A Alstom pour leurs emplois, ils comptaient, probablement et aussi, sur la chance de Hollande...

Donc, ne reste que le contribuable...

Emplois, ils sont formidables nos syndicats gauchisant et fonctionnarisés...

ils ne comptent que sur nous, les contribuables, pour financer les deficits de leurs emplois.

Deficits dont les basent restent le bordel qu'ils foutent dans les entreprises publics et, les avantages sociaux  gagnés grace aux grèves bloquantes de leurs permanents.

Le risque de l'employeur, le travail du salarié, les coûts de fabrication, la qualité des productions, leurs prix de vente, ne restant que très secondaire.

A gauche, une seule vision de l'emploi: le contribuable payera... 

D'où la faillite économique de l'ex URSS et la pauvreté des populations, (le peuple), de tous les pays de réclamant du communisme ou du socialisme.

Hollande et ses amis , bien sur, là aussi,  pour notre économie et donc pour l'emploi, comptaient sur "la chance".

Vous en connaissez vous des industriels qui comptent sur la chance pour faire fonctionner leur entreprise???

Pas de chance ... donc, il ne leurs reste que de faire encore "plus" payer le contribuable...

Tant qu'à notre CGT national pour elle et comme d'habitude par tradition, pour financer ses emplois, elle compte directement sur le contribuable.

Un excellent duo de bras cassés pour le développement économique du pays...

Votez à gauche pour faire diminuer vos impôts et taxes qu'ils nous disent, ce sont les riches qui payeront ???

Usée jusqu'à la trame le riche qui payera, mais à gauche ou au FN, ça marche encore.

Mais, qui va payer pour sauver Belfort, devinez ???

Une question simple maintenant : pour sauver Belfort comme l’a indiqué François Hollande, qui va payer ?

La solution technique que le gouvernement va choisir est évidemment très simple : il va ordonner à la SNCF de commander immédiatement des rames auprès d’Alstom, alors même que la SNCF préfère commander auprès de Bombardier ou de Siemens, moins chers. Et qui va payer ? le client de la SNCF, qui paie déjà pour les retraites des cheminots une surcote équivalent à 10% du prix des billets.

Mais, bien entendu, il ne faut le dire à personne… Expliquer que tous les Français vont payer de leur poche le sauvetage d’une usine belfortaine mise en difficulté par l’État, ce serait vraiment politiquement incorrect. 

Il est tellement plus confortable d’expliquer que, tout ça, c’est la faute a ses salauds de patrons ou d'investisseurs qui font tout en cachette.

La fermeture de l’usine Alstom à Belfort donne encore lieu à de jolies simagrées de la part de François Hollande, sur le mode du “sauveur” de l’industrie. Officiellement, le site ne fermera pas. Et devinez qui paiera l’addition ? Le client de la SNCF, cette bonne poire qui raque pour toutes les rentes françaises.

Belfort, une fermeture annoncée depuis longtemps

Pour trancher le débat du la direction avait-elle prévenu ?, on rappellera juste cette interview aux Échos du PDG d’Alstom en mars 2016, qui annonçait des gains de productivité. Dès septembre 2014, le même Poupart-Lafarge déclarait à des journalistes, au salon Immotrans de Berlin :

Devant les journalistes français Henri Poupart-Lafarge n’a pas caché une certaine inquiétude. Le plan de charge des différentes usines du groupe dans l’hexagone et donc l’emploi qui en découle, dépend beaucoup des commandes publiques sérieusement ralenties ces dernières années. “C’est très variable selon les sites. Ainsi, à Reichshoffen qui produit les Régiolis, notre plan de charge va jusqu’à mi-2017. Sur la Rochelle, nous avons un peu plus de visibilité grâce aux TGV, mais très peu de perspectives sur le tramway. À Valenciennes, qui produit des métros, nous avons des perspectives à plus long terme. Je ne tire pas une sonnette d’alarme, mais il faut que les commandes arrivent en 2015 parce qu’il nous faut un peu plus d’un an entre le moment où la commande arrive et le moment où les premières rames sortent de chaines”.

L’annonce était claire : à défaut de commandes, en 2015, la casse était inévitable.

L’État, le pire donneur d’ordres en France

L’usine de Belfort, comme celle de Reichshoffen, produit des rames ferroviaires pour le marché intérieur français, hors TGV. Petit problème : le TGV absorbe les investissements et tue la rénovation des lignes ordinaires. Ainsi, Jean-Marc Ayrault s’était, à l’été 2013, livré à une pantalonnade dont il a le secret :

« Les trains Intercités, qui maillent vraiment le territoire et qui facilitent la mobilité seront intégralement renouvelés entre 2015 et 2025 (…)

Entre les TER et les TGV, les trains Intercités doivent impérativement prendre toute leur place”, a ajouté le chef du gouvernement. L’État doit lancer dès cet été une première commande, “d’un minimum de 500 millions d’euros pour des trains neufs (…)

Un appel d’offres doit être lancé dès 2015 pour une deuxième tranche d’investissements, prévue à l’horizon 2018-2019, a précisé Matignon. »

Comme chacun le sait, les promesses n’engagent que ceux qui les entendent. La promesse d’appel d’offres faite par Ayrault, et qui doit permettre de donner du travail à Belfort, n’a évidemment pas été tenue. Voici où en est le dossier :

« La SNCF lancera « d’ici la fin de l’année » un appel d’offres « à la demande de l’État »pour acquérir de nouveaux trains destinés à trois lignes Intercités « structurantes », a indiqué jeudi le secrétaire d’État aux Transports Alain Vidalies. »

Cette annonce date… du 21 juillet 2016.

Autrement dit, l’État a pris deux ans de retard dans ses commandes, et s’étonne ensuite des difficultés de l’usine qui doit les satisfaire…

On ne sait si l’attitude du gouvernement relève du mépris ou de l’incompétence. Ou des deux.

Le gouvernement alerté par les syndicats depuis 6 mois

Le 30 mars 2016, lors du Comité Stratégique de la Filière Ferroviaire, la CFDT Alstom avait distribué ce tract :

Autrement dit, les syndicats ont, dès le mois de mars, alerté le gouvernement sur la situation qui se créait dans les usines ferroviaires. En vain.

Qui va payer pour sauver Belfort, devinez ???

Une question simple maintenant : pour sauver Belfort comme l’a indiqué François Hollande, qui va payer ?

La solution technique que le gouvernement va choisir est évidemment très simple : il va ordonner à la SNCF de commander immédiatement des rames auprès d’Alstom, alors même que la SNCF préfère commander auprès de Bombardier ou de Siemens, moins chers. Et qui va payer ? le client de la SNCF, qui paie déjà pour les retraites des cheminots une surcote équivalent à 10% du prix des billets.

Mais, bien entendu, il ne faut le dire à personne… Expliquer que tous les Français vont payer de leur poche le sauvetage d’une usine belfortaine mise en difficulté par l’État, ce serait vraiment politiquement incorrect. Il est tellement plus confortable d’expliquer que, tout ça, c’est la faute des patrons qui font tout en cachette.

Une grande partie de nos politiques sont devenus des professionnels, mais également en aggravant un grand % d'entre eux, (près de 90 %), se trouvent également à être des fonctionnaires à vie et avec avantages sociaux auto accordé…

Comment ces gens, intéressés en premier par leur carrière où, pour certains par leurs "plaçous" à vie peuvent réellement "représenter" ou être au "service" de la diversité des peuple "citoyens"  français ce, "honnêtement" (sans parti pris), et pouvoir diriger avec "bonne célérité économique" notre pays.

Sachant qu'un politique professionnel représente en premier son parti, (donc, l’idéologie de ce parti), le citoyens ou, l’électeur ne devenant que secondaire, (tout juste utile le jour du vote).

Si de plus il est fonctionnaire, avant tout, il va « avantager et protéger » sa corporation, corporation devenue, d’élections en élections, la plus nombreuse de France, (autour de 7 000 000 de personnes vivant sous ce statut où en très proche de ce statut) et, donc, représentant près de 25 % d'électorat, (soit une corporation se représentant majoritairement elle-même, "90 % de nos élus", grâce à son propre statut de "fonctionnaire politique", ce qui devrait être interdit pour conflits d’intérêts).

De là il est très facile de comprend la décadence morale et économique de notre pays par abus de prélèvement d’État, prélèvements devenus abusifs et n'ayant plu qu'un but, maintenir la fidélité de cet électorat, (pour la gauche) et, pour la droite essayer de le conquérir avec les mêmes méthodes.

D’où, depuis plus de 30 ans des politiques gouvernementales sociales corporatives "fonctions et services publics", (droite et gauches), coûteuses n'avantagent plus que nos fonctions publiques et assimilées. (aujourd'hui, nous sommes à près de 90 % d’élus cumulant le fonctionnariat à vie à celui d'élu politique... élus devenus un des « métiers » les plus rémunérateurs du pays et presque sans risque du fait d’être en plus, fonctionnaire à vie).

Décadence morale et recul économiquement dont les bases sont la corruption électorale avec pour moteur la protection et la distribution d'avantages "sociaux et financier corporatifs" aux plus proches du pouvoir en place ce, en échange de leurs voix.

Voir la dernière décision "politique" de Hollande pour essayer de maintenir à son avantage électorale personnel la fonction publique, elle va coûter des milliards au pays alors, qu'il est devenu obligatoire de revoir le nombre et le statut de cette corporation que le pays, économiquement, ne plus payer.

(Notre dette nationale ne servant qu'à cela).

Cette distribution d'avantages sociaux ou financiers de faisant toujours au détriment du citoyen lambda et payeur.

Le dernier à remporter une présidentiel grâce à cette "belle lune électorale" était un socialiste...

C'est lui, dans toute sa gloire...

Ses bases: moins d'impôts et de taxes, moins d'emprunts d'Etat, plus de fonctionnaires, plus d'emplois, moins d'heure de travail avec de meilleurs salaires, plus de social, enfin, + de +...) et, en panacée, (très particulière à Hollande), notre fonctionnaire en chef, attendre que la chance et le travail des autres jouent en sa faveur...

Le rêve quoi... Rêve, de quelques millions de Français, sûrement un peu simplet du ciboulot.

Un rêve anti-finances et anti entrepreneurs, ou ces inutiles et salauds de riches, (vision de gauche et encore plus de nos  syndicats d'extrême gauche, des Melanchonistes et autres groupuscules gauchisants), devront rendre gorge.

Soit leur faire payer plus de taxes, plus de charges sociales et dans le même temps les obligés à créer plus d'emplois ???

"Le problème du comment développer une entreprise sans faire de bénéfice, d'intéressé des investisseurs sans leur distribuer de dividendes + celui des coûts de fabrication d'un produit ou celui d'un service, balayé du discours..."

Un seul slogan, les riches payeront... (slogan pourtant totalement écculé).

Sur le fond, la base de ces rêveurs gauchisant, n'est que de vouloir prendre leur place, "être riche à la place des riches" ...

Donc, un peu plus de 50 % des votants français sont tombés dans le "piège à cons" de la propagande socialiste, la suite, vous la connaissez.

Aucun des votantes pour Hollandes ne s'est posé la simple question, dans quel pays cette formule, "les riches payeront", le "peuple dirigera et aura tout", à réussit ??? 

 le peuple et les dirigeants de gauche...  (une foi élu)

Ce qui me fait me poser la question, comment peut on "encore" croire des gens qui se revendiquent du socialisme ou du communisme ???

À ce jour une seule certitude aucun pays gouverné sur les bases du socialisme ou du communisme n'a permis l'enrichissement de ses citoyens, bien au contraire, partout où ces systèmes ont dominé, il n'y a eu que violence, arbitraire et appauvrissement des populations.

Aujourd'hui encore à nous baratiner avec le même modèle de promesses, restent les Mélenchons et ses bons Kamades syndicalistes, quelques attardés du PS.

+ le FN sous un registre juste un peu différent que celui des Melanchonistes, (normal, l'électeur du FN, n'est jamais qu'un gauchiste déçu et qui n'a rien compris à l'échec permanent des politiques de gauche + quelques tenants d'une solide dictature de droite et quelques indécrottables racistes, les mêmes).

Reste juste à savoir quel % de français  gobera encore des promesses économiques ou sociétaires que la simple logique ou l'expérience sait intenables...

A savoir:

Sans bonne économie, toute promesse d'amélioration sociale reste également intenable.

Comment les croire, tout prouve le contraire, même si certains ont de petits salaires... ( Problème de surnombre et de budget non extensible à l'infini, nos impôts et notre dette nationale)

Ils ont tous, tout le reste...  Presque aucun risque de perte d'emploi, même pour les plus nuls, peut d'heures de travail, surnombre, retraites et autres avantages sociaux.

Une seule ombre à leur bonheur de salarier d'Etat, les pressions d'une hiérarchique souvent constituée de "sots" mais bons  "lécheurs de culs ou introduits politiques" et, le peu de chance d'évolutions professionnelles, (due, principalement à leur surnombre et, ou, à la bonne adhésion syndicale).

En aggravant pour eux, ils cherchent à nous cacher les réalités de leurs statuts très particuliers de salarié dépendant de l'Etat, donc de nos impôts et taxes. (un peu comme les nobles de l'ancien régime).

Et Hollande, "leur président", il lui reste encore de 15 à 20 % de fidèles, comme par hasard cela correspond au nombre de ceux dont les salaires dépendent des finances publiques, (soit nos Impôts, taxes et autres emprunts d'Etat)...

Et là, dans sa frénésie électorale notre fonctionnaire en chef, "leur "président irresponsable en rajoute encore une couche...

Apres moi, la fin du monde...

Reste juste à savoir qui va payer l'adition???

Fonctionnariat est entreprises à monopoles d'État ou, l'irresponsabilité, la désorganisation et la fainéantise organisée, de 20 % de la population française domine, (le tout fonctionnant sous base de recrutement électoral socialiste et de soutien syndical irresponsable). 

Une population sans risque de perte d'emploi, en surnombre, et bénéficiant d'avantages sociaux, (dont les bases d'attribution sont avant tout, la corruption électorale), le tout, sciemment entretenues par les mairies et gouvernements de gauche ce, au détriment de 80 % des autres Français) et, protégées par notre système syndical, lui aussi, totalement politisé à gauche et fonctionnant sur le système mafieux du communisme.

Syndicats politisés qui de plus y trouvent une partie non négligeable de leurs permanents, (ceux qui sont payés par nos impôts et qui par leurs grèves bloquantes détruisent nos services publics ce, sans aucune vergogne et sans aucun risque pour eux-mêmes c'est le contribuable qui paye).

Nous les retrouvons également dans tous les services à monopole d'État, géré en sous main par la CGT ou FO...

Le parfait modèle de hiérarchisation dans nos fonctions publiques et entreprises d'Etat... 

d'où, le manque permanent d'executants

Des gens élus ou non, simples employés ou cadres, sans aucun respect de l'électeur et du contribuable lambda, ni même, du consommateur payant. Un système mafieux, (comme tous les systèmes, se revendiquant du communisme ou de l'extrême droite),

A éliminer de France, le plus rapidement possible...

Il est impératif que les droits sociaux soient les mêmes pour tous les Français et ce, en rapport de la richesse de la nation et non des fantaisies électorales de nos dirigeants ou des lubies de nos syndicats.

http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-nouailhac/nouailhac-cette-etrange-maladie-des-fonctionnaires-19-08-2016-2062317_2428.php?M_BT=250109414953&m_i=WXNW3tgetlDodsU4Ht6JUXRHBF2LmlW0PoW2o8hWvTYQtmDcZWHFHi4crla3IQFOo2fhHAjtk8BDo5_8z9IWZZqLDZizWb#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20160819

Reunion de permanents syndicaux, (sélection des plus braillards)