économistes aux climatologues, qui jouent, eux, petits bras pour chiffrer l’augmentation des températures à l’horizon 2100. L’infini, ça a de la gueule, non ?

     

    Cependant, il ne faut pas accabler les économistes. Car on comprend que chiffrer les prédictions de Jean-Marc Jancovici, un des papes auto-proclamés de l’énergie, s’avère une tâche ardue, de nature à rebuter les âmes sensibles :

    « Imaginez un monde où 30 % de l’humanité aurait succombé par maladie d’ici à 2089. Un monde où la moitié du globe serait devenue un désert en 2080. Un monde où le Gulf Stream aurait disparu en 2120. Tous ces événements sont possibles dans le cadre du réchauffement en cours. »

    Pour sa part, en ce qui concerne le fonds de 100 milliards, Le Figaro ne s’inquiète pas et annonce la mise en place de « financements innovants ». En fait d’innovation, revoilà le serpent de mer de la taxe sur les transactions financières, qui n’a toujours pas été mise en place en Europe malgré des annonces récurrentes. Du coup, nos sénateurs suggèrent une piste là encore particulièrement innovante : la taxation du carburant des transports aériens et maritimes. Ce n’est au passage pas une idée très charitable pour les dirigeants d’Air France, qui risquent de ne plus sortir torse nu de leurs négociations syndicales, mais en slip.

    La sénatrice Fabienne Keller a donc compris tout l’enjeu de la COP21, prévue par beaucoup comme une formidable machine à faire accepter de nouvelles taxes :

    « La conférence de Paris est l’occasion unique d’en faire approuver le principe. Même s’il ne s’agit que d’une taxe de quelque dixième de point sur le prix du carburant. »

    Ayant acté le principe de cette nouvelle manne financière, nos élus, jamais à court d’idées, en trouvent une tout aussi vite pour la dépenser : jugeant insuffisante la contribution nationale en faveur des pays pauvres pays en voie de développement pays émergents Pays les Moins Avancés (PMA), ils souhaitent une augmentation substantielle de l’enveloppe pour lesdits PMA. Et ils en profitent pour déplorer au passage que les engagements climats de la France se fassent sous forme de prêts et non pas de dons comme le pratique l’Allemagne.

    Mais nos sénateurs ne sont pas les seuls à phosphorer sur de nouvelles taxes. Le Parisien nous apprend ainsi que, pour Christine Lagarde, présidente du FMI, « c’est simplement le bon moment pour introduire une taxe carbone », qui constituerait « un matelas de sécurité » pour « les ministres des finances [qui] cherchent des sources de revenus ». Elle affiche au passage sa préférence pour une taxe carbone par rapport au système concurrent d’un marché carbone.

    Pas question pour la France d’afficher une préférence de ce type : enfants gâtés, nous bénéficions déjà des deux dispositifs. Dans un article sobrement intitulé « taxer le CO2, une solution pour le climat et pour l’économie » , Le Monde affirme qu’« une quarantaine de pays et une vingtaine de régions, provinces ou villes ont déjà mis en place ou s’apprêtent à le faire, un système de tarification du carbone » avec la précision incantatoire de circonstance : « Et cela sans nuire à la compétitivité économique des États ou collectivités concernés. » Cependant, les prix des quotas en Europe, ne sont que de 5 € la tonne de carbone, du fait, notamment « d’une récession économique ». Avec la reprise flamboyante que nous connaissons, il devient donc urgent d’augmenter le montant de ces quotas et à cette fin, une « réforme du marché communautaire du carbone est en cours ». Par la suite, pour éviter que les prix ne redescendent trop à cause d’une bête récession, Ségolène Royal avance une idée séduisante :

    « pourquoi en France ne pas avancer dans le bon sens, avec un prix plancher du quota de CO2 pour le secteur électrique ? »

    Quant à la taxe carbone, elle répond dans notre pays au doux nom de « contribution climat énergie » et s’applique aux combustibles et carburants d’origine fossile. C’est une taxe progressive, qui va passer de 14,5 € la tonne de CO2 cette année à 56 € en 2020 et 100 € en 2030. Un discret facteur 7 inodore et sans saveur, comme le CO2, qui couplé avec l’augmentation prévue du prix des quotas devrait sans nul doute continuer à ne pas « nuire à la compétitivité » des États et entreprises.

    Il ne s’agit donc plus maintenant pour les occidentaux que d’exporter les bonnes médecines qu’ils ont concoctées pour sauver la planète. La Banque mondiale préconise ainsi que « tous les pays développés et émergents s’engagent à mettre en place une tarification du carbone d’ici à 2020 ».

    Du côté des PMA, on s’organise pour tenter de capter une partie de cette précieuse pluie de dollars qui s’annonce. Les Échos nous apprennent ainsi la formation du V20, constitué des 20 pays les « plus vulnérables aux changements climatiques ». On retrouve bien entendu toutes les « îles menacées d’engloutissement par la montée des eaux du fait du réchauffement climatique » (Kiribati, Maldives, Tuvalu, Vanuatu…). Ils préviennent gentiment que :

    « En l’absence d’une réponse globale effective, les pertes économiques annuelle dues au changement climatique pourraient excéder 400 milliards de dollars d’ici à 2030 pour les pays du V20 avec un impact surpassant de loin nos capacités locales et régionales. »

    Il faut donc des fonds ! Et l’ONU appelle donc à « un financement ambitieux et rapide » en leur faveur. La Banque Mondiale, qui ne veut pas être en reste, estime que ce groupe « jouera un rôle important pour favoriser de plus amples investissements climatiques et mettre en place une croissance faiblement carbonée au niveau domestique et international ».

    Le passage par le tiroir-caisse risque donc d’être particulièrement douloureux pour le contribuable. Et on comprend donc que les grincheux et les pisse-froid qui osent remettre en cause le bien-fondé de cette « nécessaire » transition énergétique subissent un accueil des plus tièdes. Car dans ce cas, c’est tout l’édifice qui risque de s’effondrer, le business plan qui est remis en cause. Alors… qu’on se le dise : le plateau de températures global n’existe pas et n’a jamais existé, les glaces de l’antarctique ne s’étendent surtout pas, pas plus que la population d’ours blancs ne se développe ! D’ailleurs, c’est bien connu, seuls les climato-sceptiques défendent des intérêts financiers…


    En savoir plus sur http://www.contrepoints.org/2015/10/31/227390-cop21-il-va-falloir-passer-a-la-caisse#ItcH5QsPSvTcbIZJ.99

     

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  • Juste de stupides pilleurs à détruire le plus rapidement possible.

    Et, par tous les moyens...

     

    La preuve du grand courage guerrier des Islamistes...

     

    Niger : Boko Haram abat 13 villageois

    Afrik.com  - ‎Il y a 8 heures ‎  
    Dans la nuit du 27 au 28 octobre, treize personnes ont été abattues par balle au Niger, dans le village de Ala, à une trentaine de kilomètres de la ville de Diffa, lors d'une attaque attribuée au groupe terroriste Boko Haram. Boko Haram continue de ...
     
    Niger: treize villageois tués dans une attaque attribuée à Boko Haram
     
    Nigeria : plus de 300 femmes et enfants otages de Boko Haram libérés par l'armée
     
    L'armée nigériane libère des otages de Boko Haram
     
     

    La preuve du grand courage guerrier des Islamistes... 

     

    Egalement, celle de la "connerie religieuse" de ceux qui se suicident en tuant leurs voisins, ce juste pour une "éventuelle" place peut-être dans un" paradis peuplé de fausses vierges.

    Et "si" ce paradis existe vraiment, il se trouve à être également peuplé d'assassins libidineux...  Ce qui est surprenant pour un paradis, lieu normalement réservé à ceux qui ont eu une vie exemplaire ???

     

    La preuve du grand courage guerrier des Islamistes...

    Ce sympathique musulman est au paradis...
    Je plain beaucoup les 100.000 vierges.


    Source : http://www.cordial-enligne.fr/index.php#ixzz3pxNmEXu6

    La justice turque confirme que l'attentat d'Ankara a été ordonné par l'EI

    L'Obs  - ‎Il y a 13 heures ‎  
    Ankara (AFP) - La justice turque a confirmé mercredi que l'attentat-suicide qui a fait 102 morts le 10 octobre à Ankara avait été commandité par le groupe Etat islamique (EI), dans le cadre d'une campagne de "terreur" destinée à faire annuler les ...
     
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  • Un gouvernement qui à tellement "la trouille du FN", (pas sans de bonnes raisons, vu qu'il fait tout pour), qu'il en est réduit au n'importe quoi...

     

    Un gouvernement qui marche de plus en plus à côté de ses pompes électorales...

     

    En campagne électorale pour les régionales et pour les prochaines présidentielles avec promesse de moult milliards inutiles et de plus inexistants, si l'on ne les piques pas à quelqu'un...

     

    Et là il y a saturation...

     

    + quelques centaines de nouveaux poste de fonctionnaires pour distribuer cet argent à, on se sait à trop qui ...

     

    Pour mémoire, la majorité des gens vivant dans nos banlieues difficiles, vivent déjà du généreux social à la française + de petits boulots et emplois sans avenirs...

    Emplois de plus en plus rares avec pour première cause les surtaxassions du travail nécessaire au financement de notre généreux social et de nos services publics...

    Plus de taxes, moins d'emplois, le cercle vicieux du socialisme à la française...

     

    Sans oublier les quelques-uns, (de plus en plus nombreux de nos gentils jeunes amis de la Taubirat), qui vivent de divers trafiques et vols, tout en refusant notre mode de vie laïc + l'école, (soit, l'éducation), allant avec...

    Un gouvernement qui marche de plus en plus à côté de ses pompes électorales...

     

    http://www.thierry-desjardins.fr/2015/10/valls-ne-connait-pas-le-sens-des-mots-quil-emploie/

     

    Manuel Valls veut combattre et supprimer « l’apartheid » qui, selon lui, sévit dans notre pays et plus particulièrement dans nos banlieues. Il l’a redit une nouvelle fois, ce matin, en visitant, entouré d’une flopée de ses ministres, Les Mureaux, ville pourrie s’il en est.

    A six semaines des élections régionales qui seront très vraisemblablement perdues pour la gauche en Ile-de-France comme dans la plupart des autres régions, même si elles ont été savamment redécoupées par les charcutiers électoraux du PS, il ne s’agissait, bien sûr, que d’une vulgaire opération électorale. Après plus de trois ans de pouvoir absolu, les socialistes tentent désespérément de récupérer cet électorat traditionnel qu’ils ont trahi, abandonné et cocufié au-delà du raisonnable, au point d’ailleurs que ces électeurs semblent de plus en plus tentés par un vote Front national quand leurs enfants ne basculent pas dans la délinquance ou dans l’islamisme radical pour déclarer la guerre sainte à la France, voire dans les deux.

    Que le Premier ministre ne se fasse aucune illusion. Ce n’est pas en évoquant vaguement les problèmes de l’emploi, de la sécurité et du logement et en promettant, tout aussi vaguement, quelques caméras de surveillance qu’il va inciter ces flots d’immigrés de toutes les couleurs, ayant trouvé leur carte d’électeur dans une pochette-surprise, vivant dans leur ghetto de misère, et sans le moindre espoir à re-voter pour la gauche.

    Mais ce qui est plus grave c’est que « le petit catalan » ignore totalement le sens des mots qu’il emploie. En faisant des moulinets avec le mot « apartheid », il pense, sans doute, donner mauvaise conscience aux Français dits « de souche » (ou même de fraîche date) et réveiller une administration qui, depuis des décennies, jette, sur ordre des gouvernements et du haut des tours et des barres de nos banlieues, des milliards d’euros à fonds perdus (sans doute pas perdus pour tout le monde d’ailleurs).

    Valls prouve simplement que sa culture générale ne lui a pas appris ce qu’était « l’apartheid » et l’Afrique du sud de jadis. « L’apartheid » c’était un système qui, le plus officiellement du monde, faisait des noirs sud-africains des « sous-citoyens » de dernière catégorie, n’ayant pas le droit d’aller dans les mêmes écoles, les mêmes hôpitaux que les blancs, ne pouvant pas remplir les mêmes emplois que les blancs, ne pouvant pas prendre les mêmes autobus, ni même habiter les mêmes quartiers que les blancs.

    Certes, on peut regretter qu’en France il y ait des quartiers (très) pauvres de tours lépreuses et de barres délabrées, peuplés exclusivement d’immigrés généralement au chômage et où tous les services les plus indispensables –magasins, médecins, policiers, etc.- ont déserté. Mais qui oserait dire que les Noirs ou les Arabes venus s’installer chez nous n’ont pas le droit à l’école de la République, aux hôpitaux de l’Assistance publique et à toutes les aides de l’Etat, de la Région, du Département et de la commune, innombrables dont ils sont même, bien souvent, les premiers à pouvoir bénéficier ?

    Parler d’« apartheid » est évidemment une escroquerie impardonnable de la part d’un Premier ministre, même en période de campagne électorale.

    Valls est un irresponsable qui, par ses mots, incite les jeunes de ces quartiers à l’insurrection et donne, par avance, raison à ceux qui incendient les voitures, saccagent les édifices publics et lancent des cocktails Molotov contre les forces de l’ordre. En même temps, mais c’est peut-être ce qu’il souhaite, il pousse les « braves » contribuables qui commencent à en avoir marre à se radicaliser dans leurs prochains votes.

    Ce n’est pas en fustigeant une société (qui a toujours su se montrer très généreuse envers les « défavorisés », il suffit de voir la part de nos dépenses sociales dans notre budget) qu’on ira vers le fameux « vivre ensemble » dont ils nous rebattent les oreilles. Pas plus d’ailleurs que ce n’est en faisant fuir « les salauds de riches » qu’on réduira la misère des plus pauvres.

    Valls veut venir au secours des victimes de ce qu’il appelle l’« apartheid français » ? Qu’il libère notre économie et leur donne du travail. Il y aura toujours des riches et des pauvres, mais dans les pays où on a libéré les entreprises, les pauvres sont moins pauvres. Mais n’était-ce pas là une des innombrables promesses du candidat Hollande

     

    Un gouvernement qui marche de plus en plus à côté de ses pompes électorales...

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  • Corto la fait et bien...

    Honte à nos politiciens récupérateurs et, journalistes en mal de cadavres frais et de familles éplorées... 

     

    Je voulais en parler, mais je suis en vacances, (pas très loint de ...)

    Par pitié, foutez la paix à ces pauvres gens, ils n'ont pas besoin de vous pour pleurer sur leurs morts...

     

     

    http://corto74.blogspot.fr/2015/10/les-chevres-de-puisseguin.html

     

    Avez-vous déjà eu l'occasion d'assister en live au déplacement d'un ministre de l'Intérieur? Moi, oui, et autant vous dire que cela ne rigole pas. Entre les gardes du corps, les escortes diverses, les accompagnateurs obligatoires et tout le tralala, ce à quoi vous ajoutez les médias qui se bousculent pour choper l'image, ce sont des dizaines de voitures et, au minimum une centaine de personnes. Alors essayez d'imaginer le bordel que cela peut être quand à ce ministre de l'Intérieur, vous rajoutez un premier ministre et un ministre des transport... 

     

     

    Et bien à chaque fois qu'il y a une cata, c'est le même bazar. Les autorités parisiennes se déplacent en masse pour montrer avec une démagogie à peine feinte qu'elles sont là. Les mêmes discours à chaque fois: compassion, solidarité de la Nation, un petit coup de valeurs républicaines, La France est en deuil, des blablablas qui font chouette à l'image et à l'oreille de ceux qui les prononcent. Les politocards passent, le cirque reste le même. On reprochait à Sarko son omniprésence sur le terrain, surtout quand il était ministre de l'Intérieur, et bien, c'est toujours le même cirque: Ils se rendent sur place !
     
    Même Juppé - on se demande bien pourquoi - a fait le déplacement. 
     
    " La classe politique dans son entier a manifesté son émotion " qu'il a dit Julien Arnaud.
     
    Ou,
     
    Nos faux culs électoraux...
     

     

     
    Alors vous me direz si ils n'y allaient pas, on gueulerait et s'ils y vont, on gueule, on critique...
     
    Que nenni, c'est la bousculade, se presser, être le premier sur le terrain que je critique.
     
    Non mais p'tain, peuvent pas attendre le lendemain ou le surlendemain ?, laisser les secours s'organiser et travailler, laisser les familles accuser le choc, peuvent pas faire une jolie déclaration, de Paris, faire les mêmes blablas, dire qu'ils ont le cœur qui saigne et que dès que les conditions le permettront, ils se rendront sur place ! C'est pourtant simple et ce serait, je le crois, compris par tout le monde ! Sans doute bien plus que ce trois petits tours et puis s'en vont, une heure ou deux sur place, à désorganiser tout le machin et à rentrer bien au chaud aussi vite qu'ils ont débarqué, en jet ou hélico, à la capitale. Non mais !
     
    Et l'autre là, l'Audacieux, "pleurnichard," pas de bol, il n'était pas au pays tout occupé qu'il est à caresser le Tsipras dans le sens du poil. Fallait qu'il cause quand même, fallait qu'il s'exprime, logique mais comme d'habitude, il aura tout gâché en déclarant " Je viendrai le moment venu " ... le moment venu, c'est quoi ça, le moment venu ? Le moment venu sera pour lui de rentrer vite fait au Palais pour savoir comment il pourrait récupérer le truc, monter une cérémonie machin, un hommage de la Nation... C'est même ce qui vient d'être annoncé sur Itélé: Président réunira ce soir un comité pour voir comment la Nation, bla-bla-bla... Rassurez-vous, braves gens, Président est là !  Le gouvernement est mobilisé ! Itélé et BFM aussi.
     
    Non, non, les Français n'ont aucunement besoin de s'approprier ce drame. Et n'ont pas envie de voir le truc être l'objet d'une quelconque récupération politocarde comme l'a fait, moins d'une heure après le drame, l'affreux Mamère. Ils n'ont pas envie de voir les experts en accidentologie se disputer, les cadavres encore chaud, pour savoir si la route ceci, le bus cela, le camion truc, etc...
     
    Tiens, la Marisol qui cause et qui en appelle à la solidarité nationale et à une minute de silence. Pas de bol, ils n'ont pas eu un attentat, ils ont eu un  terrible accident de la route, ça fera l'affaire pour raviver en quelque sorte, comme vient de le dire un spécialiste, l'esprit Charlie ! Pouah !
     
    Les médias ? Edition Spéciale ! M'en parlez même pas, c'est à celui qui aura eu, en premier, l'image du sinistre. A celui qui aura les mots les plus choisis - carbonisés, brûlés vifs, désincarcération, corps dans un état terrible, corps calcinés, la température devait être d'au moins 900° etc... - pour garder en haleine le téléspectateur, être au plus près, faire de l'audience... On se quitte pour une page de publicité et on se retrouve tout de suite après pour un peu plus d'horreur... Pouah, là aussi !
     
    Oui, tout cela manque bien de décence et de véritable compassion. Un peu de pudeur, serait-ce trop demander ?
     
    Désolé, Manu, la France n'est pas en deuil. La France a pris connaissance du fait qu'un bus et un camion s'étaient percutés et que 43 (ou 42, ou 41, on ne sait pas trop) personnes avaient péri. Point barre.
     
     

    Je voulais en parler, mais je suis en vacances, (pas très loint de ...)

     
    J'ai même "vu" un "expert" penser que les camions et les bus roulaient à l'essence... (bon, il ne nous à ne pas préciser si c'était ordinaire ou super ...)
     
     
    D'autres, nous dire qu'il fallait transformer nos petites routes bucoliques en autoroute...
     
     
    Ou encore les interdire aux camions et Bus...  (ils ne nous ont pas précisé s'il fallait détruire les milliers de villages construits "bêtement" le long de ses gentilles petites routes de campagne...)

    Je voulais en parler, mais je suis en vacances, (pas très loint de ...)

     

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  • Mais, à savoir, nous sommes un des pays européens les plus touchés par la corruption politique ??? 

     

    Tout politiques condamné ou même simplement acusé est une victime des autres...

    A droite, on savait... 

    À gauche, ils nous ont dit, pour se faire élire, qu'ils étaient honnêtes...

     

    Condamné pour corruption, le sénateur PS Philippe Kaltenbach dénonce un « coup monté »

    Le Monde  - ‎Il y a 1 heure ‎  
    Dès l'annonce, jeudi 22 octobre, de sa condamnation pour corruption passive à deux ans de prison dont un an ferme, assortie d'une amende de 20 000 euros et cinq années d'inéligibilité, Philippe Kaltenbach , sénateur socialiste des Hauts-de-Seine, a de ...
    Le sénateur PS Kaltenbach condamné à un an ferme pour corruption
    Bakchich contre HLM : prison ferme pour le sénateur PS et ex-maire de Clamart
     
     
    Et ces gens, nos politiques, qu'ils soient de droite ou de gauche, voudraient qu'on les croie et qu'on leur fasse confiance...

    Tout politiques condamné ou meme simplement acusé est une victime des autres...

     

    La France régresse dans la lutte contre la corruption

    www.lefigaro.fr/.../20002-20141203ARTFIG00231-la-france-regresse-d...
    3 déc. 2014 - La «perceptions de la corruption» en France ne cesse de se dégrader. En 10 années, la place de l'Hexagone au classement établi par l'ONG ...
     
     

    Tout politiques condamné ou meme simplement acusé est une victime des autres...

     
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