• Madame Duflot a totalement oublié le combat de l'abbé pierre contre les divers gouvernements pour essayer d'obtenir la mise à disposition ou la construction de logements sociaux. De l’existence bien réel de ceux mis à disposition par les compagnons d'émmaüs, ceux mis à disposition par le secours catholique. Sans parler, des Protestants, des Musulmans et autres entités religieuses agissant contre la pauvreté.

    Que notre gouvernement, nos partis politiques, nos syndicats, en fassent autant et le problème serait en passe d’être résolu ...

     Mais non, ils préfèrent créer des commissions contre la pauvreté, commissions avec confortables salaires et lieux de réunion non moins confortables pour leurs amis politiques...



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  • Dit par monsieur Ayrault ,

    «Nous devons donner à nos entreprises qui manquent d'air des marges de manœuvre nouvelles, qu'elles ont perdues, pour investir, innover, créer de l'emploi. C'est ça la priorité de la France aujourd'hui, a renchéri Jean-Marc Ayrault devant les députés hier après-midi. C'est pour cela que le gouvernement a décidé d'aller plus vite encore.»

    Voilà qui est bien dit mais pas tout à fait dans la ligne politique qui a fait élire la gauche...

    Peu importe, seul le résultat compte,

    L'entreprise privée étant le seul système connu à ce jour capable de résorber le chômage par sa productivité et, en gardant les libertés de chacun.

    La surtaxer pour payer des emplois inutiles et des privilèges corporatifs d’état, c'est ouvrir la porte au chômage généralisé.

    À force de taper sur la poule aux œufs d'or, nous y sommes, trop d'emplois et de privilèges d’État payer par le privé,( et par l'emprunt).

    D’où, notre hausse du chômage...

     

    Mais les députés de gauche pensent...

    Pris sur La Tribune : http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20121203trib000734956/les-deputes-ps-votent-l-amendement-le-plus-cher-de-la-cinquieme-republique.html 

    Les députés PS devraient voter ce mardi ou mercredi le Crédit d'impôt compétitivité, avec réticence. Un dispositif essentiel du plan compétitivité, qui, malgré son ampleur -20 milliards- est soumis aux parlementaires par voie d'amendement gouvernemental.

    Nos socialistes, toujours pas convaincu que l’emploi dépend de la bonne santé des entreprises et non du nombre de fonctionnaires ...

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  • Quoi qu'en disent nos syndicalistes politisés et divers hommes politiques de gauche.

    Un employeur, n’emploie que par nécessité. Et donc, il ne licencie que par obligation.

    Cette nécessité d'empoi se termine lorsque le produit à fabriquer ne trouve plus de client, les raisons pouvant en être multiples.

    - Produit n'ayant plus aucune utilité ou disparition des clients

    - Produit de mauvaise qualité

    - Produit trop cher

    De cela, ont peut sans être très intelligent, en déduire que c'est l'acheteur ou l'utilisateur du produit qui fait l'emploi...

    Donc soutenir le contraire ou, vouloir maintenir l'emploi inutile, ne relève que de l'utopie ou du bourrage de crane.

    Les deux, en cas de nationalisation étant payé par nos impôts...

    Ou, par la disparition de l'entreprise par faillite, donc par moins d'emploi...

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  • Un des grands problèmes de nos actuels gouvernants c'est qu'il parlent sans réfléchir, juste pour l'effet d'annonce ou, pour nous « vendre » leurs utopies électorales.

    L'effet d'annonce étant insuffisant pour obtenir un réel résultat économique.

    Il faut l'assimiler au bourrage de crane.

    Avec nos gouvernants actuels, se sont les classes populaires qui en font les frais moraux et financiers, Avec en plus, les classes moyennes qui en payent les dégâts financiers par la hausse de leurs impôts.



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  • EMPRUNTER ?

    Sur le même thème, si l’économie française continue à se dégrader, qui va nous prêter ?

    Les causes des principales dégradations de notre économie sont :

    Les frais de fonctionnement de l'État en perpétuelle augmentation, (mauvaise gestion).

    Les prélèvements obligatoires, trop élevés sur nos entreprises.

    De ces prélèvements, (dans les plus élevés du monde) pour payer les frais de fonctionnement de l’état en découle : la faiblesses financière et productive de nos entreprise et donc leur recul à l'international (perte des ventes).

    = la principale cause de notre chômage …

    Basique, non ???

    Merci à Messieurs les syndicalistes politisés de m'avoir lu et compris, idem pour nos gouvernants...

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