Assurance-chômage: vers une réforme à minima?

Les partenaires sociaux se retrouvent ce 17 janvier pour engager les négociations pour redéfinir les règles de l'assurance chômage. L' enjeu est de taille car il faut trouver le moyen de résorber les 18 milliards d'euros de dettes de l'Unédic. Isabelle Gollentz ...

Qui paiera le chômage?

Vous par vos impôts … Pas de problème, c'est une tradition.

                                        Et, le souhait inconscient de nos syndicats.

Celui de faire payer aux contribuables, ( sorte d'ectoplasme "ponctionnable" à volonté et supposé toujours riche*).
Sauf quand c'est vous ...

Donc, ectoplasme, vous, capable de payer toutes les dérives financières de la fonction publique et de ses assimilés, (nombre, avantages sociaux et retraites spécifiques).

Soit, encore vous, l'inconnu, également capable de financer tous les déficits des entreprises devenus obsolètes par leurs productions vieillissantes ou, par l'excès des taxations gouvernementales les touchant ... (les deux étant très fortement compatibles)

(Des prélèvements obligatoires + des impositions sur les bénéfices et sur le capital, dans les plus hauts du monde + encore, une réglementation du travail et un code des impôts les plus complexes du monde, c'est la belle vie, pour le chômage ...)

* Riche, toujours l'autre … Un smicard étant plus riche qu'une personne au RSA, donc, probablement vous, le prochain ectoplasme. http://fr.wikipedia.org/wiki/Ectoplasme_(parapsychologie)

La fusion des régions commence mal pour François Hollande ...

Ce qui est normal, la grande majorité des élus socialistes, les plus nombreux, et dans le même temps fonctionnaires, en tirent leur argent de poche.

Ce sera le même problème pour les maires, députés et sénateurs de gauche...

Aucun, après avoir goutté aux joies du pouvoir sans risque, (sauf retour au triste bureau, mais, quand même, avec avancement programmé...).

Restons sans illusions, ces braves gens, particulièrement désintéressés … 

Feront des pieds et des mains pour continuer à en bénéficier ...

"C'est" pas gagné, une telle reforme, ces gens font partie de la "caste" hyper protégé et de plus, s'auto protégeant, de notre fonction publique ...

Celles dont la base reste les grandes utopies gauchisantes du siècle précédent.

Celles qui ont conduit nos divers gouvernants à une gestion publique désastreuse.

Gestion « Étatique », consistant par facilité et probablement incompétence, à utiliser comme mode de financement de ses propres dérives financières et politique, la taxation systématique et même ... La surtaxation ...

Soit, le laissez-faire, et même l'organisation des prélèvements sociaux et autres taxations de nos entreprises productives et de leurs salariés.

Ce, au seul avantage de tout ce qui dépend financièrement de l'état.

Prélèvements principalement organisés par les pressions syndicales anti-entreprises et leurs soutiens socialo-communistes.
Avec comme utopie basique, celle disant que seul l'État est capable d'organiser la vie et le revenu de ses citoyens, que tous les entrepreneurs sont des exploiteurs ...
Pourtant, à ce siècle, le contraire ayant été largement prouvé par l'effondrement moral et financier de tous les états ayant utilisé ces utopies basiques dans leur gestion...
Utopie, même stupide, quand tu nous tiens !!!

2013 ...

Ces prélèvements obligatoires et, malgré leurs hausses permanentes, étant devenus insuffisant de par le recul compétitif de notre système productif.

Système productif, celui qui finance toute notre économie. (juste un petit oubli de la gauche)

(Entreprises productives, devenues trop chère par sur-taxation d'État et donc en cours de ruine par "l'obligatoire et très prévisible", mévente de leurs productions ou services...  Toutes les belles paroles de Montebourg, n'y peuvent rien, surtout quand nos syndicats font tout leur possible pour continuer à casser la machine).

De par leur "non-compétitivité", entreprises également devenues créatrices de chômage.

Et de plus, à la grande surprise de nos incompétents et, pour les mêmes raisons que le chômage...
La baisse des rentrées fiscales, (non prévus par nos incompétents) et évidemment en suivant, des financements de notre sécurité sociale.

Eux, les frais de fonctionnement Étatiques, continuent à courir après les déficits ...(Salaires et avantages des fonctionnaires, sécurité sociale, financement du chômage, de la CAF, des retraites, des services administratifs, Etc.)

Voilà le grand problème de Monsieur Hollande et de ses amis ... Problèmes lies à leurs utopies...

Utopies, à ce jour, représentant la quadrature du cercle de la gauche.

Ou, l'assassinat de la poule aux œufs d'or.

C'est certain, d'après une récente étude sur les lieux d'habitation des Français, certains d'entre nous ne savent plus trop où ils habitent ...

D'où les déplacements nocturnes discrets de certains ...

D'une résidence journalière luxueuse mais un peu austère, à une résidence nocturne plus conviviale ...

Notre président semble être prêt à réviser l'ensemble des politiques gouvernementales pratiquées depuis plus de 30 ans ...

Ma vision ...

Pour la gauche, une politique utopique socialo-communiste, inspirée du maxime pour les hommes politiques élus et, du stalinisme, pour notre système syndical.

Soit celle, (encore et, magret les échecs financiers et moraux de toutes leurs références politiques de base.)
La recherche de destruction du système capitaliste par obstruction syndicale systématique à son bon fonctionnement, (fonctionnement dont là base dite capitaliste est la productivité et donc les bénéfices de l'entreprise)
Avec en compensation a cette destruction, le développement des systèmes publics par le recrutement d'un maximum de fonctionnaires et de leur fidélisation par les privilèges, dis "syndicalement", avantages acquits … (contre qui ???).

Ou, par une droite tremblante devant la menace syndicaliste permanente de blocage administrative, et énergétique compris les transports « publiques » du pays.
Menace entretenue par notre gauche pour raisons bien sur idéologique et utopique, mais plus certainement pour raison électorale.

Le résultat, aujourd'hui, notre pays est gouverner par plus de 60 % de fonctionnaires, peut-être, 80 / 90 %, si l'on ajoute ceux se référant politiquement à droite.

Soit des gouvernants nos décideurs, Président, Ministres, Députés, Sénateurs, Maires, appuyé par nos syndicats.
Un ensemble ne représentant que moins de 30 % du pays soit prioritairement eux-mêmes et leurs privilèges sociaux...
(Je rappel, privilèges sociaux « mal acquits » à coups de grèves bloquantes ou même tout simplement de menaces de blocage économique total du pays.)

Voilà la réalité actuelle d'un pays dont Monsieur Hollande, (peut-être sans s'en rendre compte ???), a pris la direction politico-economique, avec des problèmes que ses propres utopies socialistes ont elles-mêmes créées.

Pays ayant donc, une situation économique et représentative mondiale très fortement compromise, (en recul permanent).

De par des dépenses publiques très supérieures à ce que son économie concurrentielle peut produire.

Avec comme conséquence, la plus visible, l'obligation (très prévisible) de tout taxer et même surtaxer).
Et de plus, par sur-taxation des entreprises privée, (les presque seules sur-taxables avec leurs employés), un secteur marchand concurrentiel en plein effondrement.

Fournissant de moins en moins de taxes et de plus que de chômeurs.

Et avec des Français, environ 70 % de la population, eux, qui ne veulent plus payer pour un système étatique devenu incontrôlable...
Même par une « encore » démocratie électorale, mais sans choix réels de par la puissance de son systeme public.

Monsieur Hollande a pris le gouvernement du pays à une période clefs, celle où il n'a plus que deux choix...

Où nous emmener à une dictature du type stalinienne, avec toutes les dérives morales, sociales et économiques bien connues. (Celles recherchées par l'extrême gauche et ses syndicats).

Ou, permettre à la France de retrouver sa place dans la compétition européenne et mondiale, et donc sa richesse morale et productive.

Nous restent, juste à attendre si notre président à réellement la volonté ou même la possibilité de faire ...

Ou, si notre système gouvernemental lui, totalement fonctionnarisé et syndicalisé gagnera la partie et donc gardera ses privilèges ...

Tout au moins, tant que notre économie (nos impôts et taxes) pourront le financer...