La langue de bois, une grande spécialité des politiciens gauchisant .

Quand les politiques et les syndicalistes nient les réalités économiques du pays, les entreprises liées commercialement à l’international ou concurrencées par l'international, n'ont qu'une solution de survie.

Pour les plus grosses et les plus riches, l'internationalisation d'une grande partie de leur chiffre d'affaires par le système des filiales étrangères... Pour les petites et moyennes la délocalisation, la faillite programmée pour les autres.

Seules, celles travaillant sur les marchés internes protégés artificiellement ou naturellement, peuvent vivres ou plutôt vivoter...

Soit celles concernant le bâtiment (construction locale), la santé, les services directs à la personne, (petit artisanat local, services de nettoyage et de voirie, services aux particuliers ménage et autres, restauration et tourisme ), l'exploitation des matières premières internes au pays, la production, la transformation et la vente d’énergie sous « régies nationales », les transports internes, également ceux « sous régies nationales » …

(Sous régie nationale = protégée de la concurrence, donc productions et services vendus au prix fort ...)

Le grand problème, c'est que ces entreprises ne créer que très peu d'emplois réellement créateurs de richesse nationale. Elles travaillent majoritairement en circuit fermé, (l'argent des Français pour les Français). Sauf le tourisme (très dynamique pour la France), l'exploitation des matières première, (rares en France), les services exportables (forcément limités par leur coût) ...

Toutes les caractéristiques d'un pays en régression …