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Par alain la raison le 20 Octobre 2016 à 09:15
Reste juste à savoir s'ils utiliseront des cocktails Molotov, comme les "voyous" contre la police dans l'Essonne...
Procès Goodyear : L'accusation se dégonfle et ne réclame plus de prison ferme
À la CGT, majoritairement, on est fonctionnaire "à vie "ou employé d'une entreprise de service public à monopole d'État, (caste publique), et, l'on refuse d'être soumis au droit général des salariés français.
l'injustice vue par notre caste publique
Nous allons savoir, à 20 / 30 % près combien la CGT compte de manifestants professionnels et fonctionnarisés financés "principalement" par nos charges sociales et par nos impôts et taxes .(Ceux qui sont en arrêt-maladie, environs 20 %, statistiquement, ne seront pas là).
La justice sociale vue par nos syndicats publics...
Adherer CGT, dynamisme et modernisme, tous en lutte contre le "contribuable", ce cochon de payeur
Pour nos salaires et nos droits aux vacances qu'ils nous disent...
Oui, c'est notre exigence et, nous lutterons pour, avec le pognon de vos impôts et taxes.
Soyez généreux il nous disent a gauche...
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Par alain la raison le 17 Octobre 2016 à 08:43
Ou la première raison de nos permanents déficits et de notre recul économique. (soit, les bases de notre chômage).
Eux, ils ne veulent aucun changement, c'est trop bon...
Syndicalement, à gauche, apparemment "l'égalité républicaine", dans le traitement social des français, ils ne veulent pas en étendre, parler...
Ce, en sachant qu'il est impossible "techniquement et économiquement" que chaque "travailleur" français bénéficie des mêmes avantages sociaux que le secteur public.
Combien d'heures de grève et de blocages économiques de nos services "dits" publics et parapublics faudra-t-il que notre prochain gouvernement et les français subissent pour "qu'ils" acceptent une vraie égalité sociale entre tous les "travailleurs" Français???
Qu'ils le veuillent ou non, il va bien falloir qu'ils "partagent ou réduisent" leurs avantages sociaux + leur nombre... (dits par eux, acquits à vie).
Partage avec le privé qui lui, les finances sans en profiter. Ce qui fait que pour simple raison économique, (concurrence internationale), le changement de statut de nos services (notre caste) publique, se trouvent à devoir être "obligatoirement et rapidement" imposer.
Reste à savoir également qui "osera" affronter notre système syndical politisé à "l'extrême gauche" et qui de plus, s'accroche à ses "privilèges", même si c'est au détriment de plus de 70 % des français.
A savoir, avant de voter en 2017 La dépense publique s’auto-entretient donc, portée par des agents publics qui représentent à eux seuls 12 % de l’électorat (sans compter leurs familles) et qui sont spontanément hostiles à l’économie de marché (voir l’étude de Cahuc et Carcillo pour l’institut Montaigne). S’ils votent traditionnellement en faveur de la gauche, réputée plus favorable à l’interventionnisme et la dépense, ils se tournent désormais vers le Front national, alimenté en thèses étatistes par Florian Philippot et autres hauts fonctionnaires. À droite, au contraire, le rabot est sorti et c’est la course aux annonces spectaculaires.
Le choix pour 2017 sera complexe. Si la dépense publique doit constituer un enjeu prioritaire, alors le public choice apporte trois enseignements : 1. la dépense publique ne baissera vraiment que si le nombre de fonctionnaires est réduit de façon drastique, 2. ce qu’un élu fonctionnaire ne sera pas spontanément porté à faire, 3. surtout s’il est de gauche ou Front national !
Le rêve communiste et celui de nos écologistes..
En 1959, les dépenses publiques s’élevaient à 15 milliards d’euros (35 % du PIB). En 1990, elles avaient atteint 525 milliards. En 2015, elles culminaient à plus de 1 240 milliards (57 % du PIB). Le budget 2017 ne change rien.Tant que nos gouvernants successifs feront une politique de gauche, (celles voulues par nos syndicats politiques d'extrême gauche qui eux en vivent royalement, un comble pour la gauche)... il y aura toujours plus d'interventions étatiques à financer par le contribuable et l'emprunt d'état ... Ce qui fait que les dépenses publiques ne baisseront pas et nos impôts et taxes continueront à augmenter. Ce, jusqu'à rupture sur le modèle Grec.
Promesse de gauche, avec l'argent de qui, devinez ???
En 2014, la masse salariale des fonctionnaires français — y compris les collectivités territoriales — était équivalente à la totalité des recettes fiscales de l’État, pour un total de 278 milliards d’euros (source : Cour des comptes). Soit 44 milliards de plus que la masse salariale de l’emploi public au Royaume-Uni
Et, dans ces chiffres ne sont pas compris les milliards dépensés pour boucher les trous financiers dus à la mauvaise gestion, (voir gestion-modèle cégétiste) et, aux grèves à répétition de nos entreprises "dites" de service public à monopoles d'état...
L’exemple britannique
Le Premier ministre anglais David Cameron a supprimé précisément 600.000 emplois de fonctionnaires durant les trois premières années de son mandat, dans le même temps que l’économie britannique créait 1.200.000 emplois privés (source : Office for National Statistics, « Public Sector Employment »).
En 2014, la masse salariale des fonctionnaires français — y compris les collectivités territoriales — était équivalente à la totalité des recettes fiscales de l’État, pour un total de 278 milliards d’euros (source : Cour des comptes). Soit 44 milliards de plus que la masse salariale de l’emploi public au Royaume-Uni (chiffres et cours de 2013, Office for National Statistics).
Le poids de la fonction publique
Dit autrement, la France dépense chaque année l’équivalent de 14 porte-avions de type Charles de Gaulle de plus que le Royaume-Uni, en rémunération de sa fonction publique. La France s’épuise sous le joug d’une fonction publique pléthorique, surpayée par rapport au privé, en travail réduit de droit ou de fait, bénéficiant de régimes de retraite plus ou moins, mais toujours, préférentiels, et qui est comme un écornifleur sur le corps social.
Un programme de réforme sérieux porterait à la fois sur le statut et sur la masse de la fonction publique. Car on ne réformera la masse qu’à la condition d’avoir préalablement réformé le statut.
On l’oublie, mais l’idée que les fonctionnaires jouissent d’un statut légal préférentiel est exorbitante, sans justification rationnelle, et le principal frein à toute réforme sérieuse.
Pas de statut de la fonction publique en Grande-Bretagne ou en Suède
L’une des raisons pour lesquelles M. Cameron a pu supprimer des centaines de milliers de postes de fonctionnaires excédentaires est que l’écrasante majorité de ceux-ci sont soumis au droit commun du travail (à l’exception du Civil Service au sens strict, 440.000 personnes, encore leurs privilèges sont-ils dérisoires en regard de ceux dont bénéficient les fonctionnaires français, ainsi de l’absence de garantie d’emploi à vie). Aussi épouvantable que cela puisse paraître, il n’existe pas de statut général de la fonction publique dans des pays tels que le Royaume-Uni ou la vertueuse Suède.
Ni, du reste, dans la plupart des pays du monde. Peut-être serait-il opportun de se demander si, sur ce point comme d’autres, l’exception française ne serait pas l’expression d’intérêts catégoriels plutôt que du génie national ?
Il y a toujours quelqu'un qui paye et, ce n'est pas l'Etat...
Réformer la fonction publique, ce qui va devenir une obligation pour la France...
La réforme de principe acquise, l’idée serait de réduire le volume de la fonction publique de 25% en 5 ans (soit approximativement 300.000 unités par an). Ce n’est qu’à cette condition que l’économie française recommencerait à faire jeu égal — égal, notons-le — avec ses concurrents européens.
Enfin, il faudra mettre en place des garde-fous constitutionnels qui interdisent désormais à l’État, dans ses différentes composantes, de reprendre le chemin de la gabegie par la fonction publique.
Alors, et alors seulement, pourra-t-on reparler sérieusement de croissance, de lutte contre le chômage et d’assimilation ou intégration. Car, l’équation selon laquelle un emploi créé dans la fonction publique détruit 1,5 à 3 emplois dans le privé — par son coût et par allocation sous-optimale des ressources — vaut bien entendu dans les deux directions : pour peu qu’elle s’accompagne d’un minimum de flexibilité de l’emploi privé, la suppression des emplois publics conduit mécaniquement à la création d’un nombre supérieur d’emplois privés. La preuve par le gouvernement de M. Cameron, mais également par l’Irlande, le Portugal et l’Espagne depuis 2008.
Une réforme trop ambitieuse ?
Cette réforme n’est-elle pas trop ambitieuse, voire extrême ? Regardons ce que propose le Front national. En effet, nombre de Français perçoivent le Front national comme une alternative aux idéologies et lâchetés qui se succèdent au pouvoir depuis de longues décennies.
Que prévoit le programme de Madame Le Pen sur le sujet qui nous occupe ? Rien, parce que selon les économistes souverainistes, souvent issus de l’extrême gauche, qui inspirent Mme Le Pen, la fonction publique — statut & masse — n’est pas un problème. C’est pourquoi Madame Le Pen n’offre, en vérité, aucune alternative crédible à la panade actuelle.
L’un des arguments des partisans du Brexit était qu’en restant dans l’UE, l’Angleterre était comme arrimée à un cadavre (shackled to a corpse).
Ce n’est qu’une image. Mais elle n’est pas sans fondement et elle vaut pour la France : avec près de six millions de fonctionnaires en statut privilégié qui lui coûtent chaque année l’équivalent du PIB du Danemark, la France est, en effet, shackled to a corpse.
Réduire d’un quart le volume de la fonction publique française après en avoir aboli les privilèges légaux : voici un élément de programme qui permettrait aux Français d’embrasser l’avenir avec optimisme.
http://www.contrepoints.org/2016/10/06/267977-reduire-fonction-publique-de-25-ans-5-ans?utm_source=Newsletter+Contrepoints&utm_campaign=1f8c895991-Newsletter_auto_Mailchimp&utm_medium=email&utm_term=0_865f2d37b0-1f8c895991-101125109&mc_cid=1f8c895991&mc_eid=b3060f7cfc
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Par alain la raison le 13 Octobre 2016 à 09:44
La CGT-Renault relativise les promesses d'emplois annoncées
Le Parisien ... « Le compte n'y est pas ! » a estimé hier la CGT-Renault à propos des recrutements annoncés par le constructeur automobile en début de semaine. Alors que l'entreprise a indiqué mardi qu'elle embauchera 1 000 personnes en CDI d'ici à la fin de l ...CGT, vision de l'employé modèle...
À la CGT, le principe ennemi est devenu l'employé du privé, celui qui a réussi trouvé un boulot malgré les interdits syndicaux...
Employé du privé:
Celui qui "paye" les abus de prélèvements gouvernementaux par la fragilité de son emploi... (Trop de prélèvements obligatoires qui fragilisent son employeur, donc, son emploi).
Au syndicalisme politique gauchisant et sa volonté "politique" de détruire l'entreprise, il n'y croit plus...
Il le sait, depuis la chute du communisme, ( URSS), et de son escroquerie morale à la dictature du prolétariat...
Que ça n'a jamais marché, ce n'était qu'un tissu de mensonges pour crédules.
De plus, une "légende paradisiaque ouvrière", maintenue par la violence politique de ses dirigeants et le renfermement des pays sur eux-mêmes...
Tout en accusant "les autres" de leurs malheurs.
Un des derniers chef du paradis des travailleurs
Syndicalement, notre employé du privé, ne vote plus, ne cotise plu, (moins de 3%), il en mare des impôts et des taxes ne servant plus qu'à entretenir la "caste" des faux serviteurs de l'État et de leurs faux services "dits" publics, (les plus onéreux de L'OCDE), qui, du fait lié aux méthodes de gestion syndicales, (CGT et FO)...
Ne sont plus qu'à leur propre service...
Vision Cégétiste du travail dans nos administrations publics...
Devinez qui paye ???
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Par alain la raison le 12 Octobre 2016 à 07:58
Ou, nos "peu être", futurs dictateurs...
Nos verts politisés rougissants, également, et très souvent, eux mêmes, nos manifestants les plus casseurs et pollueurs...
Là aussi, tout comme nos syndicalistes politisés, des gens, (en règle générale des fonctionnaires irresponsables s'ennuyant dans leur bureau et rêvant de grands destins), très gauchisant et qui, le plus souvent, entrent en politique juste avec l'espoir de se faire un maximum de pognon sans risques ...
Ils sont gauchistes par intérêts financiers et, cerise sur le gâteau, fonctionnaires à vie !!!
http://www.contrepoints.org/2016/10/11/268523-lobby-bio-sen-prend-a-choisir?utm_source=Newsletter+Contrepoints&utm_campaign=f13f1ea80b-Newsletter_auto_Mailchimp&utm_medium=email&utm_term=0_865f2d37b0-f13f1ea80b-101125109&mc_cid=f13f1ea80b&mc_eid=b3060f7cfc
Quand le lobby bio s’en prend à Que Choisir
Un article critique de l’agriculture biologique de Que Choisir n’a pas été apprécié dans les milieux de l’écologie politique.
Ils ont essayé de réduire son auteur au silence.
L'écologie politique, ça rapporte gros...
Bobo écologiste du dimanche...
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Par alain la raison le 9 Octobre 2016 à 08:57
A gauche ils en sont indignés, surprenant non !!
Quand même, ces jeunes, ils ont quoi dans la tête ???
Penser qu'en France, ils pourront régner sur un cartier ou une ville par la terreur et en chasser la police par la peur ???
Oui, je sais la faiblesse de notre actuel gouvernement et les visions "bisous nounours" de notre justice peut leur laisser croire à l'éventualité d'une telle possibilité !!!
Ce qui en soit-même est très grave.
Il veut continuer 5 ans de plus ???
Mis à part, cette éventualité, "quand même crédible", qui leur a mis dans la tête que cela était possible ?
L'on ne peut que se perdre en conjectures... (je ne pense pas qu'ils soient capables de réfléchir jusqu'à ce niveau, ce sont plutôt de "basiques illettrés et manipulables" qui n'ont aucune autre vision du monde que celle de leur escalier d'immeuble)
La télévision avec les films américains ??? Douteux les bons gagnent toujours.
La drogue qu'ils vendent, et l'argent qu'ils gagnent avec + celle qu'ils consomment eux-mêmes ce qui leur laisse penser qu'ils sont invincibles ???
Quelques imams qui leur laissent croire qu'ils ont le devoir de détruire l'Occident et que de là ils pourront dominer et piller le monde, cerise sur le gâteux, ils iront au paradis ???
Ou tout simplement de pauvres types illettrés, abruti par les drogues, donc facilement manipulable par ceux à qui cela rapporte des fortunes???
Un peu tard, le mal "bisous nounours" est fait maintenant, sévir contre nos "petits voyous", est devenu très difficile encouragé qu'ils ont été par "la Taubira, sa justice laxiste" et un gouvernement de faibles.
Petits voyous, qui souvent, dans le même temps, veulent jouer aux "apprentis djihadistes", une excuse religieuse, (vaseuse), à leur violence et incapacité d'adaptation.
Sans parlers des amis de la Taubira et du PS, nos magistrats "politiques" gauchisants du mur des cons...
Précieuse aide à nos voyous.
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