• Et encore, ce n'est que la somme officiellement déclarée par nos gouvernants, il faut y ajouter les hors-bilans http://www.challenges.fr/economie/20130611.CHA0587/les-3-000-milliards-de-dette-que-nous-cache-l-etat.html 

     

    La dette publique française passe le cap des 2.000 milliards d'euros Avec 2.023,7 milliards d'euros à la fin du deuxième trimestre 2014, la dette publique progresse de 1,1 point et représente 95,1% du PIB. - Insee. 1 / 2. La dette publique nette augmente dette brute Maastricht. La dette publique nette augmente un peu moins ...

     La dette publique dépasse les 2 000 milliards d'eurosLe Point

     La dette publique dépasse la barre des 2.000 milliards d'eurosChallenges.fr

     Articles de fond :La dette de la France crève officiellement le plafond des 2000 ...Le Figaro

     

    « S'endetter, la solution de facilité de tous les faibles, juste pour continuer à vivre au-dessus de leurs moyens... Voir prise en compte de ce problème par la Banque de France et les tribunaux... (bien sur, pour les particuliers) http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F134.xhtml

     Une autre vision de l'endettement ... À faire peur... http://www.lecontrarien.com/ 

     

    Pourquoi, depuis Mitterrand notre dette nationale et nos coûts de fonctionnement ont explosés ???

     

    Dette publique, comment en somment nous arrivés là ???



    Bien sûr, par faiblesse gouvernementale, la première base de cette faiblesse est, corruptivement et "sympathiquement" électorale.

    Une corruption politique et syndicale très bien acceptée en France, sauf que de par ses débordements, elle a mis en péril notre économie...

    Pourtant, cette corruption sournoise a bien arrangé tout le monde, l'élu et l'électeur, au point ou même des partis politiques, se disant vouloir tout changer en France continuent leur recrutement électoral sur ces bases corruptrices ...

    Dette publique, comment en somment nous arrivés là ???

     

    (Nous l’appellerons le conservatisme, le plus sournois restant celui du FN, dont les bases de recrutement et de développements, (captation de la clientèle traditionnelle de gauche reste la promesse électorale de maintiens des avantages acquits), ce qui est naturellement impossible et encore plus impossible, si l'on examine de prés sont programme économique.

    Le FN, ne peut être qu'une croyance au même titre que les religions ou le communisme, même s'il s'appel, Melanchon ...

     

    Comment ça fonctionne à gauche, je dis à gauche pour la simple raison que cette corruption électorale sournoise a été la première raison de la prise totale du pouvoir en France par la gauche.

    Prise de pouvoir par la ruse et la corruption électorale + syndicale, (dans la France de gauche, les deux sont très lies « syndicats et pouvoir politique »), ensemble qui aujourd'hui se retourne contre notre gauche pour simple raison de ruine économique, du pays France, (ruine qui était très prévisible).

    Ce qui est le résultat naturel de tous les systèmes corruptifs... ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Corruption ), la plus sournoise restant la corruption électorale par promesses intenables ou par recrutement d'inutiles...

    Notre droite ayant elle-même vécut depuis le Mitterrandisme sur ce système, même si plus modestement... C'était son argent... Alors que pour l'électeur basique de gauche, c'est l'argent des « riches »...

    Ce qui aujourd'hui n'est plus le cas c'est devenu le sien, (à 4000 € mois, on est riche, ce qui est le cas de la presque totalité de nos Bobos), d'où, volte face de l'électeur de gauche qui de lui-même, c'est piégé ...

    Le piège, il est simple : par les bons "Kamarates", « on » se fait élire à de petits postes de responsabilité communaux ou syndicaux...
    De là, on facilite le recrutement d'autres bons "Kamarates", sur le fond, presque tous, des gens modestes et sympathiques, (c'est là qu'est le grand problème, ils ont bon cœur, mais certains, comme partout ont les dents longues)...

     

    Dette publique, comment en somment nous arrivés là ???

     

    (kamarate, le mot réel utilisé par le communisme soviétiques. Sympathique au début mais très rapidement devenus un élément prédominent de la langue de bois, « Kamarate, tu seras fusillé à l'aube ... »)

     

    Naturellement, par effet boule de neige, « on » occupe de plus en plus de postes publics à responsabilité, ce qui fait qu'à partir d'un certain nivaux, (nombre responsabilité et salaires correspondant), l'on arrive à capter et surtout à contrôler la totalité de l'argent public...

    Notre actuel grand problème, quand on est incapable de contrôler correctement, (comptablement), ou quand on contrôle utopiquement... Ils en faut toujours plus de nos impôts, taxes, charges sociales et emprunts...

    Il n'y a plus de limites...

    C'est simple et facile dans la pensée et l'utopie de gauche, c'est toujours l'argent des riches...

    Sauf que...

     

    Dette publique, comment en somment nous arrivés là ???

     

    OU...

    Dette publique, comment en somment nous arrivés là ???

     

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  • Les devoirs à la maison, un amplificateur de réussite sociale ??? à éliminer ...

     

    Notre société, pensées ou actes antisociaux ... La loi et les syndicats veillent...

     

    Tout comme le travail, dans la formule, travailler plus pour gagner plus ... Pas socialiste, à supprimer.

     

    Notre société, pensées ou actes antisociaux ... La loi et les syndicats veillent...

     

    Les deux pensées et actes "antisociaux" classiques de notre gauche utopique...

     

    La dernière, condamner les petits délinquants, c'est pas leur faute, c'est la faute à notre société de possédants ??? 

     

    Notre société, pensées ou actes antisociaux ... La loi et les syndicats veillent...

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  • Les résultats finaux du principe de précaution et du correctement politique, ils nous ont détruits …

    Le pays n'a plus d’âmes, la grande majorité des citoyens Français ne sont plus que des peureux, pour quelques autres, de simples aigrefins "aux dents" démesurément longues, soit, ou des incapables ou, des voleurs...

     

    Kersaudy : la République de la peur

    Le Point - Publié le 29/09/2014 à 06:37

    Du président au simple citoyen, les Français ont peur. Cette litanie paralysante établie par François Kersaudy est la source de mal-être de notre pays.

     

    " "Nous n'avons rien d'autre à craindre que la crainte elle-même", déclarait le président Roosevelt lors de son discours inaugural. Huit décennies plus tard, cette même phrase s'applique parfaitement à la France d'en haut, d'en bas, du milieu et de la périphérie... Qu'on en juge : les décisions du président, tout comme celles de son prédécesseur, sont dominées par la peur abjecte et paralysante de n'être pas réélu. Une peur qui domine toutes les autres, et empêche de supprimer les aberrations les plus criantes qui ruinent le pays : les 35 heures bêtement et uniformément imposées, la retraite à 60 ans, l'ISF épouvantail, la fiscalité confiscatoire, les effets de seuil dissuasifs, le Code du travail obèse, les dépenses publiques les plus élevées du monde, le coût du travail excessif, le collège unique corrosif, les fraudes aux allocations, les abus du droit de grève, le logement encadré, le communautarisme subventionné et les encouragements législatifs à la récidive délinquante.

     

    Poupées russes

     

    Mais, tout comme dans un montage de poupées russes, cette peur des réformes indispensables s'insère dans bien d'autres peurs plus largement répandues dans le pays. Pour partir du sommet, le président normal a peur du monde réel, de l'engagement, de Bruxelles, de Sarkozy, des militants, des déficits, des économies, de la finance, du Front national, de Martine Aubry, des statistiques du chômage, des entorses à la langue de bois, des médias inquisiteurs, des conseillers fraudeurs, des députés frondeurs, des Premiers ministres ambitieux, des ministres narcissiques, des fonctionnaires pléthoriques, des agriculteurs colériques, des islamistes fanatiques, des trotskistes dogmatiques, des profs anarchistes, des travailleurs revendicatifs, des antiracistes sélectifs, des grévistes compulsifs, des intermittents subversifs, des syndicats réactionnaires, des associations agressives, des anciennes maîtresses vindicatives, des chômeurs encombrants, des étudiants arrogants, des immigrants envahissants, des écolos urticants, des bobos sociétaux, des manifestants professionnels, des patrons ingérables et des délinquants incontrôlables.

     

    Les parlementaires ont peur de revenir trop tôt devant les électeurs, de ne pas amasser suffisamment d'argent durant leur mandat, d'être dénoncés lorsqu'ils en amassent trop, de voter des lois ineptes dictées par l'exécutif, de ne pas les voter, d'être épinglés pour absentéisme trop voyant, de devoir renoncer à leurs illusions marxistes, nationalistes ou isolationnistes, de découvrir que ce sont les entreprises capitalistes plutôt que les administrations qui créent de l'emploi productif, de faire les frais d'une éventuelle réduction des effectifs pléthoriques de l'Assemblée ou d'une souhaitable et improbable suppression du Sénat...

     

    Les patrons ont peur du dirigisme étatique, des foucades ministérielles, de l'incompétence parlementaire, du harcèlement syndical, des réglementations délirantes, des taxes et impôts écrasants, des embauches risquées, des licenciements ruineux, des prud'hommes gauchistes, des RTT à rallonge, des ponts interminables, de la paperasserie chronophage, des inspecteurs hargneux, de l'insécurité juridique, de la fuite des riches, des capitaux et des jeunes cadres dynamiques, du principe de précaution paralysant et de la pénibilité qui transformera tout employé en martyr potentiel.

     

    L'opposition de droite a peur de son ombre

     

    Les syndicats ont peur de leur faible représentativité, des plus durs qu'eux qui les trouvent trop mous, de leurs propres excités, des patrons nécessairement voyous, de la colère des travailleurs mis sur la paille par leurs grèves à répétition, des révélations sur leurs financements, leurs détournements, leurs caisses noires et leurs châteaux, des réglementations européennes qui vont briser leurs gagne-pain et leurs monopoles, de l'évolution du monde qui met constamment à mal leur logiciel resté figé à 1919, 1936 ou 1945, etc.

     

    L'opposition de droite a peur de son ombre, de ses dettes, de l'agitation de Nicolas Sarkozy, des rivalités entre les quinze candidats potentiels à la présidentielle, des leçons de morale de la gauche, des courbes de sondages erratiques, du jugement des médias, de l'aboutissement des procès en cours, des accusations de racisme, de fascisme, de machisme, d'homophobie ou d'islamophobie, et des poursuites judiciaires pour propos publics ou privés jugés contraires au politiquement correct en vigueur. Elle a également peur de définir une politique de droite, d'être assimilée au Front national, de perdre les électeurs au centre pour en gagner à droite et vice versa, d'apprendre comment se sont envolés les millions d'euros durant ses campagnes électorales, d'être dépassée par ses militants les plus extrémistes et enfin d'être appelée trop tôt à remplacer une gauche empêtrée...

     

    Le peuple a peur des fins de mois difficiles, de l'amateurisme gouvernemental, des délocalisations accélérées, du chômage endémique, des promesses non tenues, des impôts outranciers, des grèves à rallonge, de la délinquance sauvage, du crime organisé, de l'immigration incontrôlée, des jeunes déboussolés, de l'éducation nationale à la dérive, de la bureaucratie étouffante, du terrorisme aveugle, de l'incertitude des lendemains, de la dette abyssale à léguer aux enfants, du nombre croissant de ceux qui vivent d'allocations sans fournir de travail productif, du dysfonctionnement des très coûteux services publics, de la multiplication exponentielle du nombre d'illettrés (avec interdiction de prononcer le mot), de la priorité donnée aux immigrés pour le logement social et l'aide médicale d'État et même de l'interdiction de revendiquer une identité nationale comme tous les autres peuples de la terre.

     

    La peur de la peur

     

    On pourrait continuer ainsi ad infinitum, avec la police qui a peur des bavures en coursant les malfrats que la justice remettra aussitôt en liberté, les profs qui ont peur des élèves, des parents d'élèves, des chefs d'établissement, des inspecteurs, des réformes délirantes et des ministres sectaires, les musulmans qui ont peur de leurs extrémistes et des amalgames qu'ils suscitent, les juifs qui ont peur de la barbarie islamiste et de l'antisémitisme d'extrême gauche, les écolos qui ont peur de tout et les agriculteurs qui ont peur du reste... Chacun complétera à loisir la longue litanie de nos peurs, auxquelles s'ajoute la peur de se montrer craintif - car, pour tout dire, ami lecteur, il faut beaucoup de courage pour avouer que l'on a peur !"

     

    Nos gouvernants en pleine action

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  • Nos sénateurs, (un train de sénateur), lent et majestueux , c'était il y a longtemps...

    http://www.expressio.fr/expressions/un-train-de-senateur.php 

    Les pas très utiles mais couteux de notre république sont passé à droite ???


     

    Aujourd'hui, nous parlerions plutôt ,"en train de vie généreux de sénateur" ... Celui de, à moi le pognon du contribuable... 

    http://www.challenges.fr/economie/20140918.CHA7897/l-indecent-train-de-vie-de-nos-chers-senateurs.html

     

    Le plus crédible de nos sénateurs...

    Les pas très utiles mais couteux de notre république sont passé à droite ???

     



    Et si l'on changeait le sénat, normalement à son origine, de vieux sages chargés de voir si les lois correspondent bien aux nécessité du pays et du citoyen...

    Tout reprendre au départ ...  On conserve le sénat et son mode d'élection, mais on en refait un vrai conseil de sages ...

    (Un Sénat qui fait double usages avec le Conseil constitutionnel mais, qui comme lui, permet de recaser les vieux chevaux de retour de la politique.)

    Ne peuvent se présenter, que des retraités de tous bords, (important), politicards ou simples citoyens avec un, forfait égale et modeste, pour leur campagne électorale auprès des mairies (grands électeurs) ça fait peut de monde ...

    Bien sur, indemnisé, mais uniquement au jour de présence, (forfait généreux si l'on veut, leur travail et sérieux, plus les frais de déplacement), c'est tout, ce sont des retraités et volontaires...

    Pour le reste, voter des lois, même des inapplicables et les plus catastrophiques par "soumission stupide, et même souvent mal-honnête" au parti dirigeant. 

    Soit, en "conneries institutionnelles", notre assemblée nationale est largement suffisante.

    "Y a pas" besoin d'un sénat qui marche sur le même système ...

    Les pas très utiles mais couteux de notre république sont passé à droite ???

     

    L'acceptation ou le refus de ses lois, ce sera naturellement le choix final du peuple, du citoyen, (c'est facile avec internet ou referendum comme en Suisse), si son choix est mauvais ou, s'ils n'en a pas la capacité, notre brave peuple, brave citoyen, la faillite du pays est la sanction naturelle.

     

    Peuple, bonne poire fermant sa gueule à coups de pieds dans le cul, indispensable dans la dialectique de tout dictateur ou futur dictateur.

    Citoyen, en théorie, homme responsable de ses actes.

     

    Si on continue sur cette voie, ça ne va pas tarder, ce sera ou la faillite ou une dictature, ou probablement, les deux ... 

    Soit le prix final à payer du, chacun pour soit, (les autres, mais surtout pas moi ou je casse tout), dernier exemple en date, nos "gentils" pilotes d'air France.

    ("L'on" croyaient , bêtement, à ce nivaux de responsabilités, avoir affaire à des citoyens sérieux et responsables ???). 

    Décidément, c'est non, en France, plus on a de responsabilités, plus on est irresponsable...

     

    Qui seront les prochains ??? 

     

    Mais surtout, quels seront ceux qui entraineront la catastrophe économique finale par "inconséquence citoyenne".

     

    Les pas très utiles mais couteux de notre république sont passé à droite ???

     

     

     

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  • L'Allemagne s'attend à une croissance plus faible que prévu

    BFMTV.COM  
    Selon le ministre allemand de l'Economie, l'Allemagne ne tiendra pas ses prévisions de croissance pour 2014. La faute à la crise en Ukraine et à la faible reprise en zone euro. Mais elle fera mieux que ses voisins.

     

     Celle de la France est à - 0 - et peut être moins dans la réalité ...

    "Quand les gros maigrissent les maigres meurent" ... C'est bien connu.

    Nos partisans du nivellement par le bas, et de la dépense payer par les autres, devraient réfléchir à deux fois avant de critiquer le système économique allemand.

    Il marche, pas le notre ...

    Principalement quand on passe son temps à solliciter l'Allemagne pour qu'elle partage ses richesses et ce, sans vouloir ou être capable de faire le moindre effort d'économies.

     

    À, que cela fait plaisir à nos socialistes ...

     

     

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