• Toujours du basique, les bénéfices de l'entreprise, l'emploi et le Social… indissociables !

    Le travail en France, son coût réel et son organisation, un tout liés à des mots galvaudés.

    Emplois, patrons, chefs d'entreprises, investisseurs, bénéfices, richesse, délocalisations, risques, sécurité sociale, ...

    Puis très liés, ou même dépendant de ...

    Chômage et indemnisation, salaires, RSA et pauvreté, aides sociale, heures travaillées, licenciement, syndicats, réglementations, code du travail.

    Patrons, chefs d’entreprises, investisseurs, bénéfices et richesse, des mots rejetés par la partie gauchisante de la société française ???

    Pourquoi ? Un grand mystère pour un pays démocratique et sur le fond riche ...

     

     

    Liés à travail et chômage, une vision typiquement françaises!

     L'emploi, doit être «à vie» ?

    L'entreprise, elle, a toujours une durée de vie liée à ses productions à ses marchés, à sa rentabilité, donc toujours limité ...

    Ce qu'il fait qu'elle reste toujours «liée au mot risque», tout le monde le sait ... Mais, fait semblant de ne pas savoir donc, antagonisme avec le mot «à vie»...

    Ce grand principe « du risque entrepreneurial» est international, une entreprise n'existe que si le gouvernement dont elle dépend sait organiser et synchroniser cet ensemble fragile, «entreprises, taxations, emplois», dont, le résultat final est, le plein-emploi ou le chômage .

     

    Une entreprise doit obligatoirement gagner de l'argent pour investir et pour payer ses salariés, sont patrons et ses actionnaires)...

     

    Même si certains syndicats politisés disent le contraire, une sorte de déni des réalités.

     

    Dans entreprise, il y a un mot ou un réflexe de survie qui situe le problème...

    Les délocaliseurs, des salauds... 

    Mais pourquoi, ils délocalisent leurs entreprises?

    Ce devrait être la première saine réaction avant de traiter les délocaliseurs de salauds.

     

     

    Sécurité sociale et social, en France, très dépendant de l'entreprise, ne peuvent fonctionner que si le travail productif peut les financer .

    Seuls les «bénéfices du travail», mot très généraliste comprenant les emplois, les salaires, et toutes autres rémunérations liées à ses emplois, sont à même de financer ses deux grands principes français, le social (CAF) et, la sécurité sociale (maladie)...

     

    Donc, vouloir avoir des patrons et des investisseurs qui perdent de l'argent ou qui n'en gagnent pas ...

     

    C'est être contre l’emploi, contre le sociale, pour la pauvreté et pour la délocalisation...

     

    Notre grand problème actuel...

     

     

    La seule réponse possible, reste d'avoir des entreprises rentables, donc faisant des bénéfices, ce qui n'est pas une évidence quand ceux qui vivent de ses bénéfices les critiquent et leur refusent le droit d'exister... Ce en taxant au maximum, même au-dessus des possibilités, (la confiscation) de ses bénéfices pour un avantage particulier, celui de l’état et se ses intervenants...

    Taxations, qui si exagérés, est toujours au détriment des entreprises, entrepreneurs, investisseurs et employés produisant ses bénéfices.

    Cette production de bénéfices, étant absolument commune a l'activité de tous les intervenants de l'entreprise ci-dessus nommés, en supprimer ou amoindrir un, c'est aussi supprimer les autres... (Un équilibre encore à trouver).

    Les nationalisations ne règlent aucunement le problème, l’échec du communisme l'a prouvé...

    Seul, l'équilibre des taxations, des salaires et autres rémunérations du travail et du social, toujours Payer par les bénéfices des entreprises (même dans les systèmes socialistes ou communistes). Peuvent assurer la pérennité des systèmes emplois et social...

    Une pérennité en permanence remise en question avec l'internationalisation du travail, du commerce et de l'industrie. (Sans retour possible, c'est l’évolution naturelle de la race humaine)

    Font que nos blocages syndicaux qui s’arquent boutent sur un code du travail obsolète et incompréhensible, de plus inutilisable à l’international.

    Liés aux taxations abusives de l'Etat. (Toujours en rapport de l’internationalisation des productions industrielles)

     

    Restent à eux deux, nos meilleurs pourvoyeurs de recul, de chômage, et de pauvreté.

     

     

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