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Par alain la raison le 1 Août 2016 à 17:13
L'Obs - Paris (AFP) - Le trafic aérien devrait quasiment revenir à la normale mardi au 7e et dernier jour de la grève des hôtesses et stewards d'Air France, dont le coût devrait se chiffrer en "dizaines de millions d'euros", selon le PDG de la compagnie. Les ...Idem pour la SNCF...
À la fin, ce sera le contribuable Français qui va payer l'addition...
C'est juste ce que nos syndicats veulent...
Peut-être restera-t-il à Air France le transport des terroristes islamistes financé par nos impôts.
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Par alain la raison le 29 Juillet 2016 à 16:51
18 pays visités...
N'en déplaisent au FN, aucun contrôle de polices aucun immigré de croisés...
N'en déplaisent à la CGT, aucune grève, moins de fonctionnaires mais plus de compétences et des gens qui travaillent "avec le sourire et sérieux" le plus souvent, 40 heures par semaine...
La misère en Pologne...
Ils s'enrichissent tous pendant que nous, économiquement, nous reculons...
Plus, un president et un gouvernement qui passe partout pour une formidable équipe de "branquignoles"...
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Par alain la raison le 28 Juin 2016 à 14:06
Le peuple anglais à écouté "les sirènes de la belle parole" pour la séparation avec l'Europe, bientôt, il va en connaître le coût...
"c'est son choix, donc son problème à 51 %"...
Mais, après l'euphorie du premier jour, j'ai comme l'impression que devant "les réalités les plus concrètes du problème", ces 51% commencent à y réfléchir sérieusement...
Les dures réalités remplaçant les beaux discours. Et, que ceux qui lui ont fait voter contre, sont en train de raser les murs...
De là, Il faut s'attendre à un probable retour de manivelle pour le FN et ses convictions antis Europe et antis euro.
la vérité, même chez les voisins, cela fait toujours mal.
Cela étant dit, pour nous les français, même les plus inconscients...
Le nôtre de problème, ce n'est ni l'Europe ni l'euro.
Notre grand problème, c'est celui des sur coûts de fonctionnement de notre d'état "lui-même" avec le statut et le surnombre de nos fonctionnaires +, la qualité inversement proportionnelle au coût des services qui prêtant nous offrir.
Principalement, ceux qui sont régentés par la CGT et FO, (SNCF, Poste, EDF, Sécurité Sociale, Caf, Etc...).
Surcoût de fonctionnement qui risque bien de nous faire expulser de l'Europe.
Pour cela il n'y aura pas besoin de Miss Le Pen, mais tout simplement du refus des pays européens (les bien gérés) de financer les débordements financiers de nos sociétés à monopole d'État ou de nos politiques, (ailleurs, en europe, chez eux, ils les ont éliminés), + de payer nos dettes.
Tous deux crachent sur l'Europe, mais, ne se posent pas la question des déficits du pays, même, ils sont prêts à les augmenter pour raisons purement électorales.
De pures irresponsables avec nos syndicats politiques.
Un de nos problème et, des plus couteux, les avantages sociaux accordés à tout ceux dont le salaire depend en totalité ou partiellement de nos impôts.
Syndicalement, dits avantages acquits...
Pour qui ?
Pas pour tous, financièrement impossibles, pour les 80 % de payeurs...
Donc, uniquement pour les salariés de l'Etat, services publics, assimilés et entreprises à monopole d'Etat...
Soit pour environ 7 millions de Français sur 65 millions.
Le tout, payé par nos impôts, taxes, charges sociales et emprunts d'État.
C'est cela, l'égalité de notre république, vue par la gauche.
De là, notre lente mort économique, à coups de dépassements budgétaire et d'emprunts d'Etat pour raisons de corruption électorale et, de trouille vis a vis de nos syndicats politiques ...
Le taux de prélèvements obligatoires sera de 45,7 % du PIB à la fin 2016, un record qui nous fait dépasser le Danemark et la Finlande, qui résistaient encore.
Avec les charges sociales ( les plus élevées du monde), nous arrivons à près des 60 % mortels pour notre économie
Par Jean NouailhacPour parvenir à ce résultat, les entreprises ont bien participé avec un taux d’imposition effectif moyen de 38 %, le plus élevé de toute l’Europe. ©AFP/ PHILIPPE HUGUEN
C'est une information qui ravira tous les jacobins zélés, les hauts fonctionnaires taxateurs de Bercy et les députés frondeurs qui adorent inventer de nouveaux impôts : la France est en train de dépasser le Danemark et la Finlande qui lui résistaient encore et va pouvoir s'installer enfin à la première place du podium qu'elle mérite amplement, et ceci dès la fin de cette année 2016. L'information provient directement de la Commission européenne, qui a fait connaître récemment dans sa « fiche thématique sur les impôts et taxes » la situation de ses membres en matière de prélèvements obligatoires, lesquels regroupent aussi bien les impôts sur les ménages et sur les sociétés que la fiscalité locale, les taxes indirectes et les cotisations sociales.
Selon la Commission, avec un taux de prélèvements obligatoires qui atteindra un sommet de 45,7 % du PIB à la fin de l'année 2016, les Français seront donc couronnés champions d'Europe des impôts 2016. Pour en arriver là, ils auront dû batailler sérieusement, d'autant qu'à peine la moitié d'entre eux paient des impôts sur le revenu et que les taxes indirectes n'entrent que pour 34 % dans leurs prélèvements obligatoires, plaçant la France au 17e rang européen, une place indigne d'elle !
Belle performance de la fiscalité départementale
Heureusement les entreprises ont bien participé à l'effort général avec un taux d'imposition effectif moyen de 38 %, le taux le plus élevé de toute l'Europe. L'honneur est sauf ! Nous avons également des charges salariales extrêmement lourdes qui nous permettent de financer largement notre généreuse Sécurité sociale alors qu'au Danemark justement, celle-ci est alimentée avant tout par des impôts directs.
Nous sommes, de plus, très performants en fiscalité locale, dont les différents taux continuent de monter à tour de rôle – une année les communes, une autre année les départements, et ainsi de suite. Pour l'année 2016, ce sont les conseils départementaux qui ont le plus augmenté leurs taxes foncières sur les propriétés bâties : + 5,2 % en moyenne contre + 0,6 % l'an dernier. À cette occasion, quelques records ont été battus de façon spectaculaire en Île-de-France, où l'on n'hésite plus à surtaxer les riches propriétaires : + 66 % dans les Yvelines – un formidable exploit ! –, + 29,7 % dans le Val-d'Oise, + 29 % dans l'Essonne. Dans les départements du Nord (+ 25,7 %) ou dans le Loir-et-Cher (+ 25 %), on a également souhaité participer à l'effort général. Qu'ils en soient remerciés !
Un titre largement mérité
Dans les communes, on s'est donc un peu calmés en 2016, après il est vrai d'importantes contributions en 2015. Certaines villes ou intercommunalités, cependant, n'ont pas pu s'empêcher de remettre les doigts avec bonheur dans le pot de confiture fiscale : + 20,4 % à Nantes, + 10 % à Saint-Denis, + 8,4 % à Metz, etc. Tous ces efforts réunis vont donc nous permettre d'atteindre enfin le Graal de tout ministère des Finances digne de ce nom : remporter le titre envié de champion d'Europe des impôts, taxes et prélèvements obligatoires en tous genres, devant des pays pourtant très dynamiques dans ces matières comme le Danemark et la Finlande, devant l'Italie bien entendu, et très loin devant l'Allemagne et l'Angleterre qui ont tout faux : on n'arrête pas de réduire les impôts en Angleterre et d'éviter de les augmenter en Allemagne, ce qui est vraiment étrange !
S'il n'est pas du tout acquis que nous puissions arriver à battre, lors de l'Euro, l'un ou l'autre de ces trois derniers pays qui sont connus pour leur football de haut niveau, le championnat d'Europe des impôts est d'ores et déjà plié pour eux : ils resteront derrière nous quoi qu'il arrive car, selon la Commission européenne, ce sont les Français qui, à juste titre, auront été les plus méritants en 2016.
Dès lors, une dernière question peut se poser : serons-nous capables de conserver notre titre en 2017 ? C'est tout le problème de la glorieuse incertitude de ce sport qui a la chance d'être pratiqué dans le monde entier, ce qui donne d'autant plus de valeur à notre diplôme de champions d'Europe des impôts, largement mérité, en attendant de pouvoir s'attaquer, peut-être un jour qui sait ?, au championnat du monde. Ce serait un immense honneur pour la France dont l'inventivité fiscale fait l'admiration de tous.
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Par alain la raison le 25 Juin 2016 à 09:14
Le peuple a voté contre lui-même et ses intérêts économiques les plus basiques...
Devinez, qui maintenant va payer la "casse économique" de ce vote "dit" populaire...
Pas les banques, elles vont déménager avec leurs meilleurs employés les autres, les moins bons, resteront sur le carreau.
Pas les riches, ils ont achetés des euros ou des dollars, sachant que la livre va perdre entre 20 /25 %...
Reste les industriels, ils vendront moins sur l'Europe, (plus de taxes et de complications douanières), pas grave pour eux, les industriels s'adapteront en adaptant le nombre de leurs salariés et leurs salaires...
Donc, ceux qui vont payer la casse économique, ce sera finalement, le petit peuple, celui qui a voté le Brexit ...
Baisse des salaires par inflation monétaire, (perte de valeur de la livre).
Hausse des prix internes, par la baisse de la concurrence externe , (taxations et complications administrative des importations).
Baisse du nombre d'emplois par perte de marché externe, (Hausse des coûts et complications administratives pour exporter)...
Un peut comme si toute la France, subitement, adoptait les modes de travail et d'organisation du travail "des rêves" de la CGT et de FO...
Ou, pas pire, que si le FN prenait le pouvoir et appliquait toutes ses promesses électorales...
Je pense que l'évolution "negative inévitable" de ce retour à "ses bases" de l'économie anglaise va donner à réfléchir aux tenant de la séparation française de l'Europe économique et monétaire...
Mais également et surtout, aux dirigeants politiques et économiques Européens de "leurs manques".
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Par alain la raison le 22 Juin 2016 à 08:02
À la CGT, ils ont raison, tout le monde saura combien il y aura de manifestants et qui ils sont ...
Probablement toujours les mêmes, quelques milliers de militants salariés par l'État...
Soit, les permanents syndicaux et leurs familles, + ceux qui ont en espoir de devenir permanents syndicaux fonctionnarisés à vie.
La France cégétiste au travail...
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