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Finances régionales : pas qu'en Poitou- Charentes
29/02/2016 05:21Il n'y a pas que dans l'ex-Poitou-Charentes que les finances régionales ont suscité une polémique.
On se rappelle en effet que la semaine dernière, Alain Rousset, "un socialiste" président de la nouvelle grande région Aquitaine Limousin Poitou-Charentes, avait porté une attaque contre Jean-François Macaire, président de feu Poitou-Charentes, l'accusant d'avoir cautionné environ 132 M€ d'impayés (NR des 22 et 23 février).
Chez nos voisins des Pays de la Loire aussi les finances posent question. Le nouveau président Bruno Retailleau (Les Républicains) accuse l'ancienne équipe dirigeante socialiste d'avoir caché une dette de 485 M€ dans le cadre « d'engagements de programmes qui n'ont jamais été votés. Cela pose un problème de sincérité des comptes ». Des attaques réfutées par l'ancienne équipe dirigeante.
Ou, nos roitelets régionaux devenus "rois" de la république...
Quand on sait avec quelles négligences et légèretés, certains élus, (majoritairement socialistes), traitent "l'argent" du contribuable, soit votre argent ...
Avec, en première raison, leurs propres ambitions électorales et honorifiques...
Leurs rêve de gloire populaire...
(De la pure corruption électorale et, avec l'argent du contribuable)...
Avec Hollande ex-président sortant d'une Corrèze surendettée et celle des lubies industrielles de son "ex-dulcinée" dans le Poitou Charente...
Combien, pour ces deux presidents de region et leurs amis de gauche de milliards de dettes.
Notre gauche de bobos et autres bisous nounours, tout un panel de braves gens, "je n'en doute pas", mais incapable, malgré ou, pour cause de hautes études "incomprises" ou, qui leurs sont monté à la tête...
Donc, je redis et pour moi, (j'en ai bien connus de ces généreux gauchisants).
Presque tous, à l'origine, de braves gens, devenues incapables d'avoir la moindre "réflexion" ou le moindre raisonnement "normal", sur l'utilisation de l'argent du contribuable.
Autrement qu'en le dilapidant pour leurs utopies socialisantes.
Argent, que souvent, ils finissent dans leurs grands "rêves de gloire populaire sociales", à le considérer comme le leur.
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Réforme du code du travail : les syndicats préparent la riposte
Le Parisien PHOTO D'ILLUSTRATION. La réunion des syndicats ce mardi a lieu à l'initiative de la CGT et de son secrétaire général Philippe Martinez. (AFP/JACQUES DEMARTHON). Le front s'organise. Ce mardi en fin de journée, les principaux syndicats se réunissent ...
C'est normal, ils perdraient leurs raisons d'être...
Un salarié qui travaille et gagne correctement sa vie ne se syndique pas et ne vote pas à gauche...
Sauf pour ceux qui vivent des générosités de l'État socialiste. (Soit, de nos impôts, taxes et charges sociales les plus élevées du monde).
Demandez aux "centaines de milles" de permanents syndicaux du secteur public, ce qu'ils en pensent ???
À tous ceux simples salariés ou cadres dépendant des secteurs publics, administrations publiques et semis publics, employés des sociétés à monopole d'État...
Demandez leurs, s'ils veulent revenir "ramer" dans le secteur privé???
Pourtant, c'est bien le secteur privé qui assure leurs surnombres, salaires et avantages sociaux...
N'oubliez jamais que s'il y a grève, ce sont toujours eux qui mènent la danse, pratiquement pas de risque de perte d'emplois, pas de risque de faillite de leur employeur, c'est toujours le contribuable qui paye...
De plus la grande majorité des avantages obtenus vont en premier à eux... (Seul l'état en prélevant de nouvelles taxes et impôts peut satisfaire leurs demandes sans risque de faillite.)
Enfin peut-être, et probablement pas pour longtemps, car de plus en plus l'État français, quoiqu'il soit le plus grand préleveur de taxes, impôts et charges sociales du monde, (sans parlers des emprunts d'État).
Nous ne sommes pas loin de la situation de la Grèce...
Notre état par ces largesses, (principalement pour raisons électorales), est au bord du gouffre financier.
Il ne maîtrise plu notre économie, et donc pas plus notre chômage.
(l'emploi et la richesse d'un pays dépendant à 100% d'une bonne économie privée).
L'Express - Le texte présenté par la ministre du Travail Myriam El Khomri propose une nouvelle définition du licenciement économique, qui suscite de nombreuses interrogations. REUTERS/ Charles Platiau ...
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Juste ce que le prochain gouvernement devra éviter pour que la France ne rejoigne pas "directement" la Grèce dans son naufrage économique.
Et ce, en plus d'une vision "purement raciste" en "exagération" des risques de l'immigration et de l'islamisation de la France...
A les entendre la France et le catholicisme vont, dans très peu de temps, disparaître sous l'assaut des islamistes...
Ils en tremblent dans leurs culottes nos bons français dits, de souche...
Le danger pour le FN a un nom : Florian Philippot
METAMAG - La raison majeure pour laquelle le FN, en dépit de ses scores électoraux, se heurte à un ”plafond de verre” qui l'empêche d'être majoritaire, c'est son programme économique étatiste, socialisant et rétrograde, ainsi que ses positions irréfléchies sur l ...
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Ils sont formidables nos services publics...
Chez nous, le salarié passe avant l'utilisateur...
Pas grave, c'est ce salaud de contribuable qui paye le "mauvais" service.
Tant qu'à l'utilisateur, également contribuable, qu'il ferme sa gueule,
ce n'est quand même pas lui qui va commander.
Nous syndicalistes, "on" lui demande juste de payer...
6 000 jours de classe non assurés
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Climat : Ségolène Royal devient présidente de la COP21
La ministre de l'environnement, Ségolène Royal, remplacera Laurent Fabius à la présidence de la COP21. THOMAS SAMSON / AFP. Ségolène Royal a annoncé, mercredi 17 février, qu'elle allait prendre la présidence de la COP21 jusqu'au passage de ...
Et prête à toutes les bassesses pour obtenir quelques pouvoirs...Le bon-sens féminin allié à celui de la gauche, y a pas à dire, cela culmine avec cette Nana et son ex fiancé...
Soit, le pouvoir en famille!!!
Heureusement pour nous qu'elle n'a pas obtenu le Quai d'Orsay, sinon aujourd'hui, la Troisième guerre mondiale aurait commencé.
L'ex fiancé de Madame Royale
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