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ils sont socialistes, ils doivent, (devraient), gouverner notre pays... Mais ???
Une certitude, ils ne savent plus comment se sortir de leurs utopies. économiques...
Pourtant, tout le monde en France, (compris nos socialistes), sait parfaitement ce qu'il faudrait faire pour sortir le la "débandade" économique "généralisée" qu'ils sont créés par leurs utopies économiques et syndicales...
A, y ajouter, la "débandade" sécuritaires et morale créée par leurs autres utopies, bisous-nounours, entretenues "sciemment" par la "mémère raciste en chef ", la Taubira.
Le principal thermomètre de ces débandades gouvernementales, la montée du FN, qui lui, en profite joyeusement...
Oui, Messieurs les socialistes, inutile de dire, "c'est la faute aux autres", du fait de "votre" soutien inconditionnel, "quand vous étiez dans l'opposition" aux dérives de notre système syndicaliste politique gauchisant...
Ce sont bien "vous" les socialistes qui ont créé notre actuel problème économique et ce, depuis Mitterrand.
Pour l'emploi, vous n'avez qu'une solution, "l'impossible", fonctionnarisation totale du pays... Vous avez juste oublié que, pour cela, il vous faut "du pognon", celui de nos impôts, taxes et charges sociales...
Oui, fonctionnariser le pays, une généreuse idée, mais elle a ses limites, le montant "champions du monde" de nos prélèvements d'état.
Prélèvements devenus tellement élevé que vous ne savez plus à qui les faire payés, sans vous fâcher "et même ruiner" tout ce qui produit en France, (soit, tout le secteur productif fonctionnant sur la compétition nationale ou internationale, ceux qui financent nos systèmes publics...)
Créant une fuite panique de la majorité des investisseurs potentiels, (nationaux et internationaux) ainsi que celle des entreprises de production ayant la possibilité de produire ailleurs...
Pour ceux ne pouvant pas fuir, vous avez créé les conditions optimums d'un développement inhabituel du travail au noir et de la fraude fiscale...
De là, notre système des prélèvements obligatoires d'état, impôts, taxes, charges sociales deviennent totalement improductives suivant le grand principe de Laffer...
Finalement, ce que vous n'avez pas encore compris, l'application de la courbe de Laffer, c'est juste "l'autodéfense" du citoyen contribuable sur-ponctionnée.
Sont principalement touchées par ces abus étatiques et, tout en restant sur place, les petites artisans, les micros entreprises, et les travailleurs à domicile, (ils ne peuvent pas fuir, leur boulot est en France), à vous rappeler, ce sont eux qui ont le plus de facilité d'autos défenses, (soit, le travail au noir et la fraude fiscale).
Guerre perdue d'avance contre eux par nos gouvernants gauchisants et leurs "sbires" contrôleurs Cégétistes fonctionnarisés, avec comme "armes de défense presque absolu" de lutte contre les abus administratifs, leur nombre et dispersion...
C'est certain, notre fonction publique et ses assimilés, peuvent, tous être très inquiets sur leur avenir, (surnombre, peu d'heures de travail, beaucoup d'avantages sociaux)...
Ce, juste en réfléchissant aux problèmes que rencontrent ceux qui les finances...
Vos premières marches arrière, non par complaisance pour ces gens, vos sans dents mais, par peur de tout perdre...
Après l'abandon des taxes sur les transports, la révolte des paysans matée à coups de subventions.
Aujourd'hui, pour les micros entreprises, retour à la case départ, (2008), après plus de 20% de recul des volontaires + les services à la personne, par le recul des taxations imposées, en 2011, par vous-même et, "logiquement", une augmentation de plus de XX % de travail non déclaré... (impossible d'être derrière chaque femme de ménage ou, chaque petit artisan pour vos inspecteurs ) + pour toutes les autres entreprises, une presque obligation de donner des primes incitatives pour qu'elles puissent continuer à vivres et à recruter...
Voila la réalité française d'aujourd'hui...
Que de gaspillages et de complications administratives alors qu'il serait si simple de revoir totalement, (en simplification), la copie de nos systèmes administratifs et sociaux, (travail, impôts, taxation et charges sociales)...
Ce qui est certain et va devenir obligatoire, c'est, il y aura encore de nombreux reculs à venir, dans vos réglementations, vos taxations, vos d'impôts et vos charges sociales...
Ce, justes pour que la France retrouve un avenir économique et puisse recréer des emplois...
En exemple...
L'essor des échanges entre particuliers commence à inquiéter l'administration fiscale !!!
Si les revenus de l'économie collaborative sont bel et bien imposables, rares sont les contribuables qui les déclarent. Et les transactions échappent largement à la TVA.
Par Ingrid Feuerstein Journaliste au service France
Dans une France en crise, l'économie collaborative a prospéré à grande vitesse. Vous louez à votre voisin sa voiture, sa tondeuse, ou bien un espace de stockage dans son garage. Vous financez l'entreprise d'un ami par une plate-forme de prêts entre particuliers. En voyage, vous ne logez plus à l'hôtel mais dans un appartement loué sur Airbnb. Les travailleurs précaires y trouvent le moyen d'arrondir leurs fins de mois, les consommateurs défiants, un mode de consommation plus conforme à leurs valeurs. Encore pionniers il y a quelques années, ces usages progressent à une telle vitesse qu'ils inquiètent non seulement les secteurs menacés d'« ubérisation » mais aussi l'administration fiscale. Si les revenus de l'économie collaborative sont bel et bien imposables, rares sont les contribuables qui les déclarent, souvent par méconnaissance des règles. Et les transactions échappent largement à la TVA. « L'administration fiscale apparaît bien démunie face à cette croissance des échanges entre particuliers », résumait un rapport du Sénat en septembre. Quel est le manque à gagner pour les finances publiques ? Difficile à estimer, mais certains chiffres parlent d'eux-mêmes : le site Airbnb compte 150.000 annonces en France, l'application de covoiturage BlaBlaCar affiche 8 millions de membres et 5 millions de visiteurs se rendent chaque jour sur Leboncoin.
Compte tenu des enjeux, le sujet s'est naturellement invité dans le débat sur la loi de finances à l'automne. En deuxième lecture, le gouvernement s'est appuyé sur une disposition votée au Sénat pour imposer aux plates-formes l'obligation d'informer les utilisateurs sur les conditions de fiscalisation et le montant annuel de leurs revenus à déclarer. Sur ce sujet, les hauts fonctionnaires de Bercy marchent sur des oeufs. Pas question de freiner un secteur en pleine expansion, et qui peut apporter des revenus d'appoint à des travailleurs précaires. D'autant qu'un cadre trop contraignant risquerait de faire fuir les utilisateurs vers des plates-formes qui ne jouent pas le jeu. Pour éviter cela, le Sénat avait justement introduit un seuil d'exonération de 5.000 euros en dessous duquel les revenus ne seraient pas imposables. Bercy n'a pas retenu cet abattement, considérant qu'il posait des problèmes constitutionnels. Cela risquait, en effet, de créer une rupture d'égalité devant l'impôt : par exemple, entre un propriétaire qui loue son logement à l'année, et celui qui passe par Airbnb.
Pour autant, ces mesures prises dans l'urgence s'apparentent plus à une rustine qu'à une digue face à une vague de fond qui submerge la société. D'ailleurs, de nouvelles dispositions sont attendues dans la prochaine loi El Khomri, alimentées par le rapport du député Pascal Terrasse. Car l'économie collaborative pose un véritable casse-tête à notre système fiscal. La première difficulté porte sur l'assiette d'imposition. Quels revenus taxer ? La réponse n'a rien d'évident vu la diversité des acteurs du secteur. Logement, covoiturage, « crowdfunding »… Chacun répond à des logiques différentes. Pour le financement participatif, le sujet est relativement simple : les intérêts perçus sont imposés comme tout produit d'épargne. Les prêteurs reçoivent chaque année un imprimé fiscal unique (IFU), également transmis à l'administration fiscale. L'équation se complique lorsque l'on aborde la location d'objets entre particuliers. Faut-il imposer le revenu brut du loueur ou le bénéfice ? Dans le second cas, le covoiturage est d'emblée exclu, puisqu'il n'est pas censé générer de profit, sans quoi une licence est nécessaire. Si l'on retient la taxation du bénéfice, il faut encore pouvoir le calculer. C'est possible pour une location de voiture puisqu'il existe un barème fiscal des indemnités kilométriques. C'est bien plus difficile pour tous les autres objets du quotidien : jusqu'à preuve du contraire, il n'y a pas (encore) de barème fiscal de la perceuse ou du lit bébé… Dès lors, faut-il que chaque contribuable calcule un amortissement de son bien ? On est loin de l'esprit de simplicité et de convivialité de ces plates-formes collaboratives…
Une fois l'assiette d'imposition définie, il faut encore clarifier le taux. En théorie, les revenus des utilisateurs doivent être déclarés au nom des bénéfices industriels et commerciaux (BIC). A ce titre, ils sont soumis à l'impôt sur le revenu. Mais remplir cette déclaration nécessite d'avoir un numéro de Siret, en clair, d'être propriétaire d'une entreprise. Ce n'est pas toujours le cas des utilisateurs… En somme, on veut les pousser à déclarer leurs revenus mais la déclaration d'impôt ne comporte pas de case à cet effet !
Le problème devient encore plus complexe si l'on aborde la question de la TVA. Inventé dans les années 1950 en pleine émergence de la société de consommation, cet impôt prévoit de faire porter la fiscalité sur le consommateur final. On n'avait pas prévu, à l'époque, que des consommateurs feraient affaire entre eux… Pour ne rien arranger, la TVA est encadrée par une directive européenne, ce qui fait que toute modification doit se faire en accord avec nos partenaires européens. D'après cette directive, les particuliers ne peuvent pas facturer de la TVA. Mais alors, les professionnels « ubérisés » peuvent crier à la concurrence déloyale. Tout ceci montre à quel point la frontière de l'activité commerciale est devenue floue. A partir de combien de voitures ou d'appartements en location est-on considéré comme un professionnel ? De nombreux utilisateurs se situent dans une zone grise… Car cette France du « boncoin », c'est aussi celle qui, écrasée par les charges, cherche à contourner le système. Sans doute plus pour longtemps…
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/021606810155-leconomie-collaborative-ce-casse-tete-fiscal-1191726.php?XtHk18rY700qfSob.99#xtor=EPR-3038
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