• Nos gouvernants, roulés par Mittal !!!

    Peut-être …

    Nos dits gouvernants n'ayant aucune expérience des nécessités de fonctionnement d'une entreprise internationale, pas même l'expérience d'une entreprise Française, (soit pour les deux faire des bénéfices).

    À mon avis, face aux réalités de fonctionnement de Mittal, ils n'ont pas eu le choix.

    Ou Mittal quittait la France + 20.000 chômeurs ! (Pour Mittal, la France ne représente qu'environ 6% de son chiffre d'affaires et je crois avoir vu, moins de 1% de ses bénéfices)

    Ou ils acceptaient toutes les conditions de Mittal … (un Mittal très remonté contre un gouvernement l'ayant insulté et menacé).

    De plus la France, par ses taxations sur les entreprises et son code du travail est de moins en moins commercialement et industriellement intéressante... (Voir qui est responsable de cette situation, les patrons, les syndicats, ou nos divers gouvernements ? )



    Nationaliser ne réglait aucun des problèmes de fond de la sidérurgie Française. (Recul de la consommation, coût de fonctionnement trop élevé).



    Cette nationalisation n'aurait fait que reporter les problèmes de Mittal et de la sidérurgie sur nos impôts.

     

    En illustration,

     

    Matignon recevra les syndicalistes "trahis" de Florange  

    La Tribune.fr-il y a 1 heure
    Il avait déclaré aux Echos « ne plus vouloir de Mittal en France ». L'accord annoncé vendredi soir dernier par Jean-Marc Ayrault a été perçu ...
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  • Au lieu de broyer du noir avec une gauche ne sachant plus trop bien dans quelle direction elle va, une UMP par bien plus en avant, sans parler de la météo un peu comme nos politiques, déréglé ...

    Pensez à vos futures vacances d’été !

    Pour occuper ma retraite, 3 petites vidéos sur ma région ...

    https://www.youtube.com/watch?v=6lwZIWGiQWw 

    http://www.youtube.com/watch?v=PjZjYLC-DLo 

    www.youtube.com/watch?v=3loL6EFSrKU 



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  • Madame Duflot a totalement oublié le combat de l'abbé pierre contre les divers gouvernements pour essayer d'obtenir la mise à disposition ou la construction de logements sociaux. De l’existence bien réel de ceux mis à disposition par les compagnons d'émmaüs, ceux mis à disposition par le secours catholique. Sans parler, des Protestants, des Musulmans et autres entités religieuses agissant contre la pauvreté.

    Que notre gouvernement, nos partis politiques, nos syndicats, en fassent autant et le problème serait en passe d’être résolu ...

     Mais non, ils préfèrent créer des commissions contre la pauvreté, commissions avec confortables salaires et lieux de réunion non moins confortables pour leurs amis politiques...



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  • Dit par monsieur Ayrault ,

    «Nous devons donner à nos entreprises qui manquent d'air des marges de manœuvre nouvelles, qu'elles ont perdues, pour investir, innover, créer de l'emploi. C'est ça la priorité de la France aujourd'hui, a renchéri Jean-Marc Ayrault devant les députés hier après-midi. C'est pour cela que le gouvernement a décidé d'aller plus vite encore.»

    Voilà qui est bien dit mais pas tout à fait dans la ligne politique qui a fait élire la gauche...

    Peu importe, seul le résultat compte,

    L'entreprise privée étant le seul système connu à ce jour capable de résorber le chômage par sa productivité et, en gardant les libertés de chacun.

    La surtaxer pour payer des emplois inutiles et des privilèges corporatifs d’état, c'est ouvrir la porte au chômage généralisé.

    À force de taper sur la poule aux œufs d'or, nous y sommes, trop d'emplois et de privilèges d’État payer par le privé,( et par l'emprunt).

    D’où, notre hausse du chômage...

     

    Mais les députés de gauche pensent...

    Pris sur La Tribune : http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20121203trib000734956/les-deputes-ps-votent-l-amendement-le-plus-cher-de-la-cinquieme-republique.html 

    Les députés PS devraient voter ce mardi ou mercredi le Crédit d'impôt compétitivité, avec réticence. Un dispositif essentiel du plan compétitivité, qui, malgré son ampleur -20 milliards- est soumis aux parlementaires par voie d'amendement gouvernemental.

    Nos socialistes, toujours pas convaincu que l’emploi dépend de la bonne santé des entreprises et non du nombre de fonctionnaires ...

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  • Quoi qu'en disent nos syndicalistes politisés et divers hommes politiques de gauche.

    Un employeur, n’emploie que par nécessité. Et donc, il ne licencie que par obligation.

    Cette nécessité d'empoi se termine lorsque le produit à fabriquer ne trouve plus de client, les raisons pouvant en être multiples.

    - Produit n'ayant plus aucune utilité ou disparition des clients

    - Produit de mauvaise qualité

    - Produit trop cher

    De cela, ont peut sans être très intelligent, en déduire que c'est l'acheteur ou l'utilisateur du produit qui fait l'emploi...

    Donc soutenir le contraire ou, vouloir maintenir l'emploi inutile, ne relève que de l'utopie ou du bourrage de crane.

    Les deux, en cas de nationalisation étant payé par nos impôts...

    Ou, par la disparition de l'entreprise par faillite, donc par moins d'emploi...

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