• Quand la gauche avec l'aide de "ses" syndicats séparent la France en 2 classes ...

    Les payeurs, 75 / 80 % de notre population auquel il faut retirer l'impôt sur le revenu de quelques XX millions de trop pauvres, ce qui ne les empêche pas de payer les diverses autres taxes...
    Dont, également en très gros payeurs, les patrons et investisseurs, les salauds "omis" du système... (je ne parle pas des multinationales, elles s'en foutent totalement).

    Et,


    Les bénéficiaires, souvent à vie, les 15 et 20 % de la population dont une part non-négligeable de leur revenu est exonérée d'impôts de taxes et de charges sociales, pour certains totalement ...


    Une gauche "profiteuse" qui nous dit, "braves contribuables, soyez tolérants", il ne faut pas toujours taper sur les fonctionnaires et leurs assimilés, ils se sacrifient au service de l'État les "pôvres" ...
    Ce qui est totalement faux, l'État, c'est avant tout le contribuable et, le plumer, ce n'est pas être à son service.

     

    Quand la gauche avec l'aide de ses syndicats séparent la France en 2 classes ...



    Puis avec l'esprit Cégétiste pour ne nommer qu'eux ... Soutenus par nos politiques fonctionnarisées ayant le même état d'esprit, être fonctionnaire ou travailler dans une entreprise à monopole d'État, c'est avant tout être au service de son propre confort et de sa carrière avec l'argent du travail des autres...
    Pour cela, l'utilisateur ou le contribuable ces deux cochons de payeurs, de plus emmerdeurs,
    ne sont que secondaires quand ils ne sont pas totalement oubliés...

     

    Quand même des exceptions, celles des 50 % de fonctionnaires, conscients de leur devoir et avantages... 

     

    Notre dette réelle, autour de 4500 milliards, juste pour maintenir la classe des privilégiés du système.

     

    Quand la gauche avec l'aide de ses syndicats séparent la France en 2 classes ...



    « 
    Le total de tous ces engagements "hors bilan" est de l'ordre de 2 500 milliards d'euros, le plus gros morceau, les retraites de la fonction publique, intervenant pour près de la moitié : entre 1 200 et 1 400 milliards, selon Éric Verhaeghe, ancien président de l'Apec (Association pour l'emploi des cadres), dans son étude du 3 novembre dernier pour Le Figaro.fr. »

    Moins nombreux, ils reçoivent plus...

    Ce que cet article oublié, c'est le surnombre des avantagés, (donc de nos inutiles environs 40 % en comparaisons des autres pays), et les avantages sociaux de ceux qui dépendent de l'État pour leur emploi, qui eux, nous ont coûtés au fils des années de « déficits », (plus de dépenses que de revenus).

    Déficits de gestion de notre état, mais aussi, de nos communes, de nos entreprises à monopole d'État, de nos systèmes médicaux et sociaux d'État (hôpitaux publics et S Sociale) + les divers soutiens à des entreprises sans avenirs, soit, les autres 3000 milliards gaspillés pour pures raisons électorales

    Milliers de milliards qui eux seront bien à rembourser par les contribuables à venir, vos, nos enfants...

    Pour ce qui est purement des retraites des « serviteurs incorruptibles et se sacrifiant pour la plus grande gloire de notre l'État,
     
    (ce qu'ils disent) ...

    (Leurs revenus et avantages prouvant le contraire).

     

    « Autrement dit, l'État s'est engagé à verser à l'avenir une masse de 1 200 à 1 400 milliards à tous les retraités des trois fonctions publiques au titre des pensions.

    « Pour la seule année 2015, ces retraites des fonctionnaires ont été budgétées à hauteur de 75 milliards d'euros et elles représentent 25 % du total de la dépense retraite en France, pour 15 % seulement des retraités. Nos fonctionnaires sont moins nombreux, mais reçoivent beaucoup plus. Éric Verhaeghe a calculé que l'augmentation annuelle moyenne des pensions des fonctionnaires s'établissait à + 4,5 % depuis 1990. L'effectif de ces pensionnés privilégiés a régulièrement augmenté pendant cette période (+ 1,9 % par an) tandis que le montant des pensions pour les seules collectivités locales augmentait de 7 % par an depuis 1990, ce qui est proprement insensé... Toujours les mêmes qui profitent du système !

    L'ancien président de l'Apec a découvert que 30 % de la dérive des dépenses de l'État depuis 2006 sont dus aux retraites des fonctionnaires. Selon le Conseil d'orientation des retraites (COR), les cotisations des agents en activité, dont le nombre ne cesse pourtant d'augmenter, ne couvrent que le quart des pensions versées, les trois quarts restants étant pris en charge directement par le budget de l'État, qui les finance... par de la dette ! Il faut rappeler que les fonctionnaires bénéficient d'avantages exorbitants, leur retraite étant basée sur leurs six derniers mois d'activité - 25 ans pour le privé - et qu'ils travaillent cinq à dix ans de moins que les autres pour des salaires en moyenne plus élevés et des pensions nettement supérieures.

    Lorsque la France sera officiellement en faillite, ce qui arrivera inéluctablement à ce rythme, comme c'est arrivé en Argentine ou en Grèce, il faudra bien payer d'une façon ou d'une autre tous ces passifs et tous ces engagements faramineux. On écoutera alors avec une tristesse glacée, mais avec une certaine curiosité, les recettes et les conseils de nos hauts fonctionnaires donneurs de leçons, pris par le démon et les délices de la politique, qui auront dilapidé sans vergogne les trésors de leur pays et hypothéqué pour longtemps l'avenir de ses enfants. »

     

    À lire également sur le sujet de vos retraites...

    Enfin, ce qu'il en reste si vous n'êtes,
    ni PDG d'un grand groupe, ni ministre, ni député, ni sénateur, ni fonctionnaire, ni employé à, l'EDF, la poste, La SNCF, la Sécurité Sociale et tout autres du même style ...

    http://h16free.com/2014/11/19/35146-retraites-plombees-retraites-dorees

     

    Quand la gauche avec l'aide de ses syndicats séparent la France en 2 classes ...

    Ce qui reste de sa bonne moralité...

     

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