• C'était une des grandes accusations de la gauche contre la droite, mais là, record absolu...

     

    Népotisme : comment François Hollande place ses amis
     
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    C'était une des grandes accusations de la gauche contre la droite, mais là, record absolu...

    A la votre, Messieurs les cochons de payeurs

     

    Et de plus, il ne sert a rien...

     

    C'était une des grandes accusations de la gauche contre la droite, mais là, record absolu...

     

    Hollande, comme la prostate…

    by tdesjardins

    Clemenceau qui était médecin et qui avait été battu à la présidentielle disait souvent qu’il y avait deux choses totalement inutiles sur cette terre : la prostate et le président de la République.

    Pour ce qui est de la prostate, cela ne fait plus débat depuis longtemps ; Clemenceau avait raison. Et pour ce qui est du président de la République, on est bien obligé de reconnaitre que François Hollande qui n’est pas un lion fait tout pour donner raison au Tigre. Oui, à quoi ce président sert-il donc aujourd’hui ? Evidemment, à rien.

    Prenons les événements de ces jours derniers où l’actualité a été aussi lourde que variée puisque nous avons eu, coup sur coup, l’affaire des écoutes de la NSA, la querelle des taxis, la crise grecque poussée à son paroxysme, le carnage de Sousse et l’attentat (avec décapitation) de Saint Quentin-Fallavier en Isère.

    C’est-à-dire que ce que Manuel Valls se résout –enfin et heureusement- à appeler « la guerre de civilisation » a pris une nouvelle ampleur ; que l’Europe qui devait nous sauver de tout vacille comme elle ne l’a jamais fait ; qu’une nouvelle catégorie professionnelle est au bord de l’explosion ; et que des révélations (dont personne ne voulait entendre parler) nous ont clairement confirmé, une fois de plus, que nos « amis » américains étaient les plus forts et qu’ils nous méprisaient souverainement.

    A chaque fois, pour chacun de ces « dossiers », Hollande a cru devoir sortir de sa boite et jouer les chefs d’Etat. Se prenait-il pour de Gaulle, pour Churchill ou pour Roosevelt ? On ne sait pas. Mais à le voir plastronner ainsi dans la cour de l’Elysée devant les caméras, le « petit » se prenait visiblement pour un « grand ».

    Se voulant ferme, digne et énergique en montant sur ses petits ergots, il faisait savoir à Barack Obama qu’il était inadmissible que les services secrets américains aient osé espionner tous les dirigeants français et qu’il ne fallait surtout pas que cela continue. Il a même pris son téléphone pour appeler la Maison-Blanche. On imagine le sourire goguenard du président américain en écoutant les jérémiades du petit français.

    Ensuite, ce même président de la République française faisait savoir aux chauffeurs de taxi qu’il ne tolérerait aucune violence et que les taxis sauvages seraient poursuivis. Les uns n’ont visiblement pas été convaincus et préparent de nouvelles actions coups de poing. Les autres n’ont visiblement pas eu peur et continuent à charger des clients.

    A propos de la Grèce, sûr de lui comme de l’univers, Hollande nous a annoncé, le plus sérieusement du monde, qu’un accord allait être trouvé, qu’Athènes ne quitterait jamais l’Europe, en nous laissant même entendre qu’il avait pratiquement tout arrangé à Bruxelles, en calmant les exigences et surtout l’intransigeance d’Angela Merkel. Tout le monde nous annonce aujourd’hui qu’en organisant un référendum Tsipras a rompu toutes les négociations et que les Grecs vont dire « non » à Bruxelles, à Merkel, au FMI, à la terre entière.

    Mais c’est, bien sûr, à propos du terrorisme, qu’Hollande a poussé le bouchon du ridicule le plus loin. C’était sur le thème : « Dormez braves gens, je suis là et je m’occupe de tout ». Il nous demandait simplement d’être tous derrière lui en retrouvant, naturellement, le fameux « esprit du 11 janvier » (qui n’a jamais existé ailleurs que dans la gamberge machiavélique des communicants du régime). Là, ce sont « les gentils djihadistes » qui coulent des jours heureux dans les 90 mosquées salafistes de France et constituent la base de la fameuse « 5ème colonne » qui ont dû rigoler.

    Que le président de la République française condamne le terrorisme islamiste, qu’il espère que la crise grecque trouvera rapidement une issue, qu’il tente de calmer les chauffeurs de taxis et qu’il ne soit pas content que la NSA et la CIA l’écoutent roucouler au téléphone avec Julie Gayet, on le comprend.

    Mais le rôle d’un président n’est pas de geindre, de pleurnicher, de brûler des cierges, de faire des incantations. En clair, de démontrer en permanence qu’il est totalement inutile, comme une potiche, qu’il ne sert à rien, comme la prostate.

    Obama, le moindre chauffeur de taxi, Angela Merkel, Alexis Tsipras, les « émirs » de nos mosquées plus ou moins souterraines mais aussi les rois et roitelets du pétrole qui financent le terrorisme islamiste, tous le considèrent comme quantité négligeable. Tous ont compris depuis trois ans qu’à part les envolées lyriques d’une autre époque et les blagounettes de sous-officiers, Hollande ne savait qu’inaugurer les chrysanthèmes.

    Certes, il est capable d’envoyer nos soldats dans les dunes du Mali et nos Rafales au-dessus des sables de l’Irak mais il est incapable de désarmer la « racaille » (comme disait un autre qui n’a pas été plus brillant) ces islamiste qui pourrissent la vie de centaines de quartiers dans le pays en terrifiant les derniers blancs qui s’y trouvent et en préparant la victoire du Prophète. Incapable d’expulser les imams étrangers qui prêchent de djihad. Incapable de tenir un langage de fermeté aux commanditaires de cette guerre contre l’Occident

    Le scandale de la NSA, l’insurrection des chauffeurs de taxis, l’agonie de la Grèce, la tragédie tunisienne et le drame de Saint Quentin Fallavier, viennent, en quelques jours, de démontrer une nouvelle fois à quel point 51% des Français se sont trompés, il y a trois ans. Pour leur défense, ils peuvent toujours dire qu’ils n’avaient guère le choix.

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