Les privilégiés de la SNCF, leurs syndicats et une grande partie de la gauche sont contre, ils risquent d'y perdre leurs prorogatifs de seul transporteur de voyageurs, ( monopole d'état), et donc le droit de "foutre le bordel" la veille des départs en vacance, en plus grave pour eux, à terme par effet de concurrence de perdre leurs avantages sociaux et retraites d'exceptions...

Pour la gauche, en plus, de fidèles électeurs.

Ils ont déjà perdu leur dominance sur les transports de marchandises, (grèves, délais, prix), et ce, malgré les centaines de millions de subventions gouvernementales, une partie non-négligeable des impôts et taxes payer par les transporteurs du privé.

 http://www.lepoint.fr/economie/loi-macron-les-hostilites-s-ouvrent-autour-du-transport-en-autocar-28-01-2015-1900168_28.php#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20150128

"La loi Macron a connu ses premières passes d'armes mardi à l'Assemblée, notamment au sein de la gauche, avec les débats sur la libéralisation du transport en autocar longue distance à l'intérieur du territoire français. Inscrite à l'article 2, le principe de l'ouverture à la concurrence de lignes d'autocar interurbaines régulières est "bon pour l'activité" économique, "meilleur pour le maillage territorial" des transports et pas anti-écologique, car les autocars sont de moins en moins polluants, a plaidé le ministre de l'Économie Emmanuel Macron. Pour les liaisons inférieures à 100 km, les régions ou départements pourront demander au nouveau régulateur (Arafer) de ne pas autoriser l'ouverture de lignes d'autocar si cela porte une atteinte substantielle à l'équilibre économique du service public, notamment de la ou des lignes concernées."

http://ventdauvergne.canalblog.com/archives/2005/10/20/912618.html

"D’abord, les comptes de la SNCF sont faux ! C’est ce qu’affirme Christian Gérondeau dans son livre Les danseuses de la République, cité dans ce mensuel : « Tout est faux. Les comptes, le chiffre d’affaires, le nombre de salariés, les prétendus 53 millions d’euros de bénéfices de cette année…C’est un mensonge d’Etat. Les comptes sont totalement fictifs. Comment cette entreprise peut-elle se dire bénéficiaire, quand le dernier rapport parlementaire sur la question estime à plus de 10 milliards d’euros son coût annuel pour les contribuables ? »

Ensuite, le déficit des lignes Corail interrégionales atteint 124 millions d’euros. Sur 25, seules 3 sont bénéficiaires (selon une indiscrétion venue de l’entreprise elle-même). Car une ligne cesse d’être rentable à moins de 200 passagers par jour d’un bout à l’autre de la ligne. Seulement les statistiques de notre fleuron national sont muettes à ce sujet. Il faut un accident ferroviaire pour que le bon peuple soit au courant. Ainsi le 21 novembre 1999, le train Clermont-Béziers (le chouchou des socialistes auvergnats) a un accident : « Aucun des treize passagers n’a été blessé » dit la presse. Allo, Pierre-Joël ! Pourquoi tu tousses ?

Christian Gérondeau nous apprend également que les chemins de fer n’assurent que 4% des transports. Pourquoi ? Horaires peu adaptés, temps de trajet trop longs par rapport aux distances. Aussi les trains fantômes continuent-ils allègrement de rouler à nos frais. Créons alors des lignes régulières d’autocar, me direz-vous ! Sauf que la législation française ne le permet pas à cause d’une loi qui remonte à 1934. Ô modernisme!"

Lue dans:

http://www.contrepoints.org/2015/01/28/195998-radars-humour-parisien-et-securite-routiere-bidon

"Cependant, si on peut faire la constatation physique indéniable qu’avec une vitesse maximale autorisée de zéro, il n’y aurait probablement plus aucun accident, force est de constater que les expériences menées en matière de réduction de la vitesse ne permettent en réalité pas du tout de tirer les conclusions pour le moins hardies de nos politicards et des dirigeants d’associations satellites qui sont toujours là lorsqu’il s’agit d’aller cadenasser le citoyen pour son bien.

L’exemple du périphérique parisien est d’ailleurs fort intéressant : la baisse récente de limitation n’a pas franchement abouti à l’effet escompté, bien que la presse se soit largement gargarisée du communiqué de presse dithyrambique de la mairie assurant urbi & orbi – comme c’est pratique – que l’effet bénéfique fut spectaculaire. En réalité, outre une baisse inaudible du bruit, une diminution imperceptible de la pollution (et une probable augmentation du benzène de combustion), la mairie occulte habilement qu’on est passé de 4 morts en 2013 à 7 en 2014, ce qui montre de façon assez éclatante que s’il y a eu un effet, il n’est pas très glorieux.

En revanche, s’il y a bien eu un effet très palpable, c’est sur les infractions constatées dont le nombre a bondi puisqu’elles ont triplé en un an. Ici, on pourrait soit admettre que le parisien moyen est subitement devenu un chauffard entre le 31 décembre 2013 et le premier janvier 2014, soit que l’abaissement drastique de la vitesse maximale autorisée a largement permis de multiplier les contredanses (dont on apprend, au passage, que 40% sera reversée aux collectivités territoriales). Pratique financièrement, mais d’une moralité douteuse.

Cette douteuse moralité ne serait donc pas franchement au service d’une route moins dangereuse contrairement à ce que tenteraient de nous faire croire les passionarias d’associations de sécurité routière, mais plutôt au service des finances de l’État, éventuellement à leurs corps défendant (mais pas toujours). Cette supposition hardie semble corroborée par la multiplication des radars automatiques en parfaite décorrélation des points noirs du réseau routier français et en forte corrélation avec les lieux d’importants passages à vitesse élevée.

Du reste, cette affirmation est assez facile à vérifier. Pour cela, j’emprunterai une méthode fort intéressante auparavant décrite par Charles Murray et reprise sur le site Evoweb (dont je recommande la lecture). En substance, si l’introduction des radars doit marquer une amélioration notable de la sécurité routière, cela doit pouvoir se constater facilement.

Pour cela, voici le graphique du nombre de tués sur la route en France.

(Cliquez sur les graphiques pour les agrandir au besoin)

Pour illustrer mon propos, j’ai enlevé la marque des années et celle indiquant le moment où les radars automatiques furent introduits. En toute bonne logique, leur introduction doit se remarquer sur la courbe par l’apparition d’une pente décroissante, ou, mieux encore, par un retournement de tendance (passer d’une hausse à une baisse). Toute autre positionnement prouvera en revanche que l’effet des radars ne peut pas être l’unique facteur d’une hausse ou d’une baisse.

Pourtant, lorsqu’on rétablit la courbe complète, où apparaissent années et le moment précis d’introduction des premiers radars en France, on constate – c’est dommage – que ces derniers s’inscrivent en plein milieu d’une tendance à la réduction des accidents mortels, déjà largement entamée depuis des années. Si l’on regarde attentivement, on constate même que leur arrivée sur les routes correspond aussi au moment où la baisse du nombre de morts ralentit nettement.

Autrement dit, non, les radars ne sont en rien une garantie de l’augmentation de la sécurité sur les routes. Les progrès continus de sécurité passive sur les voitures (air-bags, anti-patinage, aide au freinage d’urgence, etc.), l’abaissement des seuils de tolérance pour l’alcool, les changements notoires d’habitudes (ceinture de sécurité, notamment) ont certainement plus fait pour sauver des vies que les automates à contredanses sur les bords des autoroutes.

En outre, faire marcher la fibre émotionnelle et prétendre lutter pour la sécurité en culpabilisant les conducteurs sur le seul critère de la vitesse dispense complètement les autorités d’efforts pour améliorer les infrastructures, ce qui est fort coûteux et souvent pénible électoralement. En tout état de cause, l’augmentation récente des décès montre surtout que ne peut plus tenir l’argument quasi-unique de la répression par l’abaissement des vitesses maximales autorisées. D’ailleurs, d’autres pays, comme le Royaume-Uni qui a retiré près de 60% de ses radars, présentent de bien meilleurs résultats que la France.

Il faut se résoudre à l’évidence : tant pour le périphérique de la capitale en particulier, qui montre bien tout l’humour de l’équipe municipale parisienne drapée d’hypocrisie écolo-sécuritaire, que pour le réseau routier français en général de plus en plus encombré de boîtiers automatiques, l’actuelle politique de sécurité routière n’a jamais réellement visé à une diminution du nombre de victimes. Les décideurs savaient pertinemment que ce nombre continuerait à décroître régulièrement, indépendamment de leurs « efforts ».

Simplement, en feignant de porter une attention soutenue aux hystériques de la répression tous azimuts, ils ont trouvé une excuse solide pour racketter un peu plus, un peu mieux l’automobiliste, véritable vache à lait républicaine."

Ils ont voté à gauche en rêvant que la gauche leur épargnera le remboursement des dettes contactées par leurs précédents élus et, bien sûr dépensées ...

Et bien sûr, également, en espérant pouvoir continuer comme avant...

Pour la France, ça été le même espoir en élisant Hollande... Et si le FN passe aux prochaines élections, ce sera avec le même état d'esprit...

 

Voici les chiffres de 7 ans d'austérité en ‪#‎Grèce‬ ...
 

Heureusement, nos amis ‪#‎Syriza‬ arrivent et la Grèce va se libérer de la Troïka européenne. 
 

Et si le début de la libération du continent européen venait de Grèce ? Soyons vigilant et solidaire avec le peuple Grec et nos amis de Syriza !

 

 

‪Oui, bien sûr, c'est certain, il faut nous libérer du capitalisme, de ceux qui nous ont prêtés de l'argent, ces salauds esclavagistes du grand capital ... 

(D'ailleurs, les Russes avant de devenir les pires capitalistes, disaient, "les capitalistes, nous vendront même la corde pour les pendre")...

Mais la suite ??? Pas certain qu'elle soit rose ...

Quand même les Grecs, ils les ont bien dépensés ses quelque 315 milliards d'Euros empruntés...
Ils en "ont" joyeusement profité, fonctionnaires en surnombres et surpayés, corruptions, un état, (leurs élus), dépensant sans compter, pratiquement pas d'impôts, pas de cadastre, des religieux très riches + un paradis fiscal pour milliardaires de la marine + tricheries fiscales et abus sociaux à tous les étages de la Société...

Une solution simple, économique et définitive, pour les reconnus comme tel, un billet d'avion, allé simple, pour le pays islamiste de leur choix pour chacun des possibles terroristes répertoriés ou reconnus et leur famille, (femmes et enfants).

Si nécessaire, pour être certain de leurs volontés islamiste destructrices, officialisé par un tribunal. 

En attendant, privation de leurs droits sociaux et citoyens.

 Qu'ils l'aiment notre social, mais pas les Français, ceux qui  le payent...

La solution de gauche...

Que de nouvelles dépenses, encore des milliers de fonctionnaires à vie, à recruter, à former, à équiper, un coût beaucoup plus élevé que celui dit par nos gouvernants, (le coût global d'un fonctionnaire à vie étant de 3,5 millions d'euros) ... http://www.lepoint.fr/economie/combien-coute-vraiment-un-poste-de-fonctionnaire-20-02-2014-1794144_28.php )* 

Bien sur a gauche on a chiffrer  le cout,  Comme à gauche on sait chiffrer, en comptant juste ce qui arrange, pour le reste « on verra au fur et à mesure »... Et qui va encore payer l'addition finale, bien sur le contribuable, c'est une obligation, plus il y a de fonctionnaires plus l'état dépense, salaires formation, équipements, frais de fonctionnement, retraites, privilèges sociaux Ext ... 

Avec dans le cas de notre actuel terrorisme, un résultat réellement palpable dans 3 ou 4 ans ... Je ne pense pas que les terrorismes attendent ...

Entre ce que je dis, peut-être stupide en droit et ...

Et, les solutions, toujours avec arrières pensées politiques, de nos actuels et de notre "ex" dirigeant, il doit y avoir de vraies solutions fiables et sans trop de dépense pour régler rapidement ce problème.

Ces gens étant de par leurs utopies étant devenues inhumains, je ne vois pas de raisons de l'être beaucoup moins qu'eux, la guerre ne se gagne pas sans quelques dégâts.

Ma préférence allant vers les solutions proposer par Sarkozy, même si je n'aime pas l'homme, elles me semblent plus crédibles à cour terme et moins onéreuses dans le temps que celles de notre actuel gouvernant...
Qui lui, suivant les traditions de gauche, ne voit dans l'occasion, que « plus de fonctionnaires », donc plus d'électeurs potentiels pour lui.

Bien sûre, à gauche, on en a chiffré les côuts ??? Voir méthode * ...   Et qui va encore payer, bien sur le contribuable, c'est une obligation, plus il y a de fonctionnaires plus l'état dépense , salaires, formation, équipements, frais de fonctionnement, retraites, privilèges sociaux Ext ...

Peut-être en panachant les idées droites / gauches, plus celles des autres pays, (les réels, pas les politiques), nous trouverons une solution plus efficace dans cette lutte, (mondiale), contre le mal ??? Un mal qui se camoufle derrière les interprétations d'une religion dont une partie des adeptes est restée sur des idées "hégémonie religieuses" moyenâgeuses ... 

Le grand choix "politique" des djihadistes, empêcher l'introduction de toutes cultures, (écoles, sauf religieuses et belliqueuses), dans leurs fief.

Pour finir, pauvre France ...

 Le mur des cons, sévit toujours, cette pure émanation des utopies gauchisantes

 Apologie du terrorisme: le syndicat de la magistrature dénonce le traitement judiciaire ... De ceux qui font l’apologie du terrorisme ???

 Surprenant non ??? Entre coquins ...

De plus,

 "On ne peut que se réjouir de voir l’ancien premier secrétaire du PS, devenu, tout à fait par hasard, chef de l’État, découvrir les joies du patriotisme et la valeur de la Nation, deux mots qui lui écorchaient « la gueule » jusqu’à présent... "

Islamisme ...

Sans être raciste, il faut bien reconnaître que les musulmans, mêmes français, ne pourront jamais être vraiment des nôtres et faire partie d’une « Union nationale ». Et ce, d’autant moins que les Musulmans pratiquant ne pourront jamais admettre, par définition, le principe même de la laïcité.

La guerre, il faut la faire chez eux...

« La pression autour des groupes islamiques va aussi nettement s'intensifier du côté de la coalition. Cette année, des opérations majeures se préparent avec les forces irakiennes et kurdes qui opèrent étroitement avec les Américains et les forces occidentales pour reprendre des territoires. Dans ce contexte, les prises d'otages et les actes barbares pourraient se multiplier. L'Etat islamique va devenir de plus en plus incontrôlable et comme l'a dit Barack Obama: ce sera une guerre de longue haleine. »

Il va absolument falloir « y aller » pour les détruites.

« La campagne de frappes aériennes contre Daech commence à montrer ses limites. Faute de consensus sur la marche à suivre, la coalition peine à reprendre du terrain aux djihadistes, particulièrement en Syrie où ils sont solidement implantés ».

C'est en combats traditionnels qu'il faut intervenir pour pouvoir les détruire dans le détail.

Le rêve des djiadistes, relancer une guerre de religion, leur revanche sur les croisés...                         Et oui, ils en sont encore là...

« Ceux qui ont armé la main des assassins veulent créer le chaos dans tout l'Occident en suscitant une surenchère communautaire, religieuse pour conduire à quelque chose qu'il faut nommer: la guerre civile, la guerre de religion. »

Nous touchons du doigt la vulnérabilité de notre société que les commanditaires du crime connaissent parfaitement. Cette fragilité face aux coups que l'on nous porte est le fruit de tous nos reniements, nos renoncements, nos lâchetés collectives depuis quarante ans.

La liberté de la presse ne se négocie pas

 Mais, il a dit, pensé, notre président, en cœur avec ses amis de gauche, pour débuter, une bonne base d'application, la bonne volonté des magistrats du mur des cons... (Toujours dévoués à notre service, comme au bon vieux temps du Stalinisme)

Faudra voir pour qui ...

Il y a de L'apartheid en France, il a dit notre Premier ministre...

L'allusion de Valls à «l'apartheid social» irrite la droite

Moi, je suis d'accord avec lui, il y a vraiment un apartheid en France ... Avec des banlieues ou les forces de l'ordre ne peuvent plus rentrer, ou toutes les violences et les trafics sont permis, ou la chasse aux blancs et juifs est en permanence ouverte. Ou, pour les jeunes femmes qui ne sont pas en accords avec les percepts religieux des barbus, être battus, violée ou mariée de force est encore la normalité ...

Il va falloir rapidement y mettre bon ordre Monsieur Valls, c'est là que se trouve notre apartheid, il est avant tout « anti » nos lois et traditions, antiblanc et antijuif, et de plus, financé par notre sécurité sociale.

Du pain sur la planche glissante des contradictions pour nos bisous-nounours et antiracistes d'opérette, mais toujours au service de leur propre racisme.

Elle est curieuse la vision de gauche du racisme, celle que cherchent à développer une certaine France...

Un racisme pire que celui du FN, pourtant lui même à abolir par tous moyens …

Un racisme de sournois subventionnés, celui de nos biens pensants de gauche.