• Si, en politique, la mauvaise foi paye...          A cour terme...

    En économie, c'est plus délicat …

    Ceux qui savent compter le disent tout de suite …

     

    Ceux qui ne savent pas compter le constatent quelque temps après, dans leur assiette...

     

    Politique, économie, et mauvaise foi ...

    Comment avez vous fait ?

     

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  • Mais voilà, c'est difficile à dire, sauf mauvaise foi évidente ...

    Bien sur la première et la plus visible preuve de mauvaise gestion économique
    du pays, C'est la perte de crédibilité catastrophique de notre actuel gouvernement, perte de crédibilité arrivée à un point de négation ou tout ce qu'ils peuvent dirent sur le plan économique est considéré comme très douteux et, sur le plan civil, comme enfumage ...

    Ceci ayant été également valable, même si en moins, pour les précédents
    gouvernements. (D'ailleurs le précédent s'est fait éjecté sur les promesses vaseuses mais « crus » d'une meilleure gestion... Meilleur gestion constituant à une augmentation de tous les frais de fonctionnement ... Des coups de pied au cul se perdent...)

    Et pourtant, chaque fois cette perte de crédibilité à pour base, les mêmes raisons économiques,
    celle du gaspillage des fonds publics par le gouvernement en place ...
    Gaspillages ayant toujours pour bases, celles de faire plaisir à leurs amis électeurs et ménagers leurs ennemis ... (Ennemis gouvernementaux et anti-democrate *, = tous ceux qui ont le pouvoir de blocage économique du pays et en abusent ou en ont abusés...).
    Obligeant ces mêmes gouvernants, c'est systématique,
    à augmenter les impôts et taxes et donc, de se mettre automatiquement à dos une grande partie de la population, celle qui produit la richesse.

    Cette partie de notre population étant évidemment la seule à pouvoir payer,
    ce jusqu'à sa réduction ou disparition par effondrement financier pour ceux qui restent ou, par fuite pour ceux qui le peuvent.

    Effectivement à force de faire payer les « riches »,
    vision typiquement syndicaliste stalinienne ou socialiste aux utopies gauchisantes.
    Ces dis riches, qui sur le fond représentent les forces vives de toutes les économies développées... C
    e sont eux et leurs employés qui produisent ce que les autres ont à leur disposition pour dépenser … Des ouvriers et employés tout aussi et même, plus pénalisés que leurs employeurs de par les charges communes à payer et en plus, par le chômage.

    Les autres, les dis pas riches ... Etant nos gouvernants, politiques, fonctionnaires et assimilés,
    soit tous ceux vivant de la collecte des impôts, taxes et charges sociale, plus les assisté sociaux et quelques autres profiteurs , les entreprises et ex entreprises nationales et  vivantes encore sous le régime des monopoles d'etats


    Bien sur la première et la plus visible preuve de mauvaise gestion économique
    du pays, C'est la perte de crédibilité catastrophique de notre actuel gouvernement, perte de crédibilité arrivée à un point de négation ou tout ce qu'ils peuvent dirent sur le plan économique est considéré comme très douteux et, sur le plan civil, comme enfumage ...

    Ceci ayant été également valable, même si en moins, pour les précédents
    gouvernements. (D'ailleurs le précédent s'est fait éjecté sur les promesses vaseuses mais « crus » d'une meilleure gestion... Meilleur gestion constituant à une augmentation de tous les frais de fonctionnement ... Des coups de pied au cul se perdent...)

    Et pourtant, chaque fois cette perte de crédibilité à pour base, les mêmes raisons économiques,
    celle du gaspillage des fonds publics par le gouvernement en place ...
    Gaspillages ayant toujours pour bases, celles de faire plaisir à leurs amis électeurs et ménagers leurs ennemis ... (Ennemis gouvernementaux et anti-democrate *, = tous ceux qui ont le pouvoir de blocage économique du pays et en abusent ou en ont abusés...).
    Obligeant ces mêmes gouvernants, c'est systématique,
    à augmenter les impôts et taxes et donc, de se mettre automatiquement à dos une grande partie de la population, celle qui produit la richesse.

    Cette partie de notre population étant évidemment la seule à pouvoir payer,
    ce jusqu'à sa réduction ou disparition par effondrement financier pour ceux qui restent ou, par fuite pour ceux qui le peuvent.

    Effectivement à force de faire payer les « riches »,
    vision typiquement syndicaliste stalinienne ou socialiste aux utopies gauchisantes.
    Ces dis riches, qui sur le fond représentent les forces vives de toutes les économies développées... C
    e sont eux et leurs employés qui produisent ce que les autres ont à leur disposition pour dépenser … Des ouvriers et employés tout aussi et même, plus pénalisés que leurs employeurs de par les charges communes à payer et par le chômage.

    Les autres, "les dis non riche"... Etant nos gouvernants, politiques, fonctionnaires et assimilés,
    soit tous ceux vivant de la collecte des impôts, taxes et charges sociale, plus les assisté sociaux et quelques autres profiteurs , les entreprises et ex entreprises nationales et encore
    Là, rien d'anormale, pour tous les pays le principe reste le même... 
    (Communisme ou capitalisme, il y a toujours des profiteurs, justes, plus ou moins. Les utopies de gauche ayant une forte tendance à les multiplier ...).

    Quand le système se dérègle, pas en un jour,
    ce dérèglement a toujours comme origine la décision de ses dirigeants de favoriser la partie dépensière du pays. (Par conviction ou, par peur, mais toujours pour raisons électorales immédiates)
    Pour la favoriser cette partie dépensière, deux seules solutions,
    faire payer plus la partie productive, (impôts, taxes et charges sociales) et, ou, emprunter de l'argent aux voisins.
    C'est très simple ... Et tous l'on fait ...

    Le problème réel commence au point de rupture
    , soit quand les taxés et corvéables à volonté, ne peuvent plus, ou ne veulent plus, souvent les deux se cumulent dans ma même période...

    Nous y somment.

    Une seule réponse à ce problème,
    pour le gouvernement qui a la « malchance » de tomber au moment de cette rupture, (obligatoire, la rupture) ou, qui a eu la bêtise de la provoquer ...
    Ce gouvernement ne peut que faire une grande marche arrière,
    volontairement ou par contrainte. Ou alors, passer le plus vite possible la patate brûlante au suivant, s'il y en trouve un ...

    Aucun replâtrage, ni enfumage ne réglera le problème, et attendre une impossible reprise interne, ne fera que l'augmenter.

    La France est malade de ses mauvaises gestions économiques.

    Ce n'est pas la faute aux voisins.

    Là, rien d'anormale, pour tous les pays le principe reste le même... (Communisme ou capitalisme, il y a toujours des profiteurs, justes, plus ou moins. Les utopies de gauche ayant une forte tendance à les multiplier ...).

    Quand le système se dérègle, pas en un jour,
    ce dérèglement a toujours comme origine la décision de ses dirigeants de favoriser la partie dépensière du pays. (Par conviction ou, par peur, mais toujours pour raisons électorales immédiates)
    Pour la favoriser cette partie dépensière, deux seules solutions,
    faire payer plus la partie productive, (impôts, taxes et charges sociales) et, ou, emprunter de l'argent aux voisins.
    C'est très simple ... Et tous l'on fait ...

    Le problème réel commence au point de rupture
    , soit quand les taxés et corvéables à volonté, ne peuvent plus, ou ne veulent plus, souvent les deux se cumulent dans ma même période...

    Nous y somment.

    Une seule réponse à ce problème,
    pour le gouvernement qui a la « malchance » de tomber au moment de cette rupture, (obligatoire, la rupture) ou, qui a eu la bêtise de la provoquer ...
    Ce gouvernement ne peut que faire une grande marche arrière,
    volontairement ou par contrainte. Ou alors, passer le plus vite possible la patate brûlante au suivant, s'il y en trouve un ...

    Aucun replâtrage, ni enfumage ne réglera le problème, et attendre une impossible reprise interne, ne fera que l'augmenter.

    La France est malade de ses mauvaises gestions économiques.

     

    Ce n'est pas la faute aux voisins.

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  • Tous les jours, nous allons de surprise en surprise sur l'utilisation interne et dissimulée de l'argent de nos impôts, taxes et charges sociales ...

     

    cinq exemples ...

    1 -  SNCF, grève « préventive » le 12 décembre ... Grève, contre un projet de réduction de ses coûts de fonctionnement ...http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/11/25/97002-20131125FILWWW00377-sncf-appel-a-la-greve-le-12-decembre.php?m_i=6t56ATirEItcrna%2Be6OPKI7Cg16AaI6jMn73O%2BswqpRSXoPAi  

    Coût d'exploitation, financé par nos impôts et taxes ...
    Coûts des avantages sociaux et retraites d'exceptions financés eux, par nos charges sociales, la part payé par les employés et employeurs de cette société bénéficiant encore du privilège des monopoles publics et, étant incapable de financer ce qu'ils ont pu obtenir par leurs grèves bloquantes ???

    Apparemment, leurs principaux syndicats, 4 riens que ça ???, donc sûrement plusieurs milliers de permanents, plus occuper à cogiter comment améliorer leurs avantages que, les services SNCF ... 

    Non, dans leur esprit la SNCF, tout comme L'EDF, n'ont pas de client, mais des « usagés » ou même, des « otages » ...

    Des syndicats incapables de se rendre compte de la situation économique française dont ils portent avec les politiques de tous bords la responsabilité et, de l'énervement de plus en plus visible des cochons de payeurs.
     

    Des syndicats qui prennent tout simplement le risque de voir leurs « otages » se révolter et, lyncher dans l'énervement quelques-uns de leurs syndiqués les plus actifs. 





    2 - Que les associations pour les loisirs des administrations financières, touchent plus de 34 millions d'euros (6 millions pour l'ATSCAF et 28 pour l'EPAF), de subventions internes... Donc, prisent directement sur la collecte des impôts, juste pour leurs petits loisirs...
    Le contribuable lui, n'ayant pas droit à la parole. « http://h16free.com/2013/11/25/27487-des-subventions-comme-sil-en-pleuvait , et encore, ces documents ne concernent que les subventions ministériels ... Il y a aussi les subventions de l'Assemblée, du Sénat, je suppose de l'Elysée et de Matignon et bien entendu de notre mille-feuille de collectivité (régions, département, communauté de commune et métropole et commune). Et in fine, par copinage, les grands groupes semi-publics sont aussi des grands donateurs, souvent pour faire plaisir aux politiques ... La BNP et la Sogé donnent-elles aux bonnes œuvres du ministère des Finances ? »

    Et que c'est probablement la même chose dans tous les ministères 40 ..., dans toutes les entreprises publiques et paras publiques et dans toutes les entreprises nationales ou ex. nationales bénéficiant de monopole et ce, en plus, d'avantages très particuliers (sociale directe et retraite).
    Soit, plusieurs dizaines de milliards, de prélèvements indus et cachés, sur nos impôts, taxes et, charges sociales pour la distraction de nos fonctionnaires et assimilés. (sommes pratiquement impossibles à détermine ses donations fonctionnant totalement en interne).

     



    3 - Retraites des fonctionnaires : un gouffre pour l'État ...  http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/11/25/20002-20131125ARTFIG00560-plus-de-37-milliards-de-subventions-pour-les-retraites-des-fonctionnaires.php?m_i=pMmpSonHFKnmrGOLQMYyJ9FcYOpV1xp8t4ocAm8_tX442%2BjV3 

     

    Seul un quart des pensions de la fonction publique est financé par les cotisations des agents de l'État. 

    Les contribuables doivent payer la différence …

    Ce, juste pour payer les retraites d'exceptions de la fonction publique, 37,3 milliards sont prélevés sur nos impôts, taxes et charges sociales.

    Donc, prélevé sur les revenus de ceux qui ne bénéficient que de très peux d'avantages sociaux, et de retraites comptées aux minimums admissibles et devenues également sur-taxable, pourtant ces gens ont cotisé aux taux maximum en vigueur...

    Des retraites, également moindres en temps et en valeur, que celle de nos vaillants fonctionnaires …

     

    4 - Des classes moyennes du privé, imposables et corvéables à volonté, qui viennent également de se rendre compte que le « peu » que le gouvernement Hollande à enlever officiellement à ses fonctionnaires a été aussitôt compensé par des primes exceptionnelles de 50 % ...
    Ce, en transférant une dépense de fonctionnement en dépenses de subventions donc d'intervention...

    Donc une fausses baisses comptables des dépenses structurelles annoncées au public.

     

    On comprend donc facilement les dérapages de la RGPP sur certains ministères ou de l'argent réel a servi à compenser des économies virtuelles ...
    http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/12/18/apres-la-fin-de-la-rgpp-le-gouvernement-sort-sa-map_1807782_823448.html

     

     

    Mais aussi,

    5 - Des Subventions syndicales, officielles et cachées, payées par les entreprises, également directement offertes par l'État ou, prises sur les organismes sociaux et la formation professionnelle ...
    Pour des syndicats ne représentant que, autour de 2 % du secteur privé et de 6 à 8% du secteur public, syndicat incapable de se financer normalement, (cotisations), car ne représentant plus qu'eux même et, quelques gauchistes, soit, d'éternels revendicateurs devenus des professionnels de la revendication ...
    A additionner à toutes les autres subventions destinées aux sociétés à but non lucratives, environ, encore 30 milliards ... 

    Mais toujours au bénéfice des plus politisées pour prés de 90 %.

    Une valse de milliards publics bien cachés mais que internet commence a mettre à la disposition du grand publique, celui des éternels payeurs.

    Ce sera « ça » notre vrais révolution fiscale ... Internet et ses informations ouvertes gratuitement à tous...

     

    Mais sûrement pas les vagues promesses de mise à plat d'une fiscalité folle que nos gouvernants promettent de mettre à plat, sans toucher aux raisons. 

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  •  

    Mory Ducros annonce l'un des plus importants dépôts de bilan ...

    Le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg et son collègue des Transports Frédéric Cuvillier ont annoncé vendredi vouloir "rencontrer au plus vite" les partenaires sociaux après le dépôt de bilan du transporteur Mory-Ducros, qui emploie …

    Je ne connais pas le dossier, mais il me semble très simple …

    Baisse de la demande de transport en messagerie, baisse ayant pour principale raison la baisse du pouvoir d'achat, puis la peur du lendemain pour les 70% de Français du secteur privé face aux risques de chômage ...
    (Le secteur public surprotégé n'étant pas assez nombreux pour compenser, de plus il participe très largement au problème)

    La baisse du pouvoir d'achat, et le risque de chômage bien sur, à première vue, ils viennent de la crise ...  À ce que nos politiques et syndicalistes disent, plus de la faute des patrons et des investisseurs.. .

    Deux accusés basiques et de plus, facile politiquement à designer …

    Mais aussi une des grandes raisons de cet ensemble de défections, raison bien entendue cachée au maximum par nos gouvernants et, qu'internet est en train de mettre à portée du grand public.


    Plus en détail :

    Les fournisseurs du transporteur, qui ont de plus en plus de taxes à faire payer à leurs clients plus, de plus en plus de contraintes réglementaires, et donc de moins en moins de marchandises (trop chère) à faire transporter.
    Le transporteur lui-même et ses salariés, (dans le même bateau...) 
    et, avec exactement les mêmes problèmes que ses fournisseurs ...  (Pour l'instant on parle d'un transporteur, mais dans la réalité c'est toute la filière qui est touchée).


    Puis, en cumul des 2 premiers, les clients du transporteur et du fournisseur du transporteur ...
    Eux, ils additionnent en tant que clients finaux,
     les impôts, les taxes, les charges sociales, plus le coût des réglementations payés par les 2 précédents, à leurs propres impôts, taxes, et charges sociales personnelles...  (En réalité beaucoup plus, car le distributeur du produit, n'en est que très rarement le fabricant).

    Voilà ou se situe le grand problème de notre économie, soit probablement plus de 60 % du prix d'achat d'une marchandise fabriqué en France qui part directement dans les poches de l'État pour son fonctionnement...

    Et, c'est insuffisant, il faut encore emprunté...

    Soit beaucoup plus que ne prennent pour eux-mêmes les acteurs économiques d'un produit quelconque, hors luxe... (Pour les produits de luxe, le prix de vente et suffisant pour assurer l'ensemble de la filière)

    Donc, la grande responsable, ce n'est pas « que » la crise, elle, elle n'en est que le résultat ...

    La grande responsabilité en France, c'est celle de tous les acteurs participant activement au coût de fonctionnement de notre état et de ses institutions ...

    Élus politiques, syndicalistes, fonctionnaires et autres bénéficiaires actifs des largesses de l'État.

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  • Encore un peu plus de ridicules, les cavaliers protestent contre la hausse de leur TVA …  Donc de leur futur et obligatoire hausse de tarification ...

    Soit, la responsabilité de l'État sur cette obligation ...

    Sans savoir sur le fond, s'ils ont raisons ou pas, une chose et certaine, ils en vivent sans rien demander à personne, même si c'est modestement pour la grande majorité …

    En France une anomalie gravement anti-socialiste, celle de ne pas dépendre à 100% de l’État...

    En règle générale, ils fournissent aux enfants des villes la possibilité de faire un sport de plein air et d'avoir un contact rapproché avec les animaux …

    Donc des gens à taxer un maximum, ils ne font pas partie de l’éducation nationale et donc ne coûtent rien à l’État … Deuxième anomalie et impardonnable ...

    Pour finaliser ...

    La seule proposition que le gouvernement leur fait, c'est de subventionner leurs futures pertes ???

    Donc, dépendre encore plus de l'État.

    Sans doute avec l'argent de la TVA diminué des frais d'organisation de la subvention, soit, quelques fonctionnaires de plus avec leurs avantages sociaux …

    Bravo à nos Chadoks nationaux, tout est bon pour eux ...

     

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