• Le faux retour des syndicats sur le devant de la scène sociale

    Laurent Berger (à gauche), en novembre 2012, lors de la dernière mobilisation unitaire contre l'austérité (ici avec son prédécesseur, François Chérèque et l'ex-patron de la CGT, Bernard Thibault). Crédit photo: François Bouchon/Le Figaro. L'appel de la CGT 

    Échec total, vu le nombre de salariés sensés être représentés par nos syndicats !

    Alors que les bonnets rouges, ces salauds de capitalistes et de plus ("Poujadistes", insulte suprême), ne sont sensés que représenter « eux-mêmes les salauds de patrons », soit moins de 5 % de la population, tous des riches ... Vision syndicale et attardée gauchisante ...

    Nos syndicats contre l'austérité ??? austérité dont par leurs méthodes utopiques et staliniennes, ils se trouvent à avoir une grande responsabilité.
    (Austérité provoquée par le nombre, additionné aux avantages sociaux et retraites qu'ils ont obtenus à coups de grèves bloquantes à leur maintenant seuls et derniers clients, la fonction publique et ses assimilés,Sncf, Edf, Gdf, Education nationale, S. Sociale et autres organismes parapublics ... Plus tous les abus d'utilisation de l'argent public à leur seul profit, en utilisant la gestion de nos organismes sociaux et autres beneficiaires des fonds publics, pour financer leurs permanents, , et les « amis politiques » de ses permanents).

    Des jusqu'aux boutistes politiques 
    qui ont entraînés notre pays à avoir des frais de gestion de nos secteurs publics et paras publics dans les plus hauts du monde...

    Ce en obtenant "toujours à coups de grèves bloquantes, leurs spécialités" des avantages sociaux anormaux ainsi que des exceptions retraites honteuses dans une république qui se veut égalitaire ...
    Services publics et paras publics
    devenue de plus, médiocre à coups de soutiens syndicaux leur préconisant de faire le minimum, dit syndicale ...

    Avantages toujours payer par les impôts, taxations et charges sociales du secteur privé marchand...

    Secteur prive et marchand au bord de l'asphyxie de par les abus de prélèvements le mettant hors toutes compétitions internationales, et même nationales...

    Et, ils osent encore manifester pour le maintien d'une telle politique...

    Il faut vraiment être fonctionnaire ultra protégé et vivant sur un nuage syndical pour ne pas comprendre le problème et oser ...

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  • La réforme de la fiscalité ne convainc pas les Français

    Même si la majorité des Français approuvent la "remise à plat de la fiscalité", ils sont sept sur dix à estimer qu'elle sera "injuste et inefficace". Selon un sondage publié samedi, près des trois quarts des Français estiment que la réforme de la fiscalité annoncée ...

    Pas sans raisons quand on prend en compte les deux éléments dominant la politique du Parti socialiste.

    Se faire élire et y rester...      Après nous la fin du monde ...

    Donc, se mettre à dos le moins possible d'électeurs acquits par promesses electorales, une seule méthode, faire semblant de reformer ...

    Son choix affiché et lui aussi, purement électorale, de ne pas vouloir reformer en profondeur notre fonction publique et para-publique, notre système syndicaliste ne représentant plus que lui-même et la fonction publique, (moins de 30% des Français), notre système politique et administratif, trop coûteux et de plus en plus inefficace.

    Même, devenu très médiocre en rapport de son coût ...  (Voir les classements OCDE de la France, classements qui semblent bien mettre en avant notre recul général dans les classements mondiaux). http://blogs.mediapart.fr/blog/marie-anne-kraft/230313/rapport-ocde-sur-la-france-quelques-evidences-avec-des-oeilleres

    Donc obligatoirement par ces blocages, à en maintenir tous les coûts et les défauts …

    Par ces maintiens, de plus, aucune réduction d'impôts, de taxes et de charges sociale possible.

    Les 70 % de français payeurs des hérésies de nos systèmes de représentation politique et administratifs ne sont plus dupe.

    Ils ne croient plus aux promesses de reforme socialiste, ces derniers ayant prouvé par leurs actions appuyées par des syndicats politiques et fonctionnarisés...

    Leur volonté "socialiste" de non reforme pour raisons électorales ... 

     

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  • La grande stupidité et surtout, la mauvaise foi de nos syndicats politiques, prétendre que l'emploi ne dépend ni des patrons, ni des investisseurs, ni des "sur-taxations" françaises ...
    Des sur-taxations touchant autant les entrepreneurs que leurs salariés, d'où les faillites en séries et le chômage...

    Des sur-taxations n'ayant qu'un but maintenir les avantages du secteur public...

    Nos vaillants syndicalistes fonctionnarisés, peuvent toujours demander à l'état des plans de sauvetages ... Et l'état, les leur accorder généreusement ...

     

    Mais, il faudra bien que l'État trouve l'argent nécessaire à ses plans ... 

    Donc, J'aimerais que nos syndicalistes nous disent ou l'État va prendre cet argent ???
    Sûrement pas dans les entreprises en faillites ni chez les ouvriers et cadres au chômage... Et encore moins dans celles qui fichent le camp de France sous la pression des syndicats additionnés à celle des taxes.

    Donc, ne reste que les fonctionnaires pour payer, des fonctionnaires qui ne produisent rien, (saufs des règlements et des taxes), ce qui est leur raison d'être.
    Pour faire payer les fonctionnaires, une seule solution, comme ils ne produisent pas de richesse, il faudra obligatoirement toucher à leur statut, leur nombre, avantages sociaux et retraites.

    Soit Rééquilibré les droits sociaux du secteur public avec ceux nettement plus modeste du secteur privé, (celui qui les paye) ...

     

    Le contraire, financièrement étant impossible. 

     

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  • Dans la même veine ...


    Formation professionnelle, un magot de 30 milliards gaspillé par désorganisation et esprit de lucre, chacun des « des ---organisateurs » cherchant à en tirer le meilleur rapport financier possible.

    Tout comme notre sécurité sociale et nos caisses de retraite et, tout ce qui est géré par les syndicats ...

    Ouvriers et patronaux qui y trouvent une partie de leurs financements

    Un vaste bordel national, pour ne pas dire escroquerie syndicale...

     

    Tout va bien, les syndicats veillent sur votre formation ...

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  • Syndicalisme stalinien, devenu syndicalisme à la Française ...(Créer et financés par Staline pour perturber les économies occidentales).

    Nos syndicats hors course, ils n'ont plus rien à défendre ...

    Et de plus, ils peuvent être considérés comme co-responsables de la situation économique de la France et de sa presque impossibilité à être résolue à l'amiable.

    Ne représentant plus que le secteur public et para-public, secteur actuellement super protéger, et ce, au détriment du secteur privé marchand... Ce que tout le monde se rend compte, phénomène récent, et dont Hollande est responsable en mettant « sa » fonction publique, son principal soutien, à l'abri de toute évolution pouvant réduire son nombre et donc ses coûts.

    Notre chômage, cela n'est plus un secret pour personne, (internet est passé par là), étant en grande partie provoqué par les taxes, impôts et charges sociales nécessaires à l'entretien des privilégiés de l'état. 

    Privilèges dont bénéficient, principalement la fonction publique et ses assimilés du secteur parapublic et, bien sur, de leurs syndicats (les gestionnaires de nos caisses sociales) et de nos hommes politiques professionnels, eux-mêmes, majoritairement fonctionnarisés.

    Ces syndicats politiques, ne représentant que moins de 2 % du secteur privé qui lui, représente entre 70 et 75 % de la population, compris la totalité des chômeurs et des pauvres.

    Nos syndicats, avec l'appui d'une gauche protestataire et hurlante, (quand elle était dans l'opposition) et, par le système des grèves publiques bloquantes revendicatives du toujours plus, ont provoqué ces hausses permanentes de l'ensemble des charges, impôts et taxes pesant sur notre secteur marchand.

     

    Mettant l'ensemble de notre économie en grande difficulté concurrentielle et donc financière, tant en France que sur les marchés extérieurs... 

     

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