L'économie, les Français et la France, il s'en fout totalement.

il veut être réélu ...

Macron contré par Hollande sur le statut des fonctionnaires

Le chef de l'Etat s'est dit « attaché » au statut des fonctionnaires. Son ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, avait jugé que le statut de la fonction publique «n'est plus justifiable » . Après sa bombe sur les 35 heures lâchée fin août , Emmanuel ...

Et alors, l'on ne va pas se tirer une balle dans le pied tant qu'il y aura des cons-tribuables pour payer et des imbéciles pour nous prêter...

Les Grecs l'on bien fait avant nous ...

Lebranchu à Macron : "Un ministre n'est pas libre de ses propos"

VIDÉO. La ministre de la Fonction publique a invité son collègue de l'Économie à "parler le moins possible" après qu'il ait critiqué le statut de fonctionnaire. Source AFP. Publié le 21/09/2015 à 10:36 - Modifié le 21/09/2015 à 10:44 | Le Point.fr ...

Fonctionnaires : la ministre de la fonction publique rappelle à l'ordre Emmanuel MacronLe Monde

Fonction publique : recadré, Macron ne regrette rienEurope1

Éditorial :Macron enflamme la gauche en ouvrant le débat sur la fonction publiqueLes Échos

Vos gueules dans les rangs, Monsieur le president à des "espoirs" ...

Mais:   Coignard - Fonctionnaires : le tabou de l'emploi à vie
  Macron a raison lorsqu'il émet des doutes sur le statut des fonctionnaires. L'État est incohérent et en décalage avec la plupart de ses voisins et alliés.  Lire

Pour les mêmes raisons...   Et, suite à nos dépenses gouvernementales, elles aussi, purement électorales...

Moody's a dégradé la France à cause de sa "faible croissance"

REPLAY - ÉDITO - L'agence américaine de notation a décidé de dégrader la note de la dette de la France. Le diagnostic de Moody's sur l'état réel de notre économie n'est pas du tout le même que celui de Paris. La page de l'émission : Lenglet-Co ...

France : Moody's dégrade sa note à 'Aa2'L'Express

Les agences de notation sont-elles légitimes ?France Info

Éditorial :Moody's s'inquiète de l'atonie de la croissance françaiseLes Échos

Articles de fond :France : Moody's dégrade ; Sapin rassure...Boursier.com

 Gauchiste moderne...

Pas grave, à gauche, l'ont sait parfaitement faire des demis tours politiques...

Grèce : débarrassé de ses frondeurs, Tsipras forme un nouveau gouvernement

Le Premier ministre grec sortant Alexis Tsipras, vainqueur des législatives en Grèce avec son parti de gauche radicale Syriza et désireux de mener rondement son retour, devrait former dès lundi un gouvernement durable chargé de mettre en oeuvre le ...

Grèce: allégé des frondeurs, Syriza va former un nouveau gouvernement L'Express

Grèce: Victorieux, Alexis Tsipras forme son gouvernement 20minutes.fr

Éditorial :La Question : Quel sens accorder à la victoire d'Alexis Tsipras aux législatives grecques ? Le Monde

http://www.slate.fr/story/100193/hollande-demi-tour...

A en donner le tournis...

http://www.equilibrium-economicum.net/demitouraparis%20(1).pdf

www.equilibrium-economicum.net

Demi-tour à Paris ANGUS SIBLEY

Encore, un nouveau gouvernement

"Le dernier remaniement de François Hollande rappelle les mésaventures de son prédécesseur François Mitterrand il y a plus de trente ans. Celui-ci a entamé des projets assez socialistes: il a nationalisé les banques françaises autant que plusieurs grandes entreprises industrielles; il a également lancé des projets étatiques gigantesques.

La plupart des projets one été menés à terme. Entre eux sont l’Opéra Bastille, qui ressemble à une usine électronique, mais dont la sonorité est meilleure que l’apparence; la vaste Bibliothèque Nationale, richement fournie mais assez incommode; la refonte et l’élargissement du Musée du Louvre, bien réussis. Pourtant, les nationalisations ont été appréciées comme du champagne éventé.

Le septennat de Mitterrand s’est ouvert sur fond d’une économie française malingre. En 1982, le budget et la balance commerciale étaient dans le rouge; le taux de chômage dépassait les 8%, celui d’inflation frôlait les 10%; le franc a dû être dévalué en 1981, en 1982, et en 1983. Quelque chose devait craquer. En 1983, moins de deux ans après l’élection de Mitterrand, le renversement des nationalisations a commencé.

Les politiques socialistes de Hollande ont été bien moins drastiques que celles de Mitterrand. Les plus marquantes ont été le taux d’impôt de 75% sur les très hauts revenus, qui, même s’il s’affiche temporaire, a poussé quelques contribuables aisés à l’émigration; et la nomination du ministre de l’économie Arnaud Montebourg, qui a suivi une stratégie musclée"