• La colère gronde au sein de Syriza en Grèce

    Boursorama  
    Elu en janvier sur la promesse de mettre fin à cinq ans de politiques d'austérité, Alexis Tsipras a pourtant devant lui la tâche délicate de convaincre son parti, Syriza, d'accepter son programme de réformes, qui prévoit entre autres un recul de l'âge ...
    Vous avez indiqué être intéressé par SYRIZA. Cela ne m'intéresse pas.
    Début de fronde parmi les élus de Syriza en Grèce
    Alexis Tsipras de retour à Bruxelles, début de fronde au sein du parti ...
     
     
    C'est de plus en plus évident les Grecs ont voté "très" à gauche de plus, soutenu par leur équivalent de notre FN, juste avec l'espoir de ne plus rembourser leur dette et de pouvoir continuer à vivre et prospérer avec l'argent des autres...

    L'argent des autres, une tradition de gauche en train d'être reprise par notre FN...
     

    Contrairement à ce que la gauche, la nôtre comme la leur, dit: ce ne sont pas les pauvres qu'ils cherchent à protéger, ce n'est qu'eux-mêmes, (les fonctionnaires Grecs et français), et leurs avantages sociaux à vie...

    La gauche et le FN + l'argent des autres, mêmes visions politiques, la meilleure pour être élu.

    Caviar à volonté...

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  • Grèce : "le mot austérité n'est pas approprié", selon Trichet
    L'ancien président de la BCE a expliqué que ce qui se passe en Grèce et qui est qualifié d'austérité, "c'est le retour progressif, ordonné à l'équilibre". Lire

     

    Enfin une utilisation du mot "austérité" sans les abus de langage "politiques" de la gauche ou du FN...

     

    Le mot "austerité", nos politiques devraient l'utiliser avec plus de réserve...

     

    Le mot "austérité" n'existe pas pour un économiste, ou alors, il signifie, "avoir des dépenses publiques correspondantes à l'économie réelle du pays."


    Raisonnement valable pour la France et tous les pays endettés, soit, "l'austérité" demandée par les économistes, (les vrais, pas les utopiques recrutés et salariés par nos politiques)...

    Le mot "austerité", nos politiques devraient l'utiliser avec plus de réserve...



    La signification réelle de ce mot ce n'est pas: priver le citoyen de son niveau de vie, mais l'adapter aux réalités économiques du moment... 



    "Austérité", c'est devenu un mot utilisé par nos politiques "irresponsables" pour dire, nous, si vous nous élisez, nous continuerons à dépenser l'argent que nous n'avons pas... Après nous, la fin du monde les autres se démerderont avec les dettes que nous avons faites.

     

    Le mot "austerité", nos politiques devraient l'utiliser avec plus de réserve...



    C'est pourtant simple et crédible, tous vous le savez, même les plus utopiques, beaucoup plus que les bavardages de nos politiques irresponsables...
     

    Tous nos hommes politiques actuels sont des utopiques, juste la droite modérée, (pas le FN), l'est un peu moins que les autres... (Leurs électeurs étant les payeurs des utopies politiques gauchisantes).

     

    Le mot "austerité", nos politiques devraient l'utiliser avec plus de réserve...

     

    http://www.contrepoints.org/2015/06/23/211904-uberpop-localisation-des-radars-sur-facebook-quand-letat-pousse-a-la-clandestinite

    Tout ce développement est finalement assez prévisible : plutôt que choisir l’adaptation, l’État, faible avec les forts, transige devant eux, plie, s’aplatit et devient leur petit commissaire en charge de lui réorganiser le marché pour que tout revienne dans l’ordre précédent (par nature pourtant impossible à rétablir).

    Et comme il est faible avec les forts, il sera, à l’opposé, fort avec les faibles. Rien de tel que cogner sur les automobilistes qui ont le mauvais goût d’essayer de se sortir du chômage ou des fins de mois difficiles en faisant un travail honnête et qui ne vole personne (leurs clients, dégoûtés des exactions de ces médiatiques taxis, leur sont définitivement perdus).

    Et tant qu’à être fort avec les faibles, et pour regarder la même catégorie de faibles, il s’en prendra aussi à ces automobilistes qui ont eu l’impudence de signaler les radars sur Facebook. On se souvient en effet que plusieurs membres d’un groupe Facebook donnant la localisation des radars en Aveyron avaient été condamnés en première instance pour « soustraction à la constatation des infractions routières », ce qui était, on en conviendra, une application assez extensive de l’esprit de la loi ; après tout, si on prévient qu’un radar est positionné à un endroit donné et que l’automobiliste ralentit en conséquence, il n’y a pas, par définition, infraction routière, et dès lors, impossibilité de la constater. En outre, l’effet obtenu (la réduction de vitesse aux endroits signalés) est officiellement le but poursuivi par ces radars …

    Évidemment, si le but est de rançonner les automobilistes, on comprend la hargne dont font preuve les autorités qui n’ont plus l’occasion d’embusquer le contribuable sur les routes de France. Le groupe de condamnés avait fait appel et la décision de la Cour d’Appel de Montpellier a été mise en délibéré au 21 septembre prochain.

    Or, tant dans le cas d’Uberpop que dans ce cas ubuesque de localisation des radars sur Facebook, on sent comme un petit souci se profiler à l’horizon.

    En s’agitant rageusement comme il le fait, l’État, par défaut d’action, par une action illisible, ou par action claire contre les réseaux sociaux, va criminaliser progressivement Uberpop ou les citoyens attentifs aux radars. Petit-à-petit, il n’obtiendra qu’une seule chose : les pousser à la clandestinité

     

    Le mot "austerité", nos politiques devraient l'utiliser avec plus de réserve...

     

     

     

     

     

     

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  • Mais pourquoi les français trichent ??? 

     

    (Question "jamais posée" par nos gouvernants)... 

     

    Le pognon du niveau de vie de notre état, de ses politiques, fonctionnaires et assimilés...

     

    Peut être pas sans bonnes raisons...

     

     

    Le "pognon" du niveau de vie de notre état, de ses politiques, fonctionnaires et assimilés...

     

    Les fraudes fiscales et sociales ont (encore) progressé en 2014

    L'administration a procédé en 2014 à des redressements fiscaux de 15,3 milliards d'euros de droits, assortis de près de 4 milliards de pénalités, et à 852,6 millions de redressement pour fraude sociale. Bercy. NICOLAS MESSYASZ/SIPA. Partager sur ...

    La lutte contre les fraudes fiscale et sociale a rapporté près de 20 ...La Voix du Nord

    La lutte contre la fraude fiscale a ramené 19,3 milliards d'euros en ...20minutes.fr

    Éditorial :La lutte contre la fraude fiscale et sociale, un très bon filon pour l'EtatCapital.fr

    Articles de fond :La lutte contre la fraude a rapporté gros à l'Etat en 2014Le Figar

     

    Le pognon du niveau de vie de notre état, de ses politiques, fonctionnaires et assimilés...

     

     

    Le résultat... (hautement prévisible)

     

     

    Le pognon du niveau de vie de notre état, de ses politiques, fonctionnaires et assimilés...

     

     

     

     

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  • Nous allons vers une décision politique, pas forcement celle de la bonne logique économique... (Soit, repousser aux "calandes grecques", le règlement d'un problème économique et européen évident).

     

    La Grece... Decision politique ou decision économique ???



    Elle résoudra quoi pour les Grecs??? ( je pense, juste ce qu'ils souhaitent sur le fond)...

    Soit continuer à vivre sur l'argent des autres... (L'élection d'un extrême gauche soutenus par l'extrême droite me font fortement croire à cette volonté)...

    Je dis bien les Grecs, (tout comme la France avec l'élection de hollande et la monté du FN), ont voté pour pouvoir continuer à dépenser l'argent qu'ils n'ont pas + pour pouvoir continuer à gaspiller...

     

    La Grece... Decision politique ou decision économique ???



    Ceci étant mon point de vue, il est purement économique et raisonné si ce n'est raisonnable... De par mon âge et mon minimum vieillesse, je ne peux dépenser que l'argent que j'ai, aucun banquier ne me prêtera ... (800 € mensuel, j'ai pris ma retraite à 67 ans et, à franchement parler, de ses 800 €, je m'en contente, je ne meurs pas de faim, je paye régulièrement mon loyer et, je n'ai aucune dette, mais je n'achète que l'utile et le nécessaire).

     

    La Grece... Decision politique ou decision économique ???

    Bobo écologiste tricheur de gauche, modèle standard...



    Très loin de ce que les bonnes et stupides âmes gauchisantes, appellent crever de faim dans leur discours de démago.... ( Bonnes âmes, soit, nos gourmands bobos fonctionnarisés, toujours prêt à partir en week-end ou à acheter le dernier IPad, on ne peut pas vivre sans)...

    Non, je ne crève pas de faim, je vis modestement et sans gaspillage avec ce que j'ai, que les Grecs en fassent autant, les français également et tout ira mieux ...

     

    La Grece... Decision politique ou decision économique ???



    Les destructeurs de planète, c'est bien eux, nos Bobos verts rougissants et socialisants, (de gauche ou de droite, mais toujours socialisant),  rejoint maintenant dans leurs notions du toujours plus par les utopiques du FN... 

    Pour eux tous, même combat de la bêtise "anti-austérité" donc "pro-gaspillage"...

     

    La Grece... Decision politique ou decision économique ???

    Collectionneuse de conneries, en chef...


    Il y a les discours des uns et des autres, pas toujours cohérents, même disons, souvent contradictoires dans les rêves utopiques, "je veux "ça", mais sans "ça", soit, sans les inconvénients du premier "ça" eux, pourtant obligatoires" ...

    Soit, le beurre, l'agent du beurre plus la crémière...

     

    La Grece... Decision politique ou decision économique ???

     

    Instructif de bêtises économiques et utopiques.

    https://plus.google.com/u/0/+JeanSebastienIker/posts/awDjG5nPFHo?cfem=1

     

    Puis, des points de vue de "pro" de l'économie qui résument bien les dilemmes Grecs et celui des pays endettés dont la France ...

    http://www.lecontrarien.com/la-strategie-secrete-de-la-grece-22-06-2015-edito?utm_source=Le+Contrarien+Matin&utm_campaign=93562b1cea-daily_newsletter_2015_06_22&utm_medium=email&utm_term=0_b6dd3f3e5f-93562b1cea-45287277

     

    http://www.contrepoints.org/2015/06/22/211807-du-bitcoin-a-la-grece-de-herisson

    http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-nouailhac/grece-la-danseuse-de-l-europe-22-06-2015-1938771_2428.php#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20150622

    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/06/21/20002-20150621ARTFIG00169-5-cles-pour-comprendre-la-crise-grecque.php?m_i=IabIb0PtSIkiF7PzWu3NQUnvzMuG1pDw7E052bwLqQ7zCBcslYvLVppw2YeEfcDVTQ2wlhyirPzkTlJ1muZfqkCwtY27JmNyNvICleIL&a2=20150622110548&a3=763-172580-878722

    http://www.lefigaro.fr/international/2015/06/21/01003-20150621ARTFIG00138-les-grecs-refusent-de-croire-au-pire.php?m_i=E89E8nLNkHXuNEA2LXx51KVDMC1rGJyJXJGJytrpUMfKKswU39FobSY0lRsgga0QbHzYULz1hY3FPG2Gs05%2B%2BJlnonUmrloJEZ8%2BSvEa&a2=20150622110802&a3=763-172580-878722

     

     

    La Grece... Decision politique ou decision économique ???

     

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    Au PS, les poids lourds du parti placent leurs fidèles

    LE SCAN POLITIQUE - Parmi les 33 nouveaux membres du Bureau national des adhésions figurent notamment des proches de François Hollande, de Martine Aubry ou de Laurent Fabius.

     

    Ils en auront bien besoin...

     

    Les nuls veulent garder le pouvoir...

     Son rêve intime, 5 ans de plus...

     

    2017 : Hollande promet déjà des «cadeaux» aux électeurs

     

    Édition abonnés En annonçant le temps de la redistribution avec plusieurs mesures, le chef de l'État a la présidentielle en ligne de mire.

     

     Mais, ils ne sont pas en campagne électorale ???

     

    Les nuls veulent garder le pouvoir...

     Imparable pour les simplets.

     

     

    En illustration...

    http://www.thierry-desjardins.fr/2015/06/la-malediction-francaise/

     

    Il y a des gens qui n’ont vraiment pas de chance. Prenez Hollande par exemple. Il a commencé par nous affirmer qu’il saurait, d’un tour de passe-passe dont il avait le secret, inverser la courbe du chômage. Le chômage a continué à augmenter. Il nous a alors déclaré sentencieusement qu’il fallait un peu de croissance pour qu’on puisse recréer de l’emploi. Ce qui est parfaitement vrai mais il aurait pu et dû y penser plus tôt. Mieux, il aurait dû faire quelque chose pour relancer la dite croissance. Et le chômage s’est encore aggravé.

    Or, voici aujourd’hui que revient un (tout petit) peu de croissance, grâce à la baisse du prix du pétrole, à celle de l’euro et à celle des taux d’intérêt. Autant de bonnes nouvelles qui n’ont, bien sûr, strictement rien à voir avec la politique à la godille que mène, depuis trois ans, le chef de l’Etat et qui ne sont dues qu’à ce qu’on appelle pudiquement « la conjoncture internationale ». Mais le chômage augmente encore et toujours à son rythme infernal de 1.000 chômeurs de plus par jour ouvrable. Et l’INSEE nous apprend aujourd’hui que si la croissance va sans doute encore s’améliorer (moins d’ailleurs en France que dans le reste de l’Europe) elle ne créera pas d’emplois pour autant.

    Visiblement, Hollande qui nous a imprudemment affirmé que si le chômage ne diminuait pas il ne se représenterait pas en 2017 ne sait plus à quel saint se vouer. Qu’il ait été fidèle à son cher et vieux socialisme d’antan à la Guy Mollet, qu’il se soit affublé d’un déguisement de social-démocrate à la Delors ou qu’il nous ait fait sourire avec son faux nez de social-libéral et en appelant à la rescousse, d’abord, Manuel Valls (5% lors de la primaire de la gauche) puis, Emmanuel Macron (ancien de chez Rothschild) rien n’y a fait. 8%, 9%, 10% de chômeurs, on ne sait plus s’il faut comparer le chômage à une inondation qui engloutit inexorablement le pays ou à un incendie qui le ravage sans pitié.

    Il faut être juste, la droite n’a pas fait mieux quand elle a été au pouvoir. Mais il est vrai –et le détail est important- que, depuis des décennies, cette fameuse ou pseudo droite s’est toujours faite un devoir de pratiquer une politique quasiment de gauche, se refusant énergiquement à toucher à plus d’un demi-siècle d’avantages soi-disant acquis de haute lutte par les communistes, au lendemain de la Libération, par des gouvernements socialistes successifs, tout au cours de la IVème République, par la fausse révolution de mai 68, puis lors de l’interminable règne de Mitterrand ou du « quinquennat » de Jospin.

    Les Français ont donc fini par avoir tendance de dire que droite ou gauche c’est « bonnet blanc-blanc bonnet », selon la célèbre formule de Jacques Duclos. Oui, sauf que, pour peu qu’on soit un peu attentif, on remarque rapidement que la droite au pouvoir n’a jamais fait la moindre politique… de droite. L’alternance n’a jamais été que de façade. On changeait les « gueules » mais on continuait sur la même mauvaise voie, droit vers le mur (ou le gouffre).

    Une vraie politique de droite consisterait, par exemple aujourd’hui, à imposer les 40 heures de travail hebdomadaires, la retraite à 65 ou 70 ans, l’impôt sur le revenu pour 100% des ménages, à abroger 90% du Code du Travail, à réduire de moitié les 6 millions de postes de fonctionnaires, à supprimer toutes les allocations, aides, et subventions diverses et souvent farfelues à tous ceux qui n’en ont pas réellement besoin. Et tout cela dans un premier temps.

    La question qui se pose alors est tout simple : quel score pourrait bien espérer obtenir le candidat qui aurait le courage, pour ne pas dire le culot, de présenter un tel programme ?

    Ecoeurés aussi bien par la gauche que par la droite (et on comprend parfaitement pourquoi), certains en arrivent maintenant à se tourner vers l’extrême-droite, s’imaginant très naïvement qu’avec des gens qui bénéficient d’une certaine virginité puisqu’ils n’ont jamais été au pouvoir on pourrait espérer les voir mener une vraie politique de droite.

    Et c’est ici qu’on s’aperçoit qu’il y a, en effet, une véritable malédiction dans ce pays. Maintenant que Marine Le Pen veut –voire peut- croire en une victoire, que nous promet-elle pour arracher les 20 ou 25% d’électeurs qui lui manquent encore ? Une politique… de gauche ! Les 35 heures, la retraite à 60 ans, une protection sociale généralisée, la sortie de l’euro et de Europe (mieux que les gauchos grecs ou espagnols !).

    On pourrait s’étonner de cette volte-face radicale par rapport à la politique farouchement libéral (sur le plan économique) que prônait son père, Jean-Marie. Mais Le Pen père n’ambitionnait pas d’entrer un jour à l’Elysée. Marine, elle, veut être la première femme élue présidente de la République. Or, pour avoir la moindre chance d’être élu en France, il faut, comme l’ont fait Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande, promettre la réforme, la rupture, le changement tout en jurant ses grands Dieux qu’on ne touchera en rien à la maudite « exception » française qui fait de la France l’un des tout derniers pays collectivistes de la planète et qui fait à la fois notre fierté et surtout notre malheur.

    La faute à qui ? Evidemment aux Français, ces veaux qui se sont endormis dans l’assistanat généralisé et qui ne veulent pas se réveiller ni même ouvrir un œil pour découvrir la réalité, diront certains. Non. On peut croire que si « quelqu’un » leur proposait « de la sueur, du sang et des larmes » pour sauver le pays, ils sortiraient de leur torpeur. Au fond, il ne nous manque qu’une seule chose : un homme providentiel.

    Mais en l’attendant, droite, gauche, extrême-droite, bonnet blanc-blanc bonnet, à mettre tous dans le même sac et à jeter par-dessus bord. C’est la malédiction française

     

    Les nuls veulent garder le pouvoir...

     

     

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