• Je commence, à plus que sérieusement douter de "l'honnêteté" financière et morale de ce couple... 

     

    Faux couple mais vrais complices se disant de gauche, mais ne respectant aucune des règles minimums de respect du contribuable, pas même celles du respect de son électorat de base. Électorat pourtant acheté à coups de recrutements hasardeux et coûteux, (surnombre et gaspillages financiers, le tout, entretenu à coups "d'incompétences hiérarchiques" et d'avantages sociaux...)

     

    Gestion "Hollandaise" et, celle de son égérie ou, ces gens qui veulent nous gouverner...

     

    Jamais la règle (politique) du dit "cochon de payeur" ne m'a semblée le mieux mis en application que par ce couple.

    Couple que je qualifierais, au fur et mesure de la montée de ses ambitions politiques...

     

    D'infernal de la politique...

     

     Gestion "Hollandaise" et, celle de son égérie ou, ces gens qui veulent nous gouverner...

     

    Elle, une ambition financière et honorifique sans limites, la transformant en véritable "jivaro" de la politique française.

    Gestion "Hollandaise" et, celle de son égérie ou, ces gens qui veulent nous gouverner...

     

     

    Lui, noyé dans les nuages de fumée d'ambitions politiques "hasardeuses" à la petite semaine...

    Que de plus, il se trouve à être incapable de mener à terme. (Pour la simple raison, qu'elles n'ont comme base que de l'enfumage politique.)

     

     

    Gestion "Hollandaise" et, celle de son égérie ou, ces gens qui veulent nous gouverner...

     

     

    la Corrèze sous la présidence de hollande devenu le département le plus endetté de France...

     

    Gestion "Hollandaise" et, celle de son égérie ou, ces gens qui veulent nous gouverner...

     

    Le Poitou Charente sous la présidence de Ségolène royale en passe de devenir l'ex-région la plus endettée de France...

     

    Gestion "Hollandaise" et, celle de son égérie ou, ces gens qui veulent nous gouverner...

     

    http://www.lepoint.fr/politique/poitou-charentes-quand-segolene-royal-jonglait-avec-les-millions-31-03-2016-2029162_20.php?M_BT=250109414953&m_i=3GhZLS8uHPLqQiX2lfOpYUncoJD_xtzTBVZg9hobg%2BeOCa2fs%2BXX_ljGA5J10KqkNvjggkgOaqgK%2B6xW81AHtG%2B%2B6Mes3q#site

     

    Et  encore

     

     

    Enquête : l’ardoise de la région Poitou-Charentes atteindrait un milliard d’euros

    ©

    Alors que le cabinet Ernst & Young doit dévoiler le jeudi 07 avril prochain, à la commission des finances du Conseil régional Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, les conclusions de son audit sur l’état des finances de la nouvelle collectivité et en particulier de l’ex-région Poitou-Charentes, nous sommes en mesure d’affirmer que la somme totale des engagements financiers pris par l’ancienne région Poitou-Charentes atteindrait un milliard d’euros, soit trois fois plus que la somme officielle de l’endettement affiché de 358 millions d’euros fin 2014.

    L’ex-région Poitou-Charentes a, en effet, eu recours à plusieurs systèmes de financement pour ses investissements, dont certains présentent un très haut niveau de risque de dérapage financier. Ces opérations financières, que nous allons détailler, permettaient à la majorité de Jean-François Macaire, d’afficher un taux d’endettement moyen par habitant de 202 euros fin 2014 (source Ceser Poitou-Charentes), très inférieur à la moyenne nationale des régions située à 303 €/habitant. Mais pour la nouvelle région ALPC, la facture risque d’être extrêmement salée et en particulier le financement en crédit-bail de l’achat de 32 rames TER.

    L’endettement bancaire : 360 millions d’euros

    Au 31 décembre 2014 (le dernier exercice comptable disponible), l’ex-région Poitou-Charentes présentait un endettement de 358,7 millions d’euros. Le taux moyen prévisionnel de l’encours était estimé début 2015, à 3,10 %, pour une annuité d’environ 41 millions d’euros. Cependant, la Chambre Régionale des Comptes a souligné dans son rapport d’observations de mars 2014, que « 16% de l’encours total de cette dette » fin 2010 (47,9 millions d’euros),« comportaient des facteurs de risques significatifs ».  Alain Rousset a, quant à lui, avancé le chiffre de 130 millions « d’emprunts structurés », autrement appelés « emprunts toxiques ».  Ces crédits ont des taux d’intérêts variables, indexés sur de très complexes calculs financiers, et peuvent être très avantageux les premières années, à moins de 3%, et devenir complètement incontrôlables avec des taux dépassant les 15%. Leur renégociation est très complexe et souvent très coûteuse, les organismes prêteurs imposant de lourdes pénalités financières.

    Le crédit-bail pour le financement des TER : 350 millions d’euros

    Pour l’instant, Alain Rousset n’a pas évoqué cet épineux sujet, alors qu’il présente pourtant un risque majeur de dérives financières pour la nouvelle région et n’offre pratiquement aucune porte de sortie. Ségolène Royal a fait le choix pour financer l’achat de 32 rames de TER à partir de 2007, d’avoir recours à une formule de crédit bail auprès d’un organisme bancaire. Le principe est simple : les rames de trains sont achetées par la banque, qui les loue ensuite à la région pendant une trentaine d’années, moyennant un loyer annuel. Au terme du contrat, la région peut racheter les rames pour l’euro symbolique. Cela évite à la collectivité d’avoir à augmenter son endettement du montant total de l’achat des rames, et lui permet d’inscrire chaque année, dans le budget de fonctionnement, simplement le montant du loyer annuel. L’opération n’apparaît donc pas dans le montant de l’endettement global.

    Cependant, cette formule, choisie également par d’autres collectivités locales comme la région Centre pour ses TER, ou la ville de Brest pour son tramway, présente un considérable inconvénient financier. Le coût total de l’opération s’annonce exorbitant. Ces 32 rames TER représentent une valeur commerciale d’achat de 175 millions d’euros. Selon les chiffres des annexes du compte administratif de l’ex-région Poitou-Charentes, elles coûteront au final (30 ans pour les unes, et 34 ans pour les autres) la somme de 354 millions d’euros, soit le double de leur valeur de départ. Cette formule présente un autre inconvénient majeur, l’augmentation chaque année du montant du loyer. Fixé au départ à 4 millions d’euros par an, il atteint 7 millions d’euros en 2014 et représentera 9,5 millions d’euros en 2018, avec une évolution extrêmement difficile à calculer, mais toujours très défavorable. Le président de la commission des finances, Olivier Chartier affirme que ce « dispositif est extrêmement dangereux » pour les comptes de la nouvelle région. Il est, enfin, quasiment impossible d’en sortir, car, selon un spécialiste, « il faudrait rembourser d’un seul coup l’intégralité des loyers restants ».

    Les engagements au capital de sociétés et les garanties d’emprunt 

    Là aussi, il s’agit d’une véritable bombe à retardement, au même titre que le crédit bail pour les TER. Selon les chiffres publiés dans les annexes du compte administratif 2014, l’ex-région Poitou-Charentes est engagée à hauteur de 93 912 291 millions d’euros auprès d’un nombre impressionnant de sociétés, soit au titre de participation au capital, soit comme garantie d’emprunt. Si les entreprises, en question, vont bien, c’est sans conséquence pour le budget régional. Si, en revanche, elles viennent à disparaître, la région devra assumer ses engagements. Un spécialiste explique : « si par exemple, elle est engagée à hauteur de 50% dans le capital d’une société liquidée, la région devra assumer 50% des dettes contractées par celle-ci ». Et il ajoute « ces sommes devraient normalement être provisionnées mais elles n’apparaissent pas dans les bilans ».  

    Le soutien de la BEI pour les lycées : 185 millions d’euros

    En décembre 2013, Ségolène Royal a signé avec la Banque Européenne d’investissement (BEI) un contrat de financement d’un montant de 185 millions d’euros destiné à financer des travaux de modernisation et de rénovation de 38 lycées et 15 établissements d’enseignement professionnel supérieur. A cette époque, le communiqué de presse de la région soulignait que « l’atout majeur de cette enveloppe est d’offrir à la région des conditions financières très favorables grâce à la notation « AAA » de la BEI ».

    La Caisse des dépôts et consignations : montant inconnu

    C’est le point financier le plus difficile à évaluer car il apparaît en « lignes de crédit difficiles à identifier », selon un expert des finances de l’ex-région Poitou-Charentes, mais il représente probablement « plusieurs dizaines de millions d’euros ».

    En conclusion, il apparaît donc bien, que l’ex-Région Poitou-Charentes était financièrement engagée à hauteur d’environ 1 milliard d’euros et que la nouvelle région ALPC devra, tôt ou tard, assumer. Cette situation financière n’a pas fini d’exploser au grand jour et chacun attend maintenant avec impatience les conclusions de l’audit.

    Mais si votre serviteur a pu établir cet inquiétant, et sans doute encore partiel, diagnostic, avec quelques recherches sur internet, comment croire les élus, quand ils prétendent n’avoir rien su plus tôt ?

     

    Gestion "Hollandaise" et, celle de son égérie ou, ces gens qui veulent nous gouverner...

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  • Bien sûr, en premier, c'est l'arme ultime des opprimés contre leurs oppresseurs et l'excuse pour l'oppresseur d'encore plus opprimer...

     

    Le terrorismes, la bête noir des democraties... 

    Ne pas oublier, le terrorisme d'État pratiqué par les divers dictateurs,

    qu'ils soient de droite et de gauche, noir, jaune ou blanc...

     

    Mais aussi, c'est l'arme de terreur de tous ceux qui cherchent à "imposer" leurs idées, (souvent plus ou moins vaseuses), à un monde qui n'en veut pas.

    Idées d'intransigeances religieuse ou politique, de racisme pur et dur + tous les rêves des tenants d'une société parfaite ou même tous simplement à leur goût personnel.

    Tous des gens prêt à tuer au nom d'une idée...

     

    Le terrorismes, la bête noir des democraties...

     

    La peine de mort, pour ces gens, totalement inutiles, ils sont prêts à mourir pour leurs idées ou leurs intérêts personnels, même les plus loufoques, (ce sont des détraqués)...

    La prison "à vie" me semble la plus adapter, et encore, pas certain, ils n'ont aucune conscience ni d'eux-mêmes, ni de leur vie, ni de la vie des autres le plus souvent des paranoïaques.

    Partant de là, pour les empêcher de tuer ou de nuire, pas beaucoup de solutions mises à part les repérer et de les éliminer avant passage à l'acte.

     

    Le terrorismes, la bête noir des democraties...

     

    Fouiller tous ceux qui accèdent aux lieux publics, impossibles et irréalistes, nous vivons dans une société libre...

    Fermer les frontières, tout aussi inutile, le plus souvent ce sont des natifs, ou ils sauront parfaitement passer discrètement les frontières, (le mur de fer n'a empêché de passer que les "modestes fuyards" des régimes totalitaires," regimes utilisant le terrorisme contre leur propre peuple", mais n'a jamais empêché un terroriste ou un espion étranger de passer...)

     

    Une seule solution "presque" fiable, "infiltrer" tous les groupes à risques...

     

    +, actuellement pour le terrorisme islamiste, (lui, organisé en vaste faction sur le modèle nazi), le détruire en portant la guerre, "la vrais et totale" chez eux, comme pour le "nazisme", jusqu'à "éradication" de tous les dirigeants...

     

    Le terrorismes, la bête noir des democraties...

    Ce qui restait de la plus grande armée "Arabe" du monde après le passage de quelques milliers d'israéliens se battant pour leur pays...

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_des_Six_Jours

     

    Là, peut-être, pour l'Europe, la bonne occasion de créer une armée "Européenne" et, de finir de compter sur les Etats-Unis, ou sur la Russie...

    Elle, la Russie, encore moins fiable que l'Amérique, avec son président actuel, (Poutine) dont toutes les actions militaires ou civils dépendent en premier de son "humeur du jour" où, des cours du pétrole...

     

    Le terrorismes, la bête noir des democraties...

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  • Surnombre, ne voulant pas dire que dans certaines catégories, (les régaliens), nous en avons trop...

     

    Mais parler de surnombre, c'est avant tout parler de "mauvaise répartition", de "mauvaise utilisation", des trop nombreux "profiteurs" planqués à vie dans de discrets bureaux, de ceux en double ou triple "inutilités".

     

    Le cout discret "le plus visible" de notre surnombre de fonctionnaires.

     

    + de tous "les assimilés" des entreprises à monopole d'État, profitant de l'argent du contribuable pour leur surnombre, avantages sociaux et quelques fois, mauvais services...

     

    Le cout discret "le plus visible" de notre surnombre de fonctionnaires.

     

     

    Fonctionnaires : la revalorisation du point d'indice coûtera 2,4 milliards d'euros à l'Etat...

    Etat, qui n'en a pas le premier rond...

    Après une matinée de réunion avec les syndicats, la ministre de la Fonction publique, Annick Girardin, a annoncé une hausse de 1,2%, en deux fois, du point d'indice sur le salaire des fonctionnaires. 

    coût, à additionner aux nouveaux recrutements...

     

    http://www.lejdd.fr/Politique/Fonctionnaires-la-revalorisation-du-point-d-indice-coutera-2-4-milliards-d-euros-a-l-Etat-777671#xtor=&utm_source=ExtensionFactory.com&utm_medium=extension&utm_campaign=extension&utm_content=popup     

     

    Donc, toujours à payer par nos impôts, taxes et, autres charges sociales, (le tout toujours insuffisant, bien que les plus élevés du monde)...

      

      donc, pour finir, de eux,  pris sur les générations à venir...

     

    L'état de notre économie ne pouvant plus entretenir les folies "républicaines socialisantes" des utopies de nos dirigeants gauchisant.

    (surnombres, avantages sociaux et, train de vie de luxe).

     

    Le cout discret "le plus visible" de notre surnombre de fonctionnaires.

     Une gentille fonctionnaire socialiste...

    Il y en a surement quelques dizaines de milliers du meme style de profiteurs, euses

     

     

    Le cout discret "le plus visible" de notre surnombre de fonctionnaires.

     

     

    Sur le fond, cela s'appel bien de la corruption électorale, n'est-ce pas ???

     

    De plus, faite avec la complicité de nos syndicats politiques. 

     

    Qui va me dire le contraire, à un an des prochaines élections...

     

    Le cout discret "le plus visible" de notre surnombre de fonctionnaires.

     

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  • Fonctionnaires : un coup de pouce de 5 % ou 8 %, "pas faisable", dit Macron
      Selon RTL, le point d'indice utilisé pour calculer les revenus des agents de la fonction publique sera revalorisé entre 0,7 et 1 %.  Lire

     

     A gauche par conviction financière,  au FN par démagogie électorale...

     

    Ils vous diront même ... 

    Il faut plus de fonctionnaires, avec de meilleurs salaires et, plus d'avantages...

     

    Ce qui est normal, plus de 90 % des syndicalistes et des hommes politiques de gauche sont fonctionnaires ou assimilés fonctionnaires... 

     

    Bien sûr, et ça, ils ne vous le préciseront pas.

     

    Ce sera toujours à payer avec l'argent du contribuable ou par les emprunts d'État...

     

     

    Mais si, vous dirons nos syndicats et le FN...

     

     

     

     

     

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  • "Demain", des emplois par millions, qu'ils vous avez promis les socialistes...

     

    Nos rigolos de gauche ont pris les choses en main, ça va changer...

     

    Vous les protestataires "révolutionnaires anti-toutes réforment", vous pensez vraiment que les PME françaises vont recruter...

     

    Et, juste pour "le plaisir" de vous employer, ce sans nécessiter, soit sans travail ni commandes ??? 

     

    Soit aller à la faillite et à la perte de "l'argent investi" pour vos beaux yeux...

     

    Si comme vous le souhaitez, elles continuent à être "hors compétition internationale" et donc sans client et, avec nombreux employés hyper protégés... (Soit un échange de 7 milliards de consommateurs potentiels  mondiaux, contre 60 millions de supers protégés mais sans boulots) 

     

    Nos rigolos de gauche ont pris les choses en main, ça va changer...

     

    Si oui,  un conseil,

     

    Allez vous inscrire au FN lui, il vous aime bien...  

    Son rêve, fermer nos frontières pour rester entre "bons Français" et biens sur, ne vendre qu'en "Francs" et qu'entre, "bons Français"...

    ( 50 % d'inflation et 30 % de chômage garantis à vie) .

     

     

    Nos rigolos de gauche ont pris les choses en main, ça va changer...

    Plus à gauche et conservateur que le FN, pas possible...

     

     Pour nos autres "rigolos" de gauche...

     

    Loi travail : le gouvernement veut avancer vite
    Du côté du patronat et des syndicats, le gouvernement de Manuel Valls est loin d'avoir convaincu avec sa version corrigée du projet de loi.
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    Coignard - Hollande et Valls ont oublié les chômeurs ! 
    L'Élysée et Matignon ont voulu ménager la CFDT, la Fage, les députés PS... pour éteindre l'incendie

     

    Loi travail : une nouvelle "volte-face" pour le gouvernement
    VIDÉO. Selon les éditorialistes, la version corrigée du projet contesté de réforme du droit du travail ne devrait pas "désamorcer la contestation" de la rue.
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    Loi travail : ceux qui l'ont dénaturée devront rendre des comptes
    L'entrepreneur Stéphane Treppoz, PDG de Sarenza, est écoeuré par le recul du gouvernement, qui devra répondre aux générations futures. Lire

     

     

    Nos rigolos de gauche ont pris les choses en main, ça va changer...

     

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