•  

     

    Comment les croire, tout prouve le contraire, même si certains ont de petits salaires... ( Problème de surnombre et de budget non extensible à l'infini, nos impôts et notre dette nationale)

     

    Ils ont tous, tout le reste...  Presque aucun risque de perte d'emploi, même pour les plus nuls, peut d'heures de travail, surnombre, retraites et autres avantages sociaux.

     

     Ils nous disent qu'ils n'ont pas plus de droit que les autres ??? Comment les croire, tout proUve le contraire

     

     

     

    Une seule ombre à leur bonheur de salarier d'Etat, les pressions d'une hiérarchique souvent constituée de "sots" mais bons  "lécheurs de culs ou introduits politiques" et, le peu de chance d'évolutions professionnelles, (due, principalement à leur surnombre et, ou, à la bonne adhésion syndicale).

    En aggravant pour eux, ils cherchent à nous cacher les réalités de leurs statuts très particuliers de salarié dépendant de l'Etat, donc de nos impôts et taxes. (un peu comme les nobles de l'ancien régime).

     

     

     Ils nous disent qu'ils n'ont pas plus de droit que les autres ??? Comment les croire, tout proUve le contraire

     

     

    Et Hollande, "leur président", il lui reste encore de 15 à 20 % de fidèles, comme par hasard cela correspond au nombre de ceux dont les salaires dépendent des finances publiques, (soit nos Impôts, taxes et autres emprunts d'Etat)...

     

    Et là, dans sa frénésie électorale notre fonctionnaire en chef, "leur "président irresponsable en rajoute encore une couche...

     

    Apres moi, la fin du monde...

     

     

     Ils nous disent qu'ils n'ont pas plus de droit que les autres ??? Comment les croire, tout proUve le contraire

     

    Reste juste à savoir qui va payer l'adition???

     

     

     Ils nous disent qu'ils n'ont pas plus de droit que les autres ??? Comment les croire, tout proUve le contraire

     

     

    Fonctionnariat est entreprises à monopoles d'État ou, l'irresponsabilité, la désorganisation et la fainéantise organisée, de 20 % de la population française domine, (le tout fonctionnant sous base de recrutement électoral socialiste et de soutien syndical irresponsable). 

     

    Une population sans risque de perte d'emploi, en surnombre, et bénéficiant d'avantages sociaux, (dont les bases d'attribution sont avant tout, la corruption électorale), le tout, sciemment entretenues par les mairies et gouvernements de gauche ce, au détriment de 80 % des autres Français) et, protégées par notre système syndical, lui aussi, totalement politisé à gauche et fonctionnant sur le système mafieux du communisme.

    Syndicats politisés qui de plus y trouvent une partie non négligeable de leurs permanents, (ceux qui sont payés par nos impôts et qui par leurs grèves bloquantes détruisent nos services publics ce, sans aucune vergogne et sans aucun risque pour eux-mêmes c'est le contribuable qui paye).

    Nous les retrouvons également dans tous les services à monopole d'État, géré en sous main par la CGT ou FO...

     

     Ils nous disent qu'ils n'ont pas plus de droit que les autres ??? Comment les croire, tout proUve le contraire

    Le parfait modèle de hiérarchisation dans nos fonctions publiques et entreprises d'Etat... 

    d'où, le manque permanent d'executants

    Des gens élus ou non, simples employés ou cadres, sans aucun respect de l'électeur et du contribuable lambda, ni même, du consommateur payant. Un système mafieux, (comme tous les systèmes, se revendiquant du communisme ou de l'extrême droite),

     

    A éliminer de France, le plus rapidement possible...

     

     Ils nous disent qu'ils n'ont pas plus de droit que les autres ??? Comment les croire, tout proUve le contraire

     

    Il est impératif que les droits sociaux soient les mêmes pour tous les Français et ce, en rapport de la richesse de la nation et non des fantaisies électorales de nos dirigeants ou des lubies de nos syndicats.

     

     

    http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-nouailhac/nouailhac-cette-etrange-maladie-des-fonctionnaires-19-08-2016-2062317_2428.php?M_BT=250109414953&m_i=WXNW3tgetlDodsU4Ht6JUXRHBF2LmlW0PoW2o8hWvTYQtmDcZWHFHi4crla3IQFOo2fhHAjtk8BDo5_8z9IWZZqLDZizWb#xtor=EPR-6-[Newsletter-Mi-journee]-20160819

     

     Ils nous disent qu'ils n'ont pas plus de droit que les autres ??? Comment les croire, tout proUve le contraire

    Reunion de permanents syndicaux, (sélection des plus braillards)

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  • La vie est de plus en plus chère pour les étudiants et tous les autres  - ‎La rentrée 2016 s'annonce particulièrement difficile du fait de l'augmentation des loyers dans plusieurs villes universitaires et du coût des transports qui augmente, souligne le syndicat étudiant Unef dans une étude. Loyers trop élevés, transports ... Bordeaux : trop cher pour les étudiants Francetv info Le coût de la vie des étudiants continue de grimperEurope1

     

     

     

    En France, pour rester dans la logique de la hausse des prix à la consommation, il va falloir indexer les salaires sur les hausses annuelles d'impôts, de taxations et de charges sociales...

     

     

     France, la vie chére...

      

     Seul moyens pour nos salariés de ne pas voir leur pouvoir d'achat baisser... 

     

     

     

     A savoir, nos prix à la consommation augmentent plus vite du fait de notre système fiscale et sociale (s.s), que de celui des prix  de fabrication ou, que de ceux de la main d'oeuvre productive.  

     

     

    La vie chere...

     

    La vie chere...

     

    La vie chere...

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  • http://www.contrepoints.org/2016/08/14/263002-penurie-alimentaire-venezuela-regime-socialiste?utm_source=Newsletter+Contrepoints&utm_campaign=7efdd8c171-Newsletter_auto_Mailchimp&utm_medium=email&utm_term=0_865f2d37b0-7efdd8c171-101125109&mc_cid=7efdd8c171&mc_eid=b3060f7cfc

     

    Certaines préoccupations peuvent raisonnablement être considérées comme des « problèmes de riche ». La mobilisation contre l’obésité ou pour les droits des animaux en font partie ; s’ils deviennent des sujets de société dans un pays donné, c’est que la plupart de ses habitants ne s’y inquiètent pas d’avoir un toit et de quoi manger (ou qu’ils ont un drôle de sens des priorités).

    Les Vénézuéliens n’étaient peut-être pas si loin d’avoir ces problèmes. Mais aujourd’hui, l’obésité et les droits des animaux provoqueraient chez eux un rire nerveux : pour survivre, ils sont réduits à chasser les chiens, chats et pigeons dans la rue, et jusqu’aux animaux rares des zoos. Si ce ne sont pas des gens affamés qui les tuent, ces animaux succomberont eux-mêmes à la faim.

    Partout, les gens font la queue devant des supermarchés désespérément vides : plus de papier toilette, plus de bière, plus de lait, et maintenant plus rien à manger. Les médecins pleurent le manque de médicaments et de matériel médical ; la visite d’un hôpital local est une plongée dans le 19ème siècle. 

    Les pénuries s’étendent à l’électricité et au carburant, dans le pays qui dispose des plus grandes réserves mondiales de pétrole.

     

    Comment en est-on arrivé là ?

    Vous n’avez pas raté la nouvelle d’un tsunami, d’un ouragan ou d’un tremblement de terre. Le cataclysme qui s’est abattu sur le Venezuela n’a rien de naturel : c’est un cataclysme humain. Sur tous les plans.

    Face aux pénuries, le gouvernement a récemment poussé un peu plus loin l’abolition de la liberté en décrétant le travail forcé aux champs, pour des périodes allant de 6 mois à un an, dans une tentative désespérée de sauver la situation et sa peau.

    Le Venezuela d’aujourd’hui a de quoi rappeler les pires heures de l’URSS. Il vit la version moderne des lendemains qui chantent : le socialisme du 21ème siècle. Et comme au 20ème siècle, beaucoup ont initialement applaudi son avènement et salué les responsables.

     

    Que pensent Jean-Luc Mélenchon, et les autres partisans de Chavez puis Maduro, de la misère qui se généralise au Venezuela ? Des pénuries ? De la réintroduction de l’esclavage dans ce qu’ils espéraient voir devenir un paradis socialiste ?

    On pouvait encore comprendre hier l’aveuglement qui les aurait poussés à trouver des excuses au régime. Qui a besoin de plus de temps. Qui a trop d’ennemis, à l’étranger, dans le pays et jusqu’à l’appareil du pouvoir. Qui est confronté à des profiteurs qui détournent ses efforts et alimentent le marché noir.

    Mais rien dans le « rêve socialiste » [sic] ne peut justifier de réduire la population au travail forcé. L’esclavage réel vaut-il mieux qu’une subjective exploitation ?

     

    Votez communiste ou Mélanchon...

     La France des pénuries...

     

    Pour ma part j'ai des amis qui se sont vue forcer de quitter le Venezuela, "pay riche et prosper", qui les avaient attirés, déçus du mitterrandisme qu'ils étaient, autre forme de socialisme...

    Ils en sont repartis, le pays, avec l'arrivée de Chavez devenait de plus en plus violent, l'état de pénuries commençait déjà à poindre, les productions agricoles et pétrolières s'effondraient... 

    Les propriétaires agricoles, chassés de leur terre pour la donner aux ouvrier, tracteur neuf en prime ???

    Idem pour le pétrole, la direction des productions  et les postes de responsabilités confiées à des ouvriers, bons communistes ou, bons Chavistes???.


    En savoir plus sur http://www.contrepoints.org/2016/08/14/263002-penurie-alimentaire-venezuela-regime-socialiste#BmBvVHifpHqqfoEc.99

     

    Votez communiste ou Mélanchon...

    La gauche caviar, modèle français...

     

    Votez communiste ou Mélanchon...

     

    Le chavisme, l'avenir de la France vue par notre CGT

     

     

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    La France deviendra t'elle communiste ???

     

    J'en doute fort, nous nous trouvons déjà, par l’arrivée au pouvoir de Hollande, (technocrate fonctionnarisé dans l’âme), dans un rejet massif du simple socialisme et recul évident de notre économie par abus de taxation.

     

    Avec les abus de pouvoir de nos syndicats politisés à l’extrême gauche, (grèves bloquantes et médiocrité de tous les services dépendant des monopoles de notre l’État, pourtant les plus coûteux au monde), nous avons déjà une vision assez clair de ce que pourrait être un communisme à la française...

     

    La mort de la gauche...

     

    Soit, comme toutes les autres formes de communisme, en premier, violence pour nous imposer leurs idées puis, par destruction de tout droit à la critique, mainmise de l’état sur toutes les activités.

    En suivant, pénuries généralisées par irresponsabilité des acteurs économiques devenus tous fonctionnaires et donc irresponsables...

    De là dégradation générale du niveau de vie.   (le jour ou les communistes géreront le Sahara, il y aura pénurie de sable).

     

    À ce jour, pas un pays se réclamant du communisme ou du socialisme à l’extrême n'a échappé à ces règles de violence politique de médiocrité des structures et d’appauvrissement des populations.

     

    Par ailleurs, si l'on écoute les divagations politiques et électorales du FN, nous y retrouvons les mêmes bases de violence politique et de mainmise de l’état sur les structures du pays, violences racistes en plus...

     

    La mort de la gauche...

     

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  • Combien de milliards de gaspillages et de subventions coûtent aux contribuables français la gestion syndicale, principalement celle du personnel, (modèle Cégétiste), de nos entreprises et administrations à monopole d'État...

     

    Combien d'emplois privés perdus pour payer ces environs 7 millions de privilégies de l'état...

    1/3 étant probablement totalement inutiles.

     

    EDF, SNCF, Éducation Nationale, Sécurité Sociale, Caisse maladie, CAF, pour les plus connus...

    + nos caisses de retraite et administrations publiques...

     

     

    Toutes reconnus comme les plus couteuses du monde et classées par l'OCDE, comme médiocre dans leurs "services" et résultats.

     

    Nos impôts, nos administrations et nos médiocres entreprises à monopole d'etat ???

     Faux "travailleurs", mais vrais permanents "fonctionnarisés" de la CGT.

     Voila ceux qui dirigent la France à coups de grèves bloquantes.

     

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