Compétitivité : l'OCDE accable la France

L'organisation internationale pointe dans son rapport les tares profondes de l'économie française : baisse du niveau d'éducation et de formation, fiscalité excessive, généralisation des 35 heures, smic trop élevé...

D'après les auteurs du document, le passage aux 35 heures généralisées en 2000 expliquerait une bonne partie du décrochage français.

L'OCDE ne pouvait pas dénoncer plus directement la semaine de 35 heures, qui, malgré ses aménagements, reste la règle en France. «L'écart de niveau de vie entre la France et les pays les plus riches de l'OCDE tient largement à la sous-utilisation du facteur travail…», ajoute l'organisation économique.

Vive le socialisme à la française et ses syndicats visionnaires …

Remettons Madame Augris au gouvernement, qu'elle se « dépêtre » de la merde qu'elle à foutu.

Rapidement elle va comprendre ...

Montebourg à dit …

« Nous avons une nouvelle vague de plans sociaux qui arrive. Cette vague concerne principalement des PME et des ETI , qui peuvent être rentables mais qui connaissent des difficultés temporaires de trésorerie, du fait de la défaillance des banques. Il n’est pas question de les laisser tomber ! »

Les banques ont bon dos et, Montebourg en rajoute …

Je ne plains pas les banquiers, ce sont des salauds qui ne fonctionnent qu'avec la machine à calculer.

 Quand même, une réalité, le calcul des risques c'est leur métier . ...

Et là, dans notre periode de surtaxation,  je pense que leur machine à calculer donne parfaitement la « température » financière de l'avenir « à cour terme » des entreprises françaises et donc, celle des investisseurs potentiels …

Un banquier qui aujourd'hui dirait à un de ses clients, investissez dans l'avenir d'une PME française, serait un escroc.

Tout comme un industriel qui investirait sur l'avenir français de son entreprise, serait un imbécile. 

Ou,  "si tu ne voles pas ton entreprise, tu voles ta famille" ...

En moins de trois ans, le coût de l'emploi à domicile a augmenté de 12 %!

Les ménages ont immédiatement réagi. Le travail au noir est l'évasion fiscale des classes moyennes», estime Marie-Béatrice Levaux.

Et probablement plus pour les autres services ...

Et nos gouvernants, ne veulent toujours pas se rendent compte du problème de leur politique du toutes taxes et charges, y compris les communales …

Peut importe le nom ou la qualité de ses taxes ou charges, c'est toujours pour lui, l'utilisateur final, de l'argent à sortir ...
Et quand de plus, cet utilisateur voit ses impôts augmenter, il ne peut avoir qu'un reflex économique logique …

Celui de réduite ses dépenses, ou par nécessité, revenus devenus trop faible ...
Ou encore, par reflex économique, celui d'une gestion de ses revenus en « bon père de famille » ...

Soit, celui de protéger la vie économique de sa famille, en utilisant le grand principe économique des ouvriers des ex pays de l'est, «si tu ne voles pas ton employeur, tu voles ta famille … (l'état en l'occurrence en pays socialiste, ce que nous sommes en train de devenir)

Et là, le moyen le plus simple et à la disposition de tous, producteurs et utilisateurs...                     Le travail au noir ...

Le système socialiste soviétique n'a pu fonctionne aussi longtemps que grâce a sa tolérance sur le travail au noir, soit après la fin des heures obligatoires de "présence" en entreprise ce, en échange d'un très petit salaire, mais en principal d'un logement, de son chauffage et d'un médical très moyens, (à voir l'état des hôpitaux lors de l'écroulement du Système)...

La couverture de l'ensemble des services tous, y compris la construction des maisons individuelles, (toujours avec des matériaux « récupérés », il n'y avait pas de commerce de matériaux pour les particuliers)...                                                                                                            À savoir, les maisons individuelles étant pour la grande majorité réservées aux meilleurs travailleurs au noir soit, les classes moyennes ou, aux apparatchiks *...

Services, systématiquement, « 100/100 » assurés par ces bons ouvriers, touches à tout...

Les classes supérieures, elles, étant totalement fonctionnarisées avec, petit salaire, mais avantages en nature très nombreux et surtout, droit reconnu et largement utilisé à la corruption.

Voilà le système que notre gauche, appuyée par ses syndicats, par sur taxation, sur-imposition et charges sociales abusives est en train de nous imposer... 

 Je "rigole", nos syndicats faces à la « Merde » qu'ils ont mises.

Des syndicats dépassés par la grogne sociale    Les difficultés de la CGT, qui ne peut canaliser la contestation, aggravent la donne.

Et oui, pauvres syndicalistes, sur le fond des contestations actuelles, (majoritairement en provenance du secteur privé, moins de 5 % de leur clientèle)...

Des contestations et contestataires qui sont contre la politique syndicale de soutien au nombre et exceptions de la fonction publiques et de ses assimilés. (S.Sociale, CAF, SNCF, EDF, Etc.)

Des contestations en provenance des éternels payeurs, qui n'en peuvent plus ...

C'est certain, pour nos syndicats, impossible de soutenir, les aspirations contraires de moins de 5 % de leur clientèle, surtout quand ces 5 % représentent plus de 70 % du pays.

Clientèle ayant fuit un "magasin" syndical n'en ayant que pour le financement des exceptions de ses clients favoris, déjà privilégiés, mais aussi, principaux fournisseurs de fonds, " publics" ...

Fonds « détournés » des nécessités réelles et basiques du pays et ce, depuis pas mal d'années, detournement principalement destinés à ceux qui en ont en charge la gestion.

Soit de l'escroquerie publique, mais bien-pensante, " par-ce-que", de gauche

Je n'ai plus d'enfant scolarisé donc,  information amusante, pour moi ...

Forte grève en vue à l'école

social Les personnels du premier degré vont se mobiliser jeudi. De nombreuses écoles risquent de rester fermées jeudi dans le Rhône. L'appel national à la grève contre la réforme des rythmes scolaires s'annonce en effet très suivi, selon l'intersyndicale de ...

Je ne comprends plus, plus on reforme, plus il y a de contestations, parents et enseignants ...

Pourtant notre gouvernement à fait un très gros effort de dépenses, (payés par le contribuable), pour le recrutement d'enseignants (60.000) et d'assistants divers, (combien ?), eux,  payé par les communes, (sur le fond, toujours payé par le même contribuable et apparemment pas très satisfait de toujours payer notre contribuable ... ) 

Pourtant notre ministre de l'enseignement, je ne le nommerais pas, le problème est le même avec tous les ministres de l'enseignement ...
Donc, ce ministre, nous chantait, il y a quelques jours, sur une radio matinale, sa satisfaction, (sans doute, toute personnelle), sur la mise en place de « sa » réforme avec, XX % de satisfait ???

Satisfaits en grève pour faire entendre leurs insatisfactions ???
Là, rien de nouveau sous le soleil syndical, (la gréve sur tout et pour tout), sauf pour cette grève, une contestation plus ou moins interne à la gauche ...

Messieurs les Socialistes, compte tenu du nombre de protestataires et de leur variété, n'auriez-vous pas un problème avec l'application des « utopies dites bien-pensantes » de votre politique ...