• Messieurs de la CGT et autres syndicats jusqu'au-boutistes,

    Savez-vous, que le seul moyen de maintenir les emplois dans les entreprises déficitaires, c'est de les subventionner avec nos impôts …

    Savez-vous que les avantages obtenus par les grèves nationales paralysantes, sont toujours payable ou, par une hausse générale de nos impôts ou, par l'augmentation de l’endettement du pays.

    Ou, faites vous semblant de ne pas savoir pour conserver vos avantages particuliers

    Vos adhérents et sympathisants, sont -ils prêts à accepter ces réalités .

     

    Autres ,

    Connaissez-vous le coût pour le pays, d'une grève dans les transports ou chez les producteurs d’énergies nationaux ?

    Et sur le fond, qui va payer ces coûts :

    Pas les fonctionnaires ou assimilés, leurs emplois et salaires sont garantis et, le plus souvent, ils bénéficient indirectement de ses avantages sociaux que je qualifierais d’illégaux ...

    Reste pour payer, juste le privé, Salariés et Patrons, les uns par perte de salaire directe, (impossibilité de travailler). Et, quelques fois d'emplois, (chômage par disparition des entreprises employeuses fragilisées par manque de production).

    Une grève des transports publics tout comme les grèves EDF, GDF, Postes Etc., sont donc des grèves fortement créatrices de chômage.

    Ce qui fait que, pour éviter ou limiter ces grèves paralysantes, les divers gouvernements ont étés obligés d'accepter les demandes d'avantages particuliers, de ces catégories sociaux professionnelles toutes puissantes de par leur effet de nuisances économiques, (salaires, retraites, temps de travail, primes, Etc).

    Ce toujours au détriment des entreprises et salariés du privé ainsi, qu'au grand avantage du chômage.

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    De « hope for Francele 20/10/2012 à 18:34 »

     

    Les réformes de structure "à la française", ou la catastrophe assurée...

    Moscovici à déclaré que la France engageait des réformes de structure "à la française", qui sont "historiques". 
    En fait, il a voulu dire des réformes "à la socialiste", soit 99% d'impôts et charges et 1% (non détaillé) d'économies dans les dépenses.

    Ce que nous explique Moscovici, c'est que faire des réformes de structure, pour un socialiste français, c'est ne pas en faire, comme pour n'importe quel allemand, n'importe quel espagnol, n'importe quel anglais, n'importe quel grec, n'importe quel portugais, n'importe quel italien, de droite ou de gauche !

    Car, dans le socialisme français, la réforme, c'est l'amplification de nos faiblesses et de nos maux, parfaitement identifiés par la Cour des Comptes, à savoir l'excès de dépenses et de charges et impôts, qui ruinent la compétitivité de l'économie. 
    Bref, le monde entier a tort, toute l'Europe a tort, la Cour des Comptes a tort, Louis Gallois a tort, car la réforme "historique" et "de structure", c'est de faire plus de socialisme, dans une économie qui est déjà bien plus socialiste que celle de ses voisins et l'inverse de tous nos voisins.

    Bref, la réforme socialiste, c'est accélérer, quand on va dans le mur. Quelle catastrophe pour ce beau pays, d'avoir tant de nuls à sa tête ! 
    Voilà ce que c'est d'avoir laissé l’Éducation et les médias aux mains de l'idéologie et la propagande socialiste, depuis des décennies, que d'avoir confié tous les pouvoirs à des technocrates et des administrations, qui ne comprennent rien à l'économie.

    Voilà ce que c'est de croire que l'Etat peut décider et changer tout et croire que l'on va créer des richesses, en ne cessant de vouloir les partager... Nous allons hélas à la catastrophe.

     

     

    La Banque publique d'investissement, "pas pour aider les canards boiteux" (J-P Jouyet) …

     

    Rapport Gallois : "Hollande pris à son propre piège", selon Copé ...

    Deux titres de presse voulant bien dire ce qu'ils veulent dire, ces deux personnalités très lies de par leur fonction à l’économie réel, bien que de gauche, se font rabrouer par les tenants d'une politique économique gouvernementale des plus stupides.

     

    Ce que les socialistes et en règle générale les politiques et syndicalistes de gauche n’ont pas compris: Les rapports pouvant exister entre, la durée et le coût réel du travail, la sur taxation des entreprises et le prix de revient des produits ou services.

    Donc le rapport entre la compétitivité des dites entreprises, leur possibilité de vendre et le chômage...

    Ce qui fait que plus le fonctionnement de l’état coûte cher (Impôts et prélèvements divers), plus nos politiques devront taxer l’ensemble de l’économie, donc augmenter le chômage.

     

    Pourtant, Basique comme raisonnement...

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Scène pénible de stupidité, celle de ce cadre «supérieur» qui s'en prend violemment à une petite employée de l'administration.

    Je n'entrerais pas dans les détails, mais j’espère qu'il sera identifié et sanctionné à hauteur de sa faute, ce en rapport de ses responsabilités professionnelles.

    Maintenant, qu'elles sont les raisons profondes de cette colère contre la SNCF et en règle générale contre tout ce qui est fonction publique.

    Peut-être, comme beaucoup de salariés du privé, le raz le bol des avantages que la fonction publique et ses assimilés se sont octroyés au fil du temps et de la crainte de leurs actions bloquantes pour obtenir ses avantages. (Sans parler de clientélisme électorale)

     

    Avantages généraux, tous pris aux désavantages des salariés du privé par les impôts et taxes subis tant par les entreprises que par leurs salariés (faillites et chômage).

    Avantage prit sur les retraités par les régimes particulièrement avantageux des retraites de ses catégories sociaux-professionnelles. Également financés en grandes parties par les régimes généraux de retraite des salariés du privé et nos impôts.


    Pour ma part, ce que je demande en premier à ce gouvernement, c'est de rétablir l’équilibre entre les diverses catégories sociales professionnelles, (Avantages divers et retraites).

    Juste un problème de «Justice» sociale, Justice sociale tant mise en avant par une gauche qui avait «oubliée» que ses principaux électeurs en étaient les principaux bénéficiaires...

    Les électeurs de la gauche «Bobo» l'avait également oubliés...

    Et surtout, le nombre pléthorique et indécent des fonctionnaires de tous bords qui pénalisent au plus haut point notre économie.

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • Pourquoi les Français ont votés Hollande et pourquoi notre système étatique va se mordre la queue ?

    « Je parle toujours de fonction publique et assimilée. Pour moi, cela représente les fonctionnaires d'État, les membres des grands organismes (Sécurité sociale, CAF, Enseignement, Etc.), les politiques, presque tous issus de la fonction publique et bénéficiant à vie de ses avantages financiers, (et toujours prêt à y revenir au premier revers électoral), les syndicalistes (financés par nos impôts), plus la SNCF, EDF, GDF, Etc.( Soit, tous les bénéficiaires de retraite ou tout autres avantages financiers obtenus par leurs grèves bloquantes, et non par la rentabilité de leur travail) »

    Bien sur, l’ensemble de la fonction publique, assimilés et leurs familles, ce par intérêt financier ont votés Hollande, (sa majorité de base).

    Plus ceux qui ne pouvaient plus supporter le bling-bling et la « grande gueule » de Sarkozy. (Quelques % de l'électorat de base de droite).

    De toute façon Sarkozy n'a pas fait grand-chose pour résoudre le principal problème de la France, soit de réduire le train de vie de l’État français. Même s'il l'avait voulu, les cris d'orfraies de la gauche et la résistance d'une fonction publique ultra puissante et de gauche, aurait bloqué toutes initiatives sérieuses de réduction de cette puissance publique par la droite.

    Monsieur Hollande de par son électorat, ne pourra rien faire dans le bon sens des réductions des déficits d’état. Sauf à faire payer plus d’impôts au Français, à tous. Avec quand même les xxx problèmes liés à cette méthode. ( Ou, de se mettre son électorat à dos)

    S'il ne résout pas le problème des déficits de l’état, il devra en permanence augmenter les impôts de la classe moyenne y compris ceux des faibles revenus.

    Dans la réalité, il ne pourra jamais réellement faire payer les riches sans toucher à l'investissement productif. (Sans parler de leur fuite et de la fuite de tous ceux ayant des idées pouvant les rendre riches et donc de devenir des créateurs d'emplois)

    Il ne lui restera pour payer le gros de ses impôts, que la classe moyenne. Les artisans, commerçants et petits industriels dont la profession est trop lies à la consommation française pour fuir le pays et ses taxations, (ceux ci ayant quand même et toujours la possibilité de fraude fiscale pour éviter les surimpositions).  

    Les fonctionnaires et assimilés qui représentent une grande partie de la classe moyenne. (sans aucun moyens de fraude fiscale autres que celle de ses avantages particuliers, avantages payer par l’impôt de tous, (les siens, ceux de la classe ouvrières du privé et ses cadres, (ce qu'il en restera), les retraités.

    La boucle et bouclé, la fonction publique et les assimilés, tout comme le serpent se mordent la queue.

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  • J’entends toujours les socialistes parler de justice sociale...

    Nos bobos fonctionnarisés, ont-ils vraiment une idée de ce qu'est la justice sociale...

     

    Je me pose sérieusement la question?

    Bien sûr l’impôt peut être facteur de justice sociale par répartition de la richesse. Reste sa limite confiscatoire là, il devient injustice.

    Principalement quand cet impôt dit confiscatoire, sert presque uniquement au bénéfice d'une classe sociale, la classe dite «gouvernementale», fonction publique et assimilées, politiques de tous bords, syndicalistes, (si je dis syndicaliste, c'est qu'en France ils ne sont pas rémunérés par leurs adhérents, donc en rapport de leurs actions, mais par l’État, donc tout simplement des fonctionnaires à vie, tout comme nos politiques, presque tous issus de la fonction publique et destinés à y revenir au premier problème électoral).

    Un ensemble de citoyens dont les mots, Emplois, Travail, Justice sociale, Retraite, n’ont pas la même valeur que pour le commun des mortels.

    Cela s’appelle justice sociale à sens unique, sur la base du célèbre proverbe, «charité bien ordonnée commence par soi-même».

    D’où trois problèmes :

     

    Un problème économique insoluble, nos impôts étant payés en partie à fonds perdus... (Pas pour tout le monde).

    Un problème de morale publique, qui fait que les principaux bénéficiaires de cette injustice sociale, critique les entreprises payeuses et ceux qui veulent échapper à leurs abus fiscaux. Cela, tout en appauvrissant dangereusement le secteur productif payeur.

    La chute vertigineuse de la cote de nos élus... «Phénomène nouveau selon l'institut, «un très fort mécontentement» s'observe désormais chez les cadres (56%s d'entre eux) et les ouvriers (57%) à l'égard du président de la République»

    Plus, certains syndicats qui enfoncent le clou en laissant supposer à la classe ouvrière, (également payeuse) quelle est victime de patrons voleurs et abuseurs. (Quand même, plus de 56% de notre économie est "confisquée" pour le fonctionnement de l’état, un des records mondiaux)

    Partager via Gmail

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique