Reprise en main des régions, on va en découvrir de belles...

Il n'y a pas que dans l'ex-Poitou-Charentes que les finances régionales ont suscité une polémique.

On se rappelle en effet que la semaine dernière, Alain Rousset, "un socialiste" président de la nouvelle grande région Aquitaine Limousin Poitou-Charentes, avait porté une attaque contre Jean-François Macaire, président de feu Poitou-Charentes, l'accusant d'avoir cautionné environ 132 M€ d'impayés (NR des 22 et 23 février).

Chez nos voisins des Pays de la Loire aussi les finances posent question. Le nouveau président Bruno Retailleau (Les Républicains) accuse l'ancienne équipe dirigeante socialiste d'avoir caché une dette de 485 M€ dans le cadre « d'engagements de programmes qui n'ont jamais été votés. Cela pose un problème de sincérité des comptes ». Des attaques réfutées par l'ancienne équipe dirigeante.

http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Actualite/Politique/n/Contenus/Articles/2016/02/29/Finances-regionales-pas-qu-en-Poitou-Charentes-2637293

Ou, nos roitelets régionaux devenus "rois" de la république...

Quand on sait avec quelles négligences et légèretés, certains élus, (majoritairement socialistes), traitent "l'argent" du contribuable, soit votre argent ...

Avec, en première raison, leurs propres ambitions électorales  et honorifiques...

Leurs rêve de gloire populaire...

(De la pure corruption électorale et, avec l'argent du contribuable)...

Avec Hollande ex-président sortant d'une Corrèze surendettée et celle des lubies industrielles de son "ex-dulcinée" dans le Poitou Charente...

Combien, pour ces deux presidents de region et leurs amis de gauche de milliards de dettes.

Notre gauche de bobos et autres bisous nounours, tout un panel de braves gens, "je n'en doute pas", mais incapable, malgré ou, pour cause de hautes études "incomprises" ou, qui leurs sont monté à la tête...  

Donc, je redis et pour moi, (j'en ai bien connus de ces généreux gauchisants).

Presque tous, à l'origine, de braves gens, devenues incapables d'avoir la moindre "réflexion" ou le moindre raisonnement  "normal", sur l'utilisation de l'argent du contribuable.

Autrement qu'en le dilapidant pour leurs utopies socialisantes. 

Argent, que souvent, ils finissent dans leurs grands "rêves de gloire populaire sociales", à le considérer comme le leur.