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    Cars Macron : le groupe Megabus se retrouve en faillite

    ladepeche.fr  - ‎il y a 49 minutes‎  
    L'autocariste se retrouve en faillite. Les 175 salariés exigent un plan social mais les négociations sont au point mort./ AFP. La faillite de l'autocariste Megabus, racheté puis lâché par son concurrent Flixbus, marque un nouveau tournant pour les ...
     

    Même si la CGT s'en mêle, les contribuables ne payeront ni l'incurie des dirigeants ni les déficits...

     Ce n'est pas une entreprise à monopole d'Etat...

    Ouf pour le contribuable qui en a "marre" de payer les mauvaises gestions des organismes d'Etat.

     

    Ils sont en greve, pas de chance c'est une entreprise privé du systeme concurentiel...

    CGT, La mort économique de mon pays...

     

    Un concurrent "de moins" c'est une chance "de plus" de bien fonctionner et "de plus employer" pour celles qui restent...

    Les meilleurs et les mieux gérées.

     
     

    Ils sont en greve, pas de chance c'est une entreprise privé du systeme concurentiel...

    Au chômage la Nana. elle coutera moins chère au contribuable..

     
     
    C'est tout:
     
    Un contribuable qui en a assez de payer pour des gens, (nos 20 /30 % de médiocres et d'inutiles du secteurs public)...
     
    Ceux,  qui refusent la concurrence et préfèrent l'argent du contribuable que le travail pour assurer leurs salaires et avantages sociaux immérités.
     

    Ils sont en grève, pas de chance pour eux, c'est une entreprise privée du système concurrentiel...

     
     
     
    Et dire, que la CGT, c'est faite connaître pour la défense "des travailleurs"...
     
     

    Ils sont en greve, pas de chance c'est une entreprise privé du systeme concurentiel...

     

    Travailleurs cégétiste, bientôt, il n'y aura plu personne pour les payer

     

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    Syndicalement parlant !!!

    Finances publiques. Une colère qui enfle contre les suppressions de postes

    L'Humanité  - ‎il y a 46 minutes‎  
    30 % des agents des finances publiques étaient en grève ce mardi, partout en France, selon l'intersyndicale CGT-FO-Solidaires qui appelait à lutter contre la casse des services. Bercy reste sourd aux revendications des agents des finances publiques.

    Bien sûr, ils préfèrent les complications administratives et les hausses d'impôts et de taxes.

     Sont rigolos nos fonctionnaires syndiqués ...
     
    Bien sûr, ils préfèrent les complications administratives et les hausses d'impôts et de taxes.
     
     
    Sur le fond, syndicalement, une seule chose les intéressent, le pognon des contribuables.
     

    Bien sûr, ils préfèrent les complications administratives et les hausses d'impôts et de taxes.

     
    Le plus facile à gagner,  à piquer...
     
     

    Bien sûr, ils préfèrent les complications administratives et les hausses d'impôts et de taxes.

     
     

     

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    Services publiques, syndicalement, un métier d'avenir...

    C'est vous qui payez.

     

    Pour ce qui est du service vous repasserez la semaine prochaine,

    aujourd'hui, c'est grève...

     

    Nos syndicats politisés veulent gérer la france sur le modèle "périmé" soviétique.

     

    Ou, La mainmise syndicale "abusive" et "mafieuse" dans nos administrations, services publics et entreprises à monopole d'État...

     

    C'est comme dans l'ancienne URSS, il faut adhérer au parti, (soit, notre système syndicale politique), pour faire carrière dans nos services publics (Gestion mafieuse.

    Il faut bien se dire que le modèle communiste, stalinien si chère à nos (CGT ET FO) et avant tout un système mafieux de distribution de "bons points et d'accès à la hiérarchie", non au mérite du bon travail... 

    Mais, juste à leurs "petits soldats" les plus "politiquement" actifs. 

     

    Leurs permanents et autres bons camarades dans nos rues...

    Nos syndicats politisés voudraient gerer le la france sur le modele "perimé" sovietique. 

     

     

    À la fin de l'URSS, "toute la classe des politiques "apparatchiks" à été rejetée par l'ensemble des populations des pays de l'Est, rejeté massivement, cette classe politique c'est transformé "naturellement" en organisation mafieuse civile et, à continuer à s'enrichir sur les restes du communisme.

    Ils en connaissaient parfaitement les rouages et avaient une très grande habitude de s'entre soutenir pour  piller le peuple en famille.

     

    Un système qui perdure dans tous les pays se revendiquant du communisme. 

    Nos syndicats politisés voudraient gerer le la france sur le modele "perimé" sovietique.

     

    Notre CGT et autres syndicats gauchisants politisés se sont toujours inspiré dans leur fonctionnement sur le système politique "stalinien" de l'ex-URSS. 

    Soit  le recrutement et la progression hiérarchique au mérite de la soumission "politique au chef"... 

    A la place du mérite à la compétence professionnelle.

     

     

    Nos syndicats politisés veulent gerer le la france sur le modele "perimé" sovietique.

     

    Aujourd'hui, méthode de gestion du personnel devenus dominant dans notre éducation nationale mais aussi, dans toutes nos administrations et entreprises à monopole d'Etat ... 

    D'où la médiocrité de nos "services" publics est "en plus grave", des résultats catastrophiques de notre Éducation nationale. 

    Médiocrité en passe de devenir en France, "syndicalement"  la règle générale imposée pour les services gérés par l'État.  

    Médiocrité qui a conduit l'union soviétique à sa ruine morale et financière.

     

    Nos syndicats politisés veulent gerer le la france sur le modele "perimé" sovietique.

    Le résultat de la syndicalisation politique en France.  

     

    Notre médiocrité syndicale et politique de gauche. 

     

    Ses bases, "il est interdit" de la remettre en question sous peine de "grèves bloquantes" illimitées.

     

    Nos syndicats politisés veulent gerer le la france sur le modele "perimé" sovietique.

     

    "La cogestion syndicale abordée par allusion..." (impossible à affronter de face ou même simplement à critiquer sous peine de blocage total du pays par quelques milliers de permanents ( les sous offs et soldats salariés de nos syndicats).

    "Ce que ne traite pas ce rapport, c’est l’origine même de ces difficultés structurelles, et surtout les raisons pour lesquelles la machine éducative refuse de les régler. Or, au coeur de ce dossier, on trouve d’abord un problème de fond : la co-gestion de l’Éducation Nationale avec le SNES, qui transforme la gestion des ressources humaines en une immense mafia où le syndicat s’engraisse par un commerce d’indulgences simple à comprendre.

    Ce commerce d’indulgences repose en effet sur une mécanique bien huilée : tu es un jeune enseignant toulousain nommé à Aulnay-sous-Bois ? Plus tu paieras de cotisations au syndicat, et plus vite tu rentreras dans ta belle province grâce aux mutations qu’on t’offrira ou qu’on fera passer dans des commissions paritaires bidons où l’adhésion syndicale est essentielle.

    Et donc… une fois de plus, le discours insupportable de la solidarité et de la lutte des classes montre combien il est toxique pour l’égalité des chances."

     

    Nos syndicats politisés veulent gerer le la france sur le modele "perimé" sovietique.

     

    Pour avoir une chance "en premier" d'être recruté comme employé dans les entreprises et services à monopole d'État, y compris l'URSSAF, la CAF, et la Sécurité sociale, il faut "obligatoirement" être syndiqué...

    Idem pour pouvoir évoluer dans leurs hiérarchies ou pouvoir choisir son lieu de travail. 

     

    J'adhère et... Vous payez...

     

    Nos syndicats politisés veulent gérer la france sur le modèle "périmé" soviétique.

     

    Services publiques, syndicalement, un métier d'avenir,

    c'est vous qui payez.

     

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  • Ils ont fait de grandes écoles françaises...

     

    Mais, apparemment, ils ne semblent pas vivre en France ???

     

    Mais aussi, nous les trouvons, à vie, dans la fonction publique et dans toutes les entreprises à monopole d'Etat...

    + 

    Ils font de la politique ...

    Et ce, "sans risque" ils sont fonctionnaires à vie...

     

    Hauts fonctionnaires et gestion catastophique ...

    "Un" chef d'entreprise, le seul qui connaît la difficulté et le risque de l'entrepreneur...

    Et bien sur, rien ne changera, ils sont tous là, "nos hauts fonctionnaires", sans risques et à vie...

     

    Et pourtant, eux même, "nos grands hommes", le plus souvent, ils sont "incapables" de gérer correctement les services publics donc, l'argent du contribuable dont ils ont la charge.

     

    (Aucun respect de l'électeur et contribuable, ce lointain cousin).

     

    Le parfait modèle du haut fonctionnaire ayant réussit ses études mais, incapable, sauf de "placer "tous ses amis...

    Hauts fonctionnaires et gestion catastophique ...

     

    Nos hauts fonctionnaires et dirigeants politiques, (souvent les mêmes), malgré leurs études ou, (à cause), sont le plus souvent incapables de gérer quoi que ce soit correctement, (ce, mis à part leur carrière entre copains et souvent coquins)on les voit à longueur d'année s'entre félicités, s'entre promouvoir et s'entre augmenter et ce, presque toujours avec l'argent public mis à leur disposition.

     

    Ceux de gauche se disent plus honnêtes que ceux de droite, ce que ne rien dans leurs comportements ne prouve...(donc, ils seraient plus menteurs qu'à droite ...)

     

    Pour eux tous, toujours plus de pognon et toujours plus de subventions, c'est leur seul mode de gestion...

     

    En cas de catastrophe "trop visibles du public", ils sont nommés, "entre bons camarades de promotion", dans des postes tranquilles, sans réelle utilité, mais avec salaires équivalents si ce n'est promotion dans la hiérarchie "dès à vie"...

     

    Hauts fonctionnaires et gestion catastophique ...

    Un simple exemple, mais ils sont plusieurs milliers dans ce cas, ce n'est pas grave, c'est le contribuable qui paye...

     

       De bons plaçous et il y en a d'autres...

     

    Les salaires mirobolants de France Télévisions

    Le Figaro  -  
    VIDÉO - Alors que la Cour des comptes a publié lundi dernier un rapport critiquant violemment la politique «insuffisamment rigoureuse» de gestion du groupe, une enquête révèle les salaires exorbitants de certains salariés. L'audiovisuel public rémunère ...
     

    Une réorganisation inaboutie », « une gestion insuffisamment rigoureuse » et « une situation financière fragilisée » : tel est le jugement, sévère, que la Cour des comptes porte sur France Télévisions, au terme de la période 2009-2015, qui correspond pour l’essentiel au mandat de Rémy Pflimlin. Publié lundi 24 octobre, son rapport dresse un bilan de l’action de l’ancien président, mais il s’adresse aussi à sa successeuse, Delphine Ernotte, puisqu’il émet des recommandations pour une meilleure gestion de l’entreprise publique.


    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2016/10/24/pour-la-cour-des-comptes-france-televisions-est-dans-une-impasse-financiere_5019078_3236.html#PLKcsASUijJrljo0.99

     

    Lui, il est sorti diplômé de HEC Paris en 1978...

     

    Mais pour presque tous, dès qu'ils se trouvent à la tête d'une entreprise à monopole d'état ou d'une administration, c'est la catastrophe financière... 

     

    La faute à qui, à quoi ???

    À la grosse tête qu'ils prennent  après la réussite de leurs études ???  ( Ce qu'ils ne savent pas, c'est que "réussir des études" ne prouve pas que l'on a une "intelligence pratique", juste que l'on à eu la capacité à apprendre par coeur) .

    Au laisser-aller dû au fait de se savoir "fonctionnaires à vie"  avec promotion automatique et, sans risque de licenciement ?

    Aux ordres des "bons camarades" politiques, qui les ont nommés ?

    Aux syndicats qui bloquent toutes possibilités d'une saine gestion de nos administrations, et services publics, (bonne gestion, celle dite "en bon père de famille", obligatoire pour tout dirigeant du privé sous peine de poursuites judiciaires).

     

    Hauts fonctionnaires et gestion catastophique ...

     
    Pourquoi se priver, il n'y a qu'a se voter une augmentation ...
     

     

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  • Tout comme toutes les autres entreprises de services "dites publiques" et à monopole d'État. 

     

    À eux seuls, nos services publics, environ 20 % des salariés français,  totalisent plus de 90 % des journées de grève et des "subventions" pour "fin de mois difficiles"... (Déficits permanent de nos entreprises à monopole d'état)...

     

    Mais aucun de leurs syndicats et même salariés ne se posent la question du:

    qui paye ...

     

     

    SNCF, ils ont gagner leurs retraites et avantages sociaux à coups de greves bloquantes

      

     

    Ou, les bases "acceptés" la corruption électorale à la française...

    Jean Philippe Delsol : Le secteur public au sens strict (État, collectivités locales, fonction hospitalière…) compte environ 5,2 millions de salariés. Au cours des 30 dernières années ses effectifs ont augmenté de plus de 36 % quand ceux du secteur privé croissaient de 16,4% (rapport de la Cour des comptes du 16 décembre 2009).

     

    Ces 5,2 millions de fonctionnaires représentent environ 22 % de l’emploi total alors que dans les pays de l'OCDE, ce chiffre tourne autour de 15 %, soit 7 % de moins. Autrement dit, nous aurions un bon million de fonctionnaires en trop par rapport aux autres pays…

    Il faut y ajouter l'ensemble des salariés du secteur parapublic. C’est environ 2 millions de salariés de plus. De la sorte, cela représente au total 30 % des salariés français (24 millions de personnes).
     

    Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/plus-50-actifs-payes-argent-public-vrai-poids-etat-francais-jean-philippe-delsol-916481.html#yEFkm94V66RZy1IS.99

     

    Et ce, toujours au détriments des autres Français... 

    Pour eux, nos syndiqués du public, tous très à gauche, "l'utilisateur" et le "contribuable" ne sont que de simples "cochons de payeur"...

      

    SNCF, syndicalement ils l'ont gagner a coups de greves bloquantes

     

    Voici quelques mois, le Conseil d’Orientation des Retraites (par abréviation : COR) s’est livré à une intéressante projection jusqu’en 2060 du montant moyen des pensions de retraites de la SNCF. Il en ressort qu’à législation constante et au terme de cinq décennies, ce montant progresserait à partir de 2011 d’environ 91% (hypothèse moyenne) dans le même temps où les pensions du régime général en secteur privé patineraient à environ 51% pour les non-cadres et seulement 26% pour les cadres, soit tout simplement un taux de progression exorbitant en faveur des cheminots, alors que le montant annuel moyen des pensions de la SNCF, s’établissait déjà en 2014 (source DREES 2016) à € 23 616 et donc très au dessus déjà de la moyenne nationale correspondante de € 15 864 tous régimes confondus, mais seulement de € 14 480 si on se restreint au seul secteur privé (droits directs). Chaque branche, chaque entreprise ayant son autonomie, personne n’y trouverait à redire si, à l’intérieur de ce régime très favorable, les cotisations équilibraient les pensions.

    3 milliards de subvention par an pour les retraites SNCF

    Or il n’en est rien puisque c’est l’État par une subvention annuelle de plus de 3 milliards (3,3 milliards en 2016) qui assure à grands frais l’équilibre des retraites, dont la gestion est confiée depuis 2007 à la Caisse de Prévention et de Retraite des Personnels de la SNCF (CPRP-SNCF). Cette caisse jouit, dans le cadre de son statut, d’organisme de Sécurité sociale d’une personnalité morale distincte et de l’autonomie comptable et financière par rapport à l’entreprise ferroviaire et ce point est capital car il explique le tour de passe-passe qui a permis de ne pas obérer les comptes de l’entreprise en leur préservant un caractère financièrement « présentable ».

     

    C’est à dire que, le contribuable verse actuellement chaque année plus de   12 200 euros, pour leurs retraites...

     

    À y ajouter, les retraités de "l'ancienne" EDF, des PTT, Etc. + celles de nos fonctionnaires en surnombre... (Pas dans tous les services) .

    Surnombres et avantages sociaux accordés à tous nos services publics et assimilés, utilisés comme argument électoral, principalement par notre gauche...

    (Corruption électorale ordinaire, "Hollande" ne peut pas dire le contraire).

     http://www.resistance2017.net/2012/03/le-clientelisme-de-gauche-ou-la-forme-politique-de-la-corruption/

     

    +, les plus discrets, ceux de notre Sécurité Sociale, qui elle, gérée par la CGT et FO, puisent directement dans la caisse, ils en ont la clef...

     

    Pour eux pas besoins de grève.

     

    (Sauf, si un jour, un gouvernement, "sérieux et conscient de leurs abus" leur enlève la clef de la caisse).

     

    SNCF, ils ont gagner leurs retraites et avantages sociaux à coups de greves bloquantes

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