• Offensive anti-Merkel: "rapport de force" ou "jeu dangereux"?

     

    Ni l'un, ni l'autre, juste bêtise liée à l'impuissance économico-politique de notre gouvernement ...

    Mais eux, Ils ont réussit leur redressement économique,

     

    Nous pas ...

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  • Sans les financiers ?

    Pourtant pour une relance "artificielle" de la croissance, une seule solution l'emprunt aux financiers, s'ils veulent bien prêté ....

     

    Notre actuel gouvernement est le seul à y croire  à sa methode de relance, et encore, pas ou plus certain … (Si un gouvernement en est réduit à «enfumer» ses populations, c'est qu'il sait avoir un sérieux problème)

     

    Depuis l’élection de notre président de la République, élection gagnée sur la base de «promesses électorales mensongères» ou pire, d'une «incompétence économique totale» basée sur l'optimisme de l'espoir du miracle de l’utopisme socialiste.

     

    Ce miracle économique impossible de l'utopisme socialiste à pour grand principe de base, «L'effet d'annonce», soit l'ensemble des techniques de gestion d'un pays basé sur cet «effet d'annonce» additionné à la technique également très éprouvée de l’événement monté en épingle ou même créé de toutes pièces appeler aussi, «enfumage».

    Le communiste à la soviétique lui, pouvait en plus utiliser «la langue de bois» ce, grâce à l'interdiction politique, policière et judiciaire de toutes contestations officielle de ses dires.

    Effet d’annonce, langue de bois, et enfumage, trois techniques très similaires, et complémentaires pour un bon contrôle populaire.

    (Mais, sans résultat sur les réalités économiques).

    Contrôle populaire nécessaire au camouflage de l’incompétence de gestion économique d'un pays.

    D’où également le mécontentement des ouvriers et employés des entreprises qui avaient basé leur espoir de maintien de l'emploi sur des promesses gouvernementales fallacieuses et donc intenables.

     

    Pour le pays cela amène obligatoirement au recul économique généralisé, notre situation actuelle. (Appauvrissement des populations, pas celui des dirigeants, bien au contraire).

    Dans le cas d'une entreprise, c'est la faillite dite «crapuleuse» pure et simple.

     

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    Cession de sociétés: Hollande veut faire la paix avec les ...

    PARIS, 28 avr 2013 - Le président François Hollande tentera lundi de renouer les liens avec les entrepreneurs, à l'origine d'une fronde très médiatisée à l'automne, en refondant le régime fiscal des cessions de sociétés pour favoriser la création et la prise de …

    Il a bien raison de chercher à se réconcilier avec les entrepreneurs … s'il veut pouvoir tenir sa parole d'inversion du chômage avant la fin de l’année...

    Ce qui pour quelqu'un qui connaît le fonctionnement du recrutement dans l'entreprise est impossible... (Pour recruter, il faut d'abord vendre, pour vendre, il faut être compétitif ...)

     

    Ses premières stupidités et indignités d'un chef d'état ont été de dire, je suis contre les riches, je suis contre la finance, je suis contre les entrepreneurs …

     

    Ces trois déclarations intempestives où purement électorales sont tout juste dignes d’être dites par des syndicalistes irresponsables, ou ayant la volonté affichée de couler l’économie française …

    Pour la simple raison que dans notre système économique libéral ce sont les entrepreneurs qui créent des emplois, les riches qui finances les entrepreneurs, et ce non pour faire plaisir au gouvernement mais pour gagner de l'argent, n'ayons pas peur des mots (Même la chine communiste l'a compris).

     

    Et de plus, quoi qu'il fasse et en pense, dans notre système ce sont les entreprises par leur dynamisme et leurs salariés qui finances les dépenses de l’État

     

    Donc d'une manière ou d'une autre il en a besoin et, des entrepreneurs et de leurs employés pour financer les dépenses gouvernementales et, des financiers, ne serait-ce que pour trouver de l'argent à emprunter pour financer ces déficits.

     

    Ou alors, suivre Mélanchons et établir le communisme en France ...

     

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  • Mur des cons, ce serait amusant si cela ne venait de gens n'acceptant aucune critique et de plus chargés officiellement et au nom de la république de «juger» leurs concitoyens… (Soit dans cet état d'esprits, des cons si ces concitoyens sont de droite)

    Bien sur, ceux qui sont mis à l'index sur ce mur, ne sont pas contant car...

    C'est bien une mise à l'index pour «délits d'opinion» …


    Donc sûrement pas une action de potache, mais bien un état d'esprit de recherche de vengeance politique sur le modèle des grandes dictatures, Hitlérisme, Stalinisme, Maoïsme, etc.

    De ces dictatures utilisant des systèmes judiciaires dévoyés par des adhésions politiques partisanes il y en a eu de nombreuses et, il en existe encore quelques-unes de ces hontes de l'humanité qui utilisent des juges dévoyés ou fortement politisée pour assurer la légitimité apparente de leurs actions de répression.

    Faux procès, fausses accusations avec faux témoins, une grande spécialité des divers systèmes dictatoriaux avec, en règle générale mise à mort ou mise en camps de concentration des mis à l'index.

     

    Voilà où je les classe ses juges …

    Des juges déviants qui ne devraient pas être jugés par la France mais, par la cour européenne des droits de l'homme.

     

    Idem pour ceux qui peuvent les soutenir,

    "Mur des cons" : Mélenchon soutient le S M au nom de "la liberté d'expression"... (C'est bien connu, la liberté d'expression est une grande spécialité des pays communistes ou des diverses dictatures).

     

    Ce qui rend naturel «son amour inconditionnel» pour les déviances politiques d'une partie de notre magistrature.

    Dans le système politico-économique que Monsieur Mélanchon préconise pour la France, ce type de magistrat fortement politisé est indispensable pour faire condamner et donc taire toute opposition.

     

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  •  

    Sur l'affaire Good Year et les autres industries … et la CGT … et les ouvriers … et les juges...

     

    Dit par un internaute

    Franchement, Good Year ne va faire aucun cadeau à la CGT, syndicat qui a sciemment pourri le site pour des raisons idéologiques dépassées.

    Triste pour les salariés, qui contrairement à ceux d'Amiens Sud ne connaîtront pas une renaissance.

     

    Soit, le reflet populaire de l’ensemble des problèmes liés aux actions de la CGT et autres syndicats trop politisés sur l'industrie et l’emploi en France.

    Ou, le résultat d'intransigeance et de jugement purement utopique sur le fonctionnement de l'entreprise, de son obligation de production et de productivité, du respect de l'investissement et de l'investisseur.

     

    Aujourd’hui notre modèle de syndicalisme politique ouvrier à la française est en train de payer les résultats de sa gestion de l'emploi.

    (Je dis les syndicats mais, ce sont plutôt les ouvriers et employés du secteur privé qui payent l’addition des dérives syndicales par le chômage et par des charges salariales les plus élevées du monde et ce, avec quand même une médiocrité des retours qu'ils pourraient attendre de leur coût...)

    Je rajoute celui des juges (30 %) qui aussi, en se syndicalisant politiquement ont rendu l'ensemble de la profession non crédible... (Il y aura toujours un doute sur le bien-fondé d'un jugement concernant des personnalités politiques ou journalistiques ou, même d'un simple citoyen ayant affiché publiquement ses convictions politiques)

     

    Les syndicats et leurs dirigeants, eux pratiquement tous fonctionnaires ou fonctionnarisés restent à l’abri de toutes sanctions sur leur gestion hasardeuse et irresponsable.

     

    Les mauvaises bases de la lutte syndicale française...

    Un code du travail pratiquement inutilisable par sa complexité.(sûrement pas une invention patronale), mais écrit avec le soutien presque inconditionnel des politiques et «magistrats» de gauche...

    Un soutien inconditionnel aux abus de la fonction publique, (nombre, salaire, avantages sociaux, retraite, etc.), le tout au détriment et de plus payé par le secteur privé.

    Un casse organisé de l'entreprise privée par le système des grèves et occupation d'usines. (c'est toujours la faute des patrons, ils ne veulent pas négocier …)

    Plus, le grave problème des délocalisations, les délocalisateurs, tous des «patrons voyous» qui préfèrent partir plutôt que perdre leur marché ou faire faillite...

    Une chasse organisée aux investisseurs, eux aussi tous des «voyous» qui ne veulent pas perdre leurs économies.

     

    Sur ces grands principes utopiques de gauche, nos syndicats ont toujours raison, même contre vents et marées.

     

    Sauf que notre chômage lui, il est ce qu'il est …

     

    Et que notre justice vient de faire un grand pas en arrière ...

     

     

     

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