• Je n'ai rien de mieux à dire...

     

    De « hope for Francele 20/10/2012 à 18:34 »

     

    Les réformes de structure "à la française", ou la catastrophe assurée...

    Moscovici à déclaré que la France engageait des réformes de structure "à la française", qui sont "historiques". 
    En fait, il a voulu dire des réformes "à la socialiste", soit 99% d'impôts et charges et 1% (non détaillé) d'économies dans les dépenses.

    Ce que nous explique Moscovici, c'est que faire des réformes de structure, pour un socialiste français, c'est ne pas en faire, comme pour n'importe quel allemand, n'importe quel espagnol, n'importe quel anglais, n'importe quel grec, n'importe quel portugais, n'importe quel italien, de droite ou de gauche !

    Car, dans le socialisme français, la réforme, c'est l'amplification de nos faiblesses et de nos maux, parfaitement identifiés par la Cour des Comptes, à savoir l'excès de dépenses et de charges et impôts, qui ruinent la compétitivité de l'économie. 
    Bref, le monde entier a tort, toute l'Europe a tort, la Cour des Comptes a tort, Louis Gallois a tort, car la réforme "historique" et "de structure", c'est de faire plus de socialisme, dans une économie qui est déjà bien plus socialiste que celle de ses voisins et l'inverse de tous nos voisins.

    Bref, la réforme socialiste, c'est accélérer, quand on va dans le mur. Quelle catastrophe pour ce beau pays, d'avoir tant de nuls à sa tête ! 
    Voilà ce que c'est d'avoir laissé l’Éducation et les médias aux mains de l'idéologie et la propagande socialiste, depuis des décennies, que d'avoir confié tous les pouvoirs à des technocrates et des administrations, qui ne comprennent rien à l'économie.

    Voilà ce que c'est de croire que l'Etat peut décider et changer tout et croire que l'on va créer des richesses, en ne cessant de vouloir les partager... Nous allons hélas à la catastrophe.

     

     

    La Banque publique d'investissement, "pas pour aider les canards boiteux" (J-P Jouyet) …

     

    Rapport Gallois : "Hollande pris à son propre piège", selon Copé ...

    Deux titres de presse voulant bien dire ce qu'ils veulent dire, ces deux personnalités très lies de par leur fonction à l’économie réel, bien que de gauche, se font rabrouer par les tenants d'une politique économique gouvernementale des plus stupides.

     

    Ce que les socialistes et en règle générale les politiques et syndicalistes de gauche n’ont pas compris: Les rapports pouvant exister entre, la durée et le coût réel du travail, la sur taxation des entreprises et le prix de revient des produits ou services.

    Donc le rapport entre la compétitivité des dites entreprises, leur possibilité de vendre et le chômage...

    Ce qui fait que plus le fonctionnement de l’état coûte cher (Impôts et prélèvements divers), plus nos politiques devront taxer l’ensemble de l’économie, donc augmenter le chômage.

     

    Pourtant, Basique comme raisonnement...

     

     

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