• Mon anticommunisme primaire... Non, plutôt antigauchisme primaire, pas sans raison... (j'ai passé prés de 20 ans dans les ex-pays de l'Est et j'ai pu en voir les résultats  négatifs)

    Le communisme de lui-même, s'étant discrédité, il n'en reste que les idéologies de bases maniées avec maestria par notre gauche et extrême gauche.

    Idéologies que l'on sait totalement inapplicables de par les particularités propres à chaque humain, sauf par la force. Tellement inapplicable qu'encore leurs promoteurs me semblent vivre hors du temps. Ou peut-être de rêver à une encore possible emprise totale, physique et morale, sur l'homme. (voir les méthodes de gestion et les résultats économiques et humains des actuelles "rares républiques dites démocratiques !" 'En réalité de pures dictatures de gauche avec leurs modes de vie idéalisés et imposés par la violence »).

    Je n'aimerais pas que mon pays soit assimilé à ces pays. (Ni en niveau de vie, ni en libertés individuelles, ni mêmes par la moralité leurs dirigeants)

    Si Hollande a manié des idéologies de gauche pour se faire élire, devant les réalités économiques, il semble sérieusement faire marche arrière, (à suivre !).                         Et, s'il désire sérieusement marquer son passage à la gouvernance du pays, il devra encore faire mieux...

    Ce que notre «droite» n'a ni su faire et ni put faire, par obstruction systématique et « braillarde » d'une gauche agressive.

    C'est de cette constatation que j'accuse la gauche et ses syndicats politisés et fonctionnarisés, d’être les principaux responsables de nos reculs économiques et donc d'une partie non négligeable de notre chômage.

    La part de la droite à ce recul était sa faiblesse vis-à-vis des braillards de gauche.

    Braillards de gauche, qui ?

    Nos syndicats politisés et fonctionnarisés, les principaux acteurs de notre recul économique et donc de notre chômage de par leur intransigeance et leurs influences sur les parties les plus négatives de notre code du travail. Puis, en utilisant les grèves bloquantes des services publics pour obtenir des privilèges exorbitants au bénéfice de ses services « dits publiques » en réalité de moins en moins au service du public mais de plus en plus à leur propre service, (surnombre et privilèges payé par la collectivité).

    Nos partis politiques gauchisantes, très liés aux syndicats, ou l’inverse, peu importe. Ce sont seuls les résultats négatifs économiques qu'ils espèrent obtenir qui comptent …             (Mettre à mal notre démocratie qui ne correspond pas à leur vision de gouvernance).

    En plus modeste nos écologistes, leur principal avantage, ils ne tapent pas trop sur l’emploi. Un problème, la grande majorité des emplois qu'ils souhaitent créer le sont aux frais de la collectivité, eux-mêmes se fonctionnarisant de plus en plus en suivant l'exemple des syndicats ouvriers en mal d’adhérents.                                                                            Pour finir, j'estime qu'ils ont une forte action pénalisante sur notre économie par leurs excès de toutes natures. (Voir mon article du 19 novembre).



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  • Les fonctionnaires, champions nationaux des vacances et des arrêts maladies...

    Grève à la CAF peut-être, en suivant grève à la Sécurité Sociale, (pourquoi pas), ses deux administrations étant débordées par les dossiers des ayants droit.

    Pourquoi ce problème récurrent ?

    Manque de personnel ? Statistiquement nos fonctionnaires sont les plus nombreux de toutes l’Europe

    Trop grande complexité des dossiers ? Sûrement une bonne raison au vu de lashadokisation de nos administrations. ( pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !)

    Incapacité professionnelle du personnel ? Problème interne ! mais quand même les salaires et avantages de la fonction publique devraient permettre une excellente sélection, (voir le nombre impressionnant de concurrents aux divers concours)

    Mauvaise organisation du travail ? Un problème d'encadrement défectueux ? (Mes amis politiques et les amis de mes amis deviendront cadres dans l'administration).

    Trop d'absentéismes ? La fonction publique bat tous les records d’absentéisme pour raisons médicales ... (1) en fin, voir les raisons profondes.

    Trop de vacances ?  28 jours pour les petits patrons et pour les ouvriers dans les petites entreprises, 12 pour l'agriculture 48 pour les fonctionnaires, moyenne nationale … Les fonctionnaires, champions nationaux des vacances (lien)

     

    Pas assez d'heures de travail ? (une bonne piste après la catastrophe des 35 heures  que déjà notre administration ne faisait que très rarement et maintenant encore plus rarement)

     

    (1) Il y a quelques années une personne de ma proche connaissance à fait un stage à la sécurité sociale dans le cadre des emplois aidés …

    Elle venait du privé… Et n'a pas été sélectionnée, elle n'avait pas l’état d'esprit, très important dans l’administration, l’état d'esprit ...

    Premiers jours, premier travail et première surprise, sa supérieure hiérarchique lui dit, il vous faut déposer vos demandes de jours de congé !

    Bien évidemment la charge de travail, lui a paru très faible par rapport à ses habitudes, mais elle s'y est très rapidement habituée et, sans trop de fatigue …

    Puis, pour elle, tout comme pour l’ensemble de ses collègues, la principale activité des longues journées de présence obligatoire a été, la critique hiérarchique, noble sport bureaucratique accompagnant les longues discussions sur les derniers ou prochains footings, match de foot ou de rugby, petit et gros problème de santé et j'en passe.                                            Puis des activités très prenantes de la part des deux sexes, la drague hiérarchique et permanente accompagnant les promenades inutiles dans les couloirs, les stages photocopieuses et machine à café.

    Un ensemble d'activités répétitives très déprimantes, amenant l'ensemble du personnel à la dépression chronique et aux arrêts maladies à répétition...



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  • Notre économie est notée financièrement et moralement, c'est un bien, même si nos politiques n'aiment pas...

    Qu'ils n'aiment pas nos politiques, ils en ont toutes les raisons car en dehors des critiques journalistiques internes et externes faites sur la conduite de notre économie nationale, critiques n'ayant qu'une faible portée sur le réel, nous ne trouvons que des discours d'autosatisfactions.

    Seule les agences de notation financière donc économique, sont à même de mettre à l'heure les pendules de la réalité de nos résultats économiques...

    Une réalité pas toujours facile à assumer pour eux, mais une "vraie" réalité sur nos résultats économiques à l'international, (tous en recul) et donc d'avoir une vision exacte du risque pour les prêteurs de voir la France en défaut de payement, (faillite pour l'entreprise).

    Notre économie, si on la compare aux autres pays, (ce qui est une obligation pour connaître son orientation et sa compétitivité relative), donc la manière dont nous vivrons dans quelques années, (nos futurs revenus et notre futur chômage).

    À ce niveau de comparaison, nous constatons que nos résultats economiques sont totalement négatifs. (Nous sommes en forte régression en rapport des pays dits performants), régression programmée par la faiblesse morale de nos dirigeants.

    Tous, y compris ceux de la droite qui, toujours pour raisons électorales, (tout comme la gauche), ont tendance à faire des politiques gauchisantes, politiques que je dis de clientélisme électoral, ce qui n'a rien à voir avec une politique économique sérieuse.  En aggravation de ce phénomène, le manque de réflexion des électeurs qui eux également ne voient pas plus loin que le bout de leur nez en croyant à toutes les balivernes électorales...

    Des négatifs moraux qui s'ajoutent aux négatifs économiques...

    Les chiffres parlent contre nous et, seuls les chiffres comptent pour nous positionner vis-à-vis de la concurrence internationale. (Si l'on ne veut pas en tenir compte une seule solution, fermer les frontières dans les 4 sens, importations, exportations, sortie des citoyens, entrées des immigrent...).

    La fermeture des frontieres, du déjà vu, encore pratiqué par certains pays avec des résultats bien connus. La pauvreté généralisée, principalement celles des populations de bases, jamais celles des dirigeants qui eux se comportent en Prince, Roi ou Empereur grâce à là toute-puissance des administrations qu'ils mettent en place, ce sans contestation populaire possible.

    La base de gestion des systèmes gauchisants, imposer leur point de vue et leur gestion par une administration toute puissante plus, par la force armée si nécessaire.                                         Ne vous y trompez pas, cela reste le rêve des Mélanchons et divers écologistes...

    Je sais de quoi je parle, j'ai vécu près de 20 ans dans les ex-pays de l'Est et j'ai pu voir de près les réalités de la gestion communiste ou pour nous de Gauche. (Les bases du rêve idéaliste de notre extrême gauche dite plurielle, compris les écologistes).

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  • UMP catastrophe électorale, des politiques trop politiciens ou politicards, au choix, et surtout trop pressés de se déclarer vainqueur, la place doit être Bonne !

    Pas beaucoup plus sérieux que notre gauche élue sur des promesses intenables.

    L'Europe a des soucis à se faire avec des hommes politiques du niveau français, comme un petit goût de Grèce, "ma carrière et mon salaire abord". La France et les Français, s'il me reste un peu de temps...

    Le principal oubli de nos "médiocres" politiciens, ce sont les Français ceux qui paient et, les impôts et, les pots cassés d'une économie en pleine déliquescence de par leur incapacité politique à gérer autre chose que leur carrière. (Et encore mal...)

    (Médiocre, ni leur salaire, ni ceux de leurs amis, juste leur carrière et leur état d'esprit à tous, gauche et droite comprise).

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  • Deux "entités politiques"  françaises alliées à nos syndicats fonctionnarisés (syndicats qui ne vivent que de subventions publiques) et qui nient les réalités et les nécessités de l’économie française, s'ils le pouvaient de l’économie mondiale.

    Deux mouvements profondément gauchisants qui tout comme le communisme à son époque de "gloire imposé" a nié toutes les catastrophes dues à sa gestion, ce même devant leurs évidentes réalités.

    (Et, ce que je considère comme incompréhensible continue toujours à nous les proposer, même s'ils le pouvaient encore, de force.)

    Écologie, pourtant notre pays pour assurer son bon fonctionnement économique a besoin d’énergies bon marché en attendant un réel développement des énergies renouvelables (énergies renouvelables qui encore ne fonctionne que grâce aux subventions, "nos impôts et taxes", un non-sens économique même si je le considère utile pour l'avenir)

    Anti-austérité, en plus modeste, mais qui tout comme les écologistes comme seule vision économique, faire payer les autres pour entretenir leurs «douces illusions ». (Et quand même prêt à les imposer par la force, ces «douces illusions»)...

    Sur le fond, une fois qu'ils auront épuisé le capital existant, ou l'avoir fait fuir par abus de ponctionnements, que les préteurs « externes » ne voudront plus prêter, ce qui peut arrive très rapidement...

    Que leur restera-t-il a nos géniaux écologistes, braves manifestants anti-austérité et syndicalistes bornés pour financer leurs généreuses idées?

    Juste une régression générale du niveaux de vie et la fermeture des frontières pour que les populations ne partent pas chercher une meilleure vie ailleurs...

     

    Soit la réinvention de l'URSS... Avec l'écologie en plus.

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