L'argent du travail du contribuable, celui du bénéfice des entreprises, celui de nos charges sociales patronales et salariales, se trouve à être totalement absorbé, et même insuffisant pour financer les dérives de gestion de nos divers gouvernements.

Ces dérives financières, toutes biens connues, donc faciles à réparer ... S'il y avait volonté ...
Et à franchement parler, la volonté de changement n'est sûrement pas à gauche, et encore moins syndicale ...

Ce sont bien eux nos fonctionnaires, politiques et syndicalistes qui en sont les principaux bénéficiaires de nos impôts et taxes. ( les pauvres n'en reçoivent que quelques miettes)

Et, ils sont contre tout changement ...

Le trop grand nombre de fonctionnaires d'états et communaux additionnés à leurs avantages sociaux et privilèges... (clientélisme syndical et électoral).

+, des presque fonctionnaires, bien caché par le financement de trop nombreuses associations gouvernementales à but plus ou moins clair, mais toujours très lucratif pour les bénéficiaires... (Sorte de placard administratif, au mieux... Ou, au pire, camouflage des dérives administratives de nos gouvernants)

+, des sociétés d'états avec monopoles fonctionnant hors toutes concurrences sous contrôle syndical absolu, dont la seule rentabilité est à base de tarifs imposés et d'interdiction de toutes concurrences. Et comme insuffisant, par subventions à fond perdu. Avec comme seul mode de gestion, la grève paralysante.

+, des communes trop nombreuses, des chevauchements entre communautés de communes, conseils généraux conseils régionaux, préfectures, sous préfectures, Etc.,  

Un énorme gaspillage financier avec de trop nombreux élus et autres fonctionnaires dont au moins 1/3 est totalement inutile.

Des syndicats d'arriérés « sociaux », (staliniens), cherchant par tous les moyens à leur disposition, (compris la menace, la tricherie et le vol social), la ruine de notre société et de ses entreprises...

(Leur rêve, une France sur le modèle de l'ex URSS où ils seraient princes)

Un système social obsolète, (ex meilleur du monde), sous contrôle totale d'un syndicalisme destructeur y trouvant la majorité ses financements ... (Financements destinés à écraser notre système démocratique pour le remplacer par leurs rêves dictatoriaux).

Voilà notre France sociale-administrative politisée et syndicalisée, celle qui avec ses électeurs crédules, reste le principal, responsable de nos près de 9.000.000 de chômeurs ... http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/9-millions-de-chomeurs-en-france-149782 

De près de 10.000.000 de pauvres, http://www.lesechos.fr/23/01/2014/lesechos.fr/0203263514369_la-pauvrete-en-france-suit-une-tendance--tres-preoccupante---pointe-l-igas.htm …

Une France en agonie sociale et financière...

Malgré les belles et mielleuses paroles de son président et les cris de guerre d'un syndicalisme obtus.

Continuent à monopoliser par l'impôt, les taxes et les charges sociales, la grande majorité des ressources du pays...

D’où, notre chômage +

Avec un code du travail comme nous avons, il faudrait être un entrepreneur suicidaire pour embaucher en CDI...       

Même tout simplement pour embaucher …

Plus, les sur-taxations de tout ce qui est entreprises et entrepreneurs, ce juste pour financer les emplois à vie et autres avantages sociaux plus retraites de nos salariés d’état en surnombres …

Et encore, de par leurs surnombres additionnés à leurs coûts induits et à vie ( Fonctionnaires d’états, communaux et employés des organismes sociaux, mais également les cachés dans les associations financées par l’état, ainsi que ceux dépendants des grandes entreprises avec monopole d’état). Nous nous trouvons à avoir une économie qui continue régresser alors que les pays bien gérer eux, sont en reprises économiques.

Aujourd'hui, nous savons tous que nos élus fonctionnaires, (plus de 60 % ), ne feront rien pour atténuer ce problème, tous ceux qui sont salariés dépendants de l’état et de ses monopoles, sont leurs amis politiques et leurs électeurs.

De plus, devant leur incapacité, (souvent volontaire et intéressée financièrement), à reformer sérieusement l’économie du pays. 

Ils savent pertinemment que leur avenir d’élus de gauche, (impopularité notoire avec moins de 20 % de satisfaits, soit juste eux-mêmes), est pour eux, tout simplement un retour à la case départ, celle d'un modeste bureau de fonctionnaire en surnombre et donc, sans autre réel avenir que celui de l’être à vie.

A cela, je rajouterais la défection de nos possibles enseignants ... Principalement dans les matières scientifiques, probablement par manque d'avenir salarial, l'effet d'un surnombre empêchant toutes évolutions de carrières et de salaires …

Là aussi, nous touchons le fond du conservatisme d’état et syndical. (Avec souvent le départ de ces jeunes à hautes capacités vers l’étranger, juste pour y trouver un meilleur avenir de plus, en avantage, moins taxé).