• SNCF, ils ont gagné leurs retraites et avantages sociaux à coups de grèves bloquantes.

    Tout comme toutes les autres entreprises de services "dites publiques" et à monopole d'État. 

     

    À eux seuls, nos services publics, environ 20 % des salariés français,  totalisent plus de 90 % des journées de grève et des "subventions" pour "fin de mois difficiles"... (Déficits permanent de nos entreprises à monopole d'état)...

     

    Mais aucun de leurs syndicats et même salariés ne se posent la question du:

    qui paye ...

     

     

    SNCF, ils ont gagner leurs retraites et avantages sociaux à coups de greves bloquantes

      

     

    Ou, les bases "acceptés" la corruption électorale à la française...

    Jean Philippe Delsol : Le secteur public au sens strict (État, collectivités locales, fonction hospitalière…) compte environ 5,2 millions de salariés. Au cours des 30 dernières années ses effectifs ont augmenté de plus de 36 % quand ceux du secteur privé croissaient de 16,4% (rapport de la Cour des comptes du 16 décembre 2009).

     

    Ces 5,2 millions de fonctionnaires représentent environ 22 % de l’emploi total alors que dans les pays de l'OCDE, ce chiffre tourne autour de 15 %, soit 7 % de moins. Autrement dit, nous aurions un bon million de fonctionnaires en trop par rapport aux autres pays…

    Il faut y ajouter l'ensemble des salariés du secteur parapublic. C’est environ 2 millions de salariés de plus. De la sorte, cela représente au total 30 % des salariés français (24 millions de personnes).
     

    Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/plus-50-actifs-payes-argent-public-vrai-poids-etat-francais-jean-philippe-delsol-916481.html#yEFkm94V66RZy1IS.99

     

    Et ce, toujours au détriments des autres Français... 

    Pour eux, nos syndiqués du public, tous très à gauche, "l'utilisateur" et le "contribuable" ne sont que de simples "cochons de payeur"...

      

    SNCF, syndicalement ils l'ont gagner a coups de greves bloquantes

     

    Voici quelques mois, le Conseil d’Orientation des Retraites (par abréviation : COR) s’est livré à une intéressante projection jusqu’en 2060 du montant moyen des pensions de retraites de la SNCF. Il en ressort qu’à législation constante et au terme de cinq décennies, ce montant progresserait à partir de 2011 d’environ 91% (hypothèse moyenne) dans le même temps où les pensions du régime général en secteur privé patineraient à environ 51% pour les non-cadres et seulement 26% pour les cadres, soit tout simplement un taux de progression exorbitant en faveur des cheminots, alors que le montant annuel moyen des pensions de la SNCF, s’établissait déjà en 2014 (source DREES 2016) à € 23 616 et donc très au dessus déjà de la moyenne nationale correspondante de € 15 864 tous régimes confondus, mais seulement de € 14 480 si on se restreint au seul secteur privé (droits directs). Chaque branche, chaque entreprise ayant son autonomie, personne n’y trouverait à redire si, à l’intérieur de ce régime très favorable, les cotisations équilibraient les pensions.

    3 milliards de subvention par an pour les retraites SNCF

    Or il n’en est rien puisque c’est l’État par une subvention annuelle de plus de 3 milliards (3,3 milliards en 2016) qui assure à grands frais l’équilibre des retraites, dont la gestion est confiée depuis 2007 à la Caisse de Prévention et de Retraite des Personnels de la SNCF (CPRP-SNCF). Cette caisse jouit, dans le cadre de son statut, d’organisme de Sécurité sociale d’une personnalité morale distincte et de l’autonomie comptable et financière par rapport à l’entreprise ferroviaire et ce point est capital car il explique le tour de passe-passe qui a permis de ne pas obérer les comptes de l’entreprise en leur préservant un caractère financièrement « présentable ».

     

    C’est à dire que, le contribuable verse actuellement chaque année plus de   12 200 euros, pour leurs retraites...

     

    À y ajouter, les retraités de "l'ancienne" EDF, des PTT, Etc. + celles de nos fonctionnaires en surnombre... (Pas dans tous les services) .

    Surnombres et avantages sociaux accordés à tous nos services publics et assimilés, utilisés comme argument électoral, principalement par notre gauche...

    (Corruption électorale ordinaire, "Hollande" ne peut pas dire le contraire).

     http://www.resistance2017.net/2012/03/le-clientelisme-de-gauche-ou-la-forme-politique-de-la-corruption/

     

    +, les plus discrets, ceux de notre Sécurité Sociale, qui elle, gérée par la CGT et FO, puisent directement dans la caisse, ils en ont la clef...

     

    Pour eux pas besoins de grève.

     

    (Sauf, si un jour, un gouvernement, "sérieux et conscient de leurs abus" leur enlève la clef de la caisse).

     

    SNCF, ils ont gagner leurs retraites et avantages sociaux à coups de greves bloquantes

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