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Leurs "castes" politicos-syndicalos-fonctionnarisées

Castes dites "des services publics" qui depuis plus de 40 ans, à tour de rôle ponctionnent le pays... (Droite, gauche les pires en ponction, fonctionnaires et assimilés en surnombre et "grassouillets" à souhait, employés des sociétés à monopoles d'état et à statut très particulier).

Soit, les représentants de la parfaire "république" inégalitaire...

 

 

Le Parti socialiste à élue son président avec 67 % de voie, mais avec moins de 50 % des inscrits... (Pas de quoi faire Cocorico).

 

Le parti politique " les Républicains " élit sont nouveau président avec 70 % de voies et également moins de 50 % des inscrits... (Pas de quoi se vanter).

Je noterais également les sifflets contre les éventuels concurrents de Sarkozy, ni très démocratique, ni très républicain plutôt un comportement tirant vers les "basiques" du FN...
Pour la gauche, je ne sais pas ... Ils ont une très forte tradition du secret de leurs distensions internes.

 

Pour tous, une certitude,

Ni pour l'un ni pour l'autre, très brillant, car ces électeurs, ce sont quand même des gens supposés le plus à y croire à leur parti politique, ils payent une cotisation...

 

 

Pour le FN, pas d'élections récentes, donc, pas de problème, Marine le Pen élue présidente de sa "PME familiale" avec 68 % des voies et avec un taux de participation 76.45 %, c'est certain, ils y croient les inscrits au FN ... (Qu'ils aient raisons, c'est un autre problème).

 

 

Je ne parlerais pas des extrêmes gauches et autres Verts, ni représentatifs, ni crédibles.

 

Ceci étant dit, l'on peut faire un constat, nos "vedettes" politiques droites gauches, ne sont même plus crédibles dans leur propre parti ...

 

C'est grave...

Si eux, vivant entre eux et dans leur corruption journalière et incapacité de gestion, (gestion en bon père de famille, celle exigée par nos textes de loi républicaine), ne sont même plu capable de se poser des questions sur leur réelle crédibilité et honnêteté politique, et même tout simplement, honnêteté "citoyenne" ??? 

Je pense que quand même, l'électeur lambda, (tout au moins celui qui réfléchit) va finir par s'en poser des questions et, de sérieuses sur les actions politiques et autres comportements de ces gens.

Et, ne plus du tout voter pour eux... Déjà, nous ne tournons plus qu'autour de 50 % de votant...

C'est dire le peut de crédibilité de nos hommes politiques. (Un journaliste suédois ayant dit, qu'aucun des hommes politique français dans son pays ne pourrait même être élu président d'un club de ping-pong ...)
 

Mais apparemment, ils ne le savent pas, ils continuent tous à pérorer... Et à certains Français de les croire ...

Pour eux, nos politiques, ils ont trouvé la solution miracle à leur "incapacité", cataloguer les Français comme irréformables...

Cela  leur évite de proposer de véritables réformes.

 

 

Dit par un blogueur...

"Certes, Le Pontet, 17.000 habitants, charmante petite ville du Vaucluse, n’est pas la France, mais, hier dimanche, ses habitants se sont tout de même payé le luxe de faire un superbe pied-de-nez à ce qu’il est convenu d’appeler l’establishment politico-médiatique.

L’avant-veille, le PS avait retrouvé un semblant d’unité avec la réélection de Jean-Christophe Cambadélis à la tête de la rue Solferino ; la veille, l’UMP, devenue les Républicains, avait re-couronné Sarkozy tout en sifflant Juppé et huant Fillon. Et donc tout le monde ne parlait plus que du duel prévu, annoncé, inévitable entre Hollande et Sarkozy pour 2017.

Les experts avaient tout simplement oublié que la France était passée du bipartisme au tripartisme et qu’il y avait désormais « une troisième larronne » qui pouvait bien, souvent, se faufiler au milieu du couple infernal qui gouverne le pays depuis des lustres et même, parfois, le devancer. Et pas seulement dans les sondages. C’est ce que les électeurs du Pontet ont voulu rappeler vigoureusement.

Lors des élections municipales de mars de l’année dernière, Le Pontet avait fait partie des 11 villes de plus de 3.500 habitants remportées par le Front National. Mais la victoire du candidat FN, Joris Hébrard, s’était jouée sur un fil, 50,06%. 7 voix d’avance seulement sur le candidat UMP, Claude Toutain. Certaines signatures sur les listes d’émargement étant contestées, le Conseil d’Etat avait annulé l’élection.

Entre temps, Hébrard n’avait pas mis son drapeau dans sa poche. Il avait notamment supprimé la gratuité automatique de la cantine scolaire pour les familles défavorisées et augmenté le nombre des policiers municipaux  de 11 à 17.

Or, hier, les électeurs l’ont plébiscité dès le premier tour, le réélisant avec… 59,43% des voix, devant un candidat sans étiquette, Jean-Firmin Bardisa, 28%, et Caroline Joly, 12,57%, UMP, mais première candidate à affronter le suffrage universel sous toute nouvelle la bannière des « Républicains ».

On dira que le Vaucluse est une terre favorable au FN. Sur ses 5 députés le département compte une élue FN, Marion Maréchal-Le Pen, et un dissident du FN Jacques Bompard, de la Ligue du Sud. Mais il se trouve que Le Pontet n’est ni dans la circonscription de la petite fille de Le Pen ni dans celle de Bompard mais dans la 1^ère circonscription, celle de la députée socialiste Michèle Fournier-Armand.

On dira aussi que les électeurs n’aiment jamais que leurs votes soient annulés par le Conseil d’Etat et que, le plus souvent, ils confirment fermement leurs premiers votes.

Mais ce qu’il faut surtout remarquer c’est que, depuis la présidentielle de 2012 et les 17,90% de Marine Le Pen au premier tour, il y a eu, en mai 2014, les européennes où le FN a remporté le titre de « premier parti de France » en obtenant 24,86% des voix, devant l’UMP, 20,81%, et l’Union de la gauche, 13,98%, et, en mars 2015, les départementales où ce même FN a conforté son titre en recueillant, au premier tour, 25% des voix devant l’union de la droite (UMP/UDI), 20%, et le PS, 13%.

Comment alors s’étonner qu’au Pontet, Joris Hébrard soit, en un an, passé de 50,06% à 59,43% ?

Hollande est tout content parce qu’il pense avoir réduit au silence ses frondeurs et Sarkozy est ravi parce que son fans club a sifflé Juppé. Mais tant que ces deux partis qui se disent « de gouvernement » se regarderont ainsi le nombril la petite bête du FN continuera de monter, monter et finira par devenir une grosse bête.

Le Pontet n’est pas la France mais, si rien ne change, la France pourrait bien, un jour, ressembler au Pontet. En tous les cas, les « coupables » ne pourront pas dire qu’ils n’avaient pas été prévenus…"

http://www.thierry-desjardins.fr/2015/06/le-pontet-nest-pas-la-france-mais/

 

Et pourtant le FN, n'a rien "économiquement" de sérieu à proposer...