• "Corruption électorale gouvernementale."

     

    Ou, la grande générosité de nos élus, "on promet ou fait tout et n'importe quoi" avec l'argent des autres...

     

    Quand les responsables politiques font n'importe quoi être élus ou réélus...

     

    Grèce :

     

    Leurs nouveaux emprunts sont sous contrôle strict des préteurs...

     

    Finit de faire n'importe quoi avec l'argent des autres, (déficits gouvernementaux), pour "assurer" le train de vie de l'état, et le vote de ses fonctionnaires, assimilés et autres bons Kamarades.

     
     
     
    la réforme des retraites et de l’impôt sur le revenu adoptée par le parlement Grec...
     
     

    Ils ne trouvent plus personne pour payer à leur place...

    Le socialisme, c'est ça...

    En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/europe/021913543509-grece-la-reforme-des-retraites-et-de-limpot-sur-le-revenu-adoptee-par-le-parlement-1220424.php?scLZgd0XTG8jPoi9.99#xtor=EPR-7-%5Bmatinale%5D-20160509-%5BProv_%5D-1913571%402
     
     
    Les Grecs, n'ont plus le choix, à quand notre tour ???
     
    L'argent de leurs emprunts à disparut dans les gaspillages gouvernementaux, (corruption électorale), les salaires et privileges de leurs fonctionnaires en surnombres.
     
     

    Ils ne trouvent plus personne pour payer à leur place...

    A gauche, ils sont formidables, ils votes et manifestent contre la crise ???

    C'est certain, ça va arrêter la crise et créer des emplois...

    D'ailleurs, Hollande a parfaitement réussit les deux, à ce qu'il nous dit...

     

    Ils ne trouvent plus personne pour payer à leur place...

     Juste pour entretenir le train de vie de notre état et les privileges de ses trop nombreux salariés.

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  • SNCF, Air France et les autres... 

     

    (Tous, de vous transporter, ou de vous servir, rien à foutre...)

    Pourtant, c'est bien vous qui les payez directement ou, indirectement par les subventions, vos impôts. 

     

    Soit, tout l'art "syndical "de nos services publics et autres entreprises d'État ou "ex" d'état pour nous escroquer...

     

    Biento l'Euro du foot, c'est le bon moment pour les chantages syndicaux...

     

    Toutes celles, (entreprises), à grand pouvoir bloquant qui trouve la bonne occasion de continuer à "piller le client dit utilisateur" et, ou, le contribuable (subventionneur), au nom du maintien de ce qu'ils appellent  "leurs acquis"...

     

    Acquits syndicaux publics... 

    (ceux qui sont presque "toujours" financés par les subventions publiques, nos impôts et taxes) 

    Jamais par une quelconque amélioration de leurs dits services, bien au contraire...

     

    Acquits syndicaux publics, soit, juste le résultat des derniers pillages publics obtenus lors de leurs derniers grands blocages nationaux.

     

     

    La SNCF, c'est ça + les greves bloquantes à repetitions pour que ça dure...

     

    Les pires...

     

    Les 150 000 salariés et 270 000 retraités de la SNCF mettent toujours plus à contribution leurs clients...

    Non, syndicalement, le client, ça n'existe pas, c'est juste un "emmerdeur" d'utilisateur payant...

     

    Idem pour le, les contribuables et, d'une façon générale, tous leurs concitoyens., juste des vaches à lait...

    (subventions de fonctionnement devenues la norme)...

     

    La SNCF, c'est ça + les greves bloquantes à repetitions pour que ça dure...

     

     

    La SNCF reçoit en effet chaque année plus de 12 milliards d'euros de subventions pour un chiffre d'affaires de 30 milliards. Elle coûte tous les ans l'équivalent de 1 000 euros à chaque contribuable français soumis à l'impôt sur le revenu !!!

    Ce paradis des prolétaires subventionnés traîne en plus une dette globale de 45 milliards d'euros, soit 150 % de son chiffre d'affaires, et cette dette augmente structurellement chaque année de 1,5 milliard.

    Si l'on compte bien, à ce rythme, on arriverait au bout des dix prochaines années à un total de 120 milliards de subventions + 45 milliards de dette + 15 milliards d'augmentation de cette dette.

    Soit un trou gigantesque de 180 milliards d'euros.

     

    De là, pour pouvoir se maintenir, "ne pas tout simplement, commercialement disparaître".

     

    Le rêve des syndicats de la SNCF éliminer, toutes velléités de concurrence privée en, cherchant à imposer aux entreprises de transports concurrentes les mêmes systèmes "absurdes de gestion du personnel" et de maintien des déficits permanents...

     

     

    La SNCF, c'est ça + les greves bloquantes à repetitions pour que ça dure...

     

    Ne pas oublier que pour la Sécurité Sociale et ses déficits permanents les bases de gestion syndicales sont exactement les mêmes...

    Sauf que, ça se voit moins... 

    Voir également notre "vaillante" éducation Nationale, la plus chère de L'OCDE mais arrivant en avant-dernière position en résultat... 

    Un système syndical tellement perturbé et perturbant que même, les salariés de cette institution ne s'y retrouvent plus.

     

    Je ne parle même pas des élèves, ces emmerdeurs.

     

    La SNCF, c'est ça + les greves bloquantes à repetitions pour que ça dure...

     

    Et tant pis pour la gueule du client, ce "salaud d'utilisateur" payant, relégué au niveau de simple "objet ou otage" des revendications syndicales.

     

    La SNCF, c'est ça + les greves bloquantes à repetitions pour que ça dure...

     

    Malgré ses atouts nous nous évertuons à mettre à terre un modèle que l’étranger nous envie. Etat et syndicats ont des responsabilités partagées dans la crise du ferroviaire

    Quel beau pays que le nôtre. C’est en effet, un des seuls pays où l’on prend un malin plaisir à critiquer et, pire, détruire des projets que le reste du monde nous envie. C’est le cas bien sûr de notre système de santé que l’on détruit faute d’un consensus minimum sur des réformes de bon sens que des réflexes de repli catégoriel rendent impossibles. Mais c’est peut-être plus encore le cas de la SNCF. Le service public est considéré, à l’étranger, comme un modèle aussi bien par son maillage fin du territoire que pour ses prouesses technologique que symbolise le TGV. Et, malgré ces atouts incontestables, nous nous évertuons à mettre ce modèle industriel à terre. En témoignent au premier chef ces grèves répétitives lancées, si possible, en période de départ en vacances. Mais en témoigne aussi une insuffisance d’investissements pour préparer l’avenir qui se traduit par une obsolescence des infrastructures que des rapports d’expertise dénoncent à date régulière et qui ne font l’actualité que quelque jours, quand un drame se produit comme ce fut le cas récemment à Eckwersheim et à Brétigny-sur-Orge .

    Ces dysfonctionnements interviennent alors que le rail n’a jamais été aussi menacé qu’aujourd’hui. Au-delà de l’ouverture à la concurrence européenne, ce qui menace le modèle ferroviaire, ce sont des évolutions comme le covoiturage et le transport par bus que le gouvernement vient d’encourager, évolutions qui, comme la courbe du chômage, ne sont pas près de s’inverser de manière significative.

    Les Français râlent contre la SNCF car ils savent que leur vie quotidienne en dépend. C’est vrai bien sûr, en période de grèves mais c’est plus vrai encore des multiples dysfonctionnements qui polluent leur vie de salariés jour après jour. Les Français devraient, de ce fait même, au contraire de ce qu’ils font, témoigner de leur solidarité vis-à-vis de la SNCF. Car ce n’est pas cette entreprise qui en est la cause première de leur tracas. Ce sont, à égalité de responsabilité, les syndicats et l’Etat qui sont à l’origine de tous leurs maux.

    Une négociation sociale d’importance stratégique est en cours à la SNCF qui doit se conclure avant le 30 juin 2016. Elle porte sur la signature d’une convention collective couvrant l’ensemble du secteur ferroviaire – une première – et sur un nouvel accord d’entreprise qui doit remettre à plat, entre autres, l’organisation du travail. Nul doute que la menace de grèves pendant l’Euro 2016 donne un fort pouvoir de négociation aux organisations syndicales. Mais ce serait un immense gâchis si celles-ci se servaient de celui-ci de manière irresponsable. Elles auraient mieux à faire de négocier durement sur l’accord de gestion prévisionnelles de l’emploi et des carrières (GPEC) qui constitue le principal levier de remise en marche de l’ascenseur social à la SNCF.

    Mais l’Etat est au moins aussi coupable que les syndicats de la dégradation de la situation à la SNCF. Vis-à-vis de l’entreprise publique, il fait preuve d’une hypocrisie totale. Il dénonce, à grand renfort de médiatisation, les carences – objectives – de l’opérateur ferroviaire mais il empêche celui-ci de faire les investissements nécessaires à la résolution de ces problèmes. L’Etat est en train de détruire le modèle économique du TGV en imposant des lignes absurdes aux coûts pharaoniques (comme Lyon-Turin par exemple) et des arrêts incessants que des députés en mal de légitimité lui imposent. Et, pendant ce temps, les investissements indispensables à l’entretien et à la modernisation du réseau qu’utilisent les Français tous les jours sont repoussés année après année.

    Il faut mettre un terme à cette situation. Si, au lieu de ne pas prendre les décisions et de ne pas signer les accords qui s’imposent, les syndicats et l’Etat prenaient un peu de temps pour se projeter dans l’avenir et ouvraient les chantiers ferroviaires les plus créateurs d’emploi et de croissance économique, ce serait bien mieux.

    http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/021878157038-qui-veut-la-mort-de-la-sncf-1217498.php#xtor=EPR-3038-%5Bnl_ideesdebats%5D-20160427-%5BProv_%5D-1913571%402

     

    ___________________________________ 

     

    La SNCF « au service du public » ? Pas vraiment, il est temps de privatiser la SNCF. Témoignage d’un usager qui aurait aimé avoir un service public de qualité.

    Par Éric Verhaeghe. 

    La SNCF, tout le monde la connaît pour ses grèves corporatistes qui ont encore sévi cette semaine, et empoisonné la vie de millions d’usagers pris en otage d’un combat purement égoïste.

    Rappelons en effet que les salariés de la SNCF bénéficient, depuis 1937, d’un statut à part, et depuis 1970 d’une convention collective particulièrement favorable. Ces textes, conçus à une époque où le travail sur les voies était pénible, n’ont évidemment pas suivi l’évolution profonde du rail. Ils datent tous d’un monde où le train à grande vitesse n’existait pas.

    La SNCF face au marché unique ferroviaire

    La mise en place à retardement (car la SNCF résiste) d’un marché unique ferroviaire oblige à une révision du statut protecteur dont les agents de la SNCF bénéficient. C’est pour cette raison que les syndicats de la SNCF organisent des grèves à répétition. L’ouverture salutaire du marché ferroviaire dans l’Union devrait en effet permettre à des agents de compagnie étrangère de desservir des gares françaises pour le transport de voyageurs.

    Cette irruption de la concurrence suscite des résistances vives, conflictuelles, que l’actuel directeur de la compagnie, l’inusable Guillaume Pépy, ne parvient pas à juguler, même en arrosant ses organisations syndicales favorites. Reste une question : l’ouverture du chemin de fer à  la concurrence européenne est-il une bonne chose?

    Il faut un séisme salutaire à la SNCF

    Même ceux qui refusent catégoriquement de privatiser la SNCF ne pourront le nier : il est urgent, indispensable, vital, que la vieille dame SNCF se réveille, tant la qualité des services qu’elle délivre est proche du zéro absolu.

    Je prends l’exemple de ma mésaventure, malheureusement fréquente, de ce jour.

    Je me destine à prendre un billet pour Lyon à 14h50, départ à 14h59. L’automate m’indique que le train est complet. C’est désagréable, ces voyages en deuxième classe à 100€ l’aller simple où le train est complet une fois sur deux. Je prends un billet pour le train suivant. L’automate me demande de faire le code de ma carte bleue, m’indique que la transaction est enregistrée mais qu’il ne peut imprimer mon billet…

    Je cherche donc un agent pour m’aider. J’arrive à 14h55 à la salle des billets, où une hôtesse qui trouve la situation normale me dit qu’elle prévient un agent qui va intervenir. Votre train part dans une heure, « ça va », me dit-elle. Je rêve. Pas un mot d’excuse, pas un mot d’empathie, rien que du normal.

    À 15h15, je n’ai pas de nouvelles et je m’en inquiète. L’hôtesse m’indique qu’elle a suivi la procédure et qu’elle ne peut rien faire de plus. Le fameux « nous n’y sommes pour rien Monsieur ». Bien sûr, j’ai sorti 100 euros pour aller à Lyon, je n’ai pas mon billet du fait de la SNCF, je n’ai pas un mot d’excuse et on ne peut rien faire de plus.

    À 15h17, le préposé chargé des incidents arrive, nonchalant. Pas un « bonjour », pas un « je suis désolé de l’attente Monsieur ». À chaque oreille, il porte des boucles en forme d’Antéchrist, tout le monde trouve ça normal. Et moi, si je portais des caricatures du Prophète en boucle d’oreilles, il dirait quoi ? Il m’indique que finalement je n’ai rien payé et que je dois racheter des billets. Point.

    Quand je proteste, en expliquant qu’attendre vingt minutes de cette manière pour ce résultat, c’est fort de café et qu’une bonne privatisation ferait du bien à tout ce petit monde qui ne semble vraiment pas débordé, je m’entends dire : « En Angleterre, la privatisation c’est nul, mais ils sont moins cons que vous là-bas » et un « on va appeler la sécurité ».

    Eh bien oui, pour toute cette désastreuse absence de la culture du service, il est urgent de taper un grand coup dans la fourmilière et de privatiser le rail sans aucun état d’âme.


    En savoir plus sur http://www.contrepoints.org/2016/04/30/250156-pourquoi-il-faut-privatiser-la-sncf#wGoEb2vg6tgoGokp.99

     

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  •  Et encore plus, dans tout ce qui dépend de l'état, fonctionnaires, assimilés et entreprises à monopole d'État...

     

    Voir également le "bordel organisationnel" généralisé mis par l'application des 35 heures dans tous les "services publics" devant fonctionner 24 heures sur 24 heures

     

    Tous les jours et dans tous les corps de métiers des problemes ...

     

    Pourtant, très souvent des  privilégiés de l'emploi par leur statut à vie, c'est le contribuable qui paye.

    De surnombres, c'est le contribuable qui paye.

    De de par certains privilèges d'âge de départ à la retraite, c'est le contribuable qui paye

    D'heures réellement travaillées par laxismes d'employeurs irresponsables, c'est le contribuable qui paye.

    De jours de vacances par conventions particulières, c'est le contribuable qui paye.

     

    Mais, qui donc, orchestre toutes ces anomalies, elles, très particuliers à nos services publics connus pour être les plus nombreux et coûteux au monde.

     

    Tous les jours et dans tous les corps de métiers des problemes ...

     

    À mon avis une seule réponse, notre système syndical politique, CGT et FO en tête, 

    Ce sont bien eux, qui gèrent et vivent royalement de tous ces abus et inégalités sociétaires

     

     Syndicats  qui ne représentent plu que les bénéficiaires de ces abus, et encore, de moins en moins aux vue de leurs adherents...

     

    Tous les jours et dans tous les corps de métiers des problemes ...

    Ceux là, ou les autres, aucun changement depuis 70 ans...

     

    A y ajouté nos gouvernants de gauche, soutiens irresponsables de ce système syndicalistes économiquement mortel.

     

    Tous les jours et dans tous les corps de métiers des problemes ...

     Presque les mêmes, à ne rien faire depuis 5 ans ...

     

     

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  • Que va en faire l'électeur "socialisant", l'éternel "utopique" et toujours roulé à coups de promesses sociales intenables.

     

    Macron se lance...

     
     
    Pourquoi pas un "bon" président "socialiste", nous n'en avons pas encore eu, sans parler des "médiocres faux socialisants" de droite...
     
    Depuis de très nombreuses années, nos présidents, ils le sont tous plus ou moins, bons socialistes, non, mais socialisant de gré ou de force, oui.
     

    Macron se lance, que va faire l'électeur "socialisant", éternel "votant utopique" et toujours roulé.

     
     
    En France, la promesse utopique sociale de "richesse gratuite pour tous",  semble être devenue une obligation pour avoir une chance d'être élu...
     
     
     
    Depuis Mitterrand, La seule chose qui différencient nos gouvernants, c'est juste leur niveau "d'utopisme socialiste", (raisonnable ou purement électoral), dans leur vision du socialisme "dit à la française"...
     
     

    Macron se lance, que va faire l'électeur "socialisant", éternel "votant utopique" et toujours roulé.

     
    La gauche promet du socialisme pur et dur, mais pour simple raison économique basique, n'en fait pas ou, au bout de quelques mois, devant les réalités économiques abandonne ses meilleurs arguments électoraux...
     
    La droite se dit économiquement libérale, mais, pour simples raisons syndicale, (risques de grèves bloquantes des administrations et services "dits" publics), se retrouve rapidement à faire une politique "ruineuse", dite de gauche.
     
    Mitterrand ayant été le plus faux et malin des utopiques et Hollande, le plus menteur et "désespérant pour ses amis", des utopiques... Une certitude aucun des deux n'y croyaient réellement le jour de leur élection. (Mais, il faut bien se faire élire).
     

    Macron se lance, que va faire l'électeur "socialisant", éternel "votant utopique" et toujours roulé.

     
    Les autres, ceux de droite, tous, ont gouvernés comme de bons socialistes qu'ils n'étaient pas... Mais uniquement par nécessité en première "électorale", faut bien être élus et une fois élus "durer"...
    Puis par nécessité de paix sociale, (soit La trouille de notre système syndical politique d'extrême gauche lui, toujours prêt à "foutre le bordel" si nos gouvernants n'accèdent pas à leurs désidératas, même les plus ruineux pour le pays).
     
     
    Hollande ne faisant pas exception à la règle générale du "bordel politique syndical à la française", c'est bien lui, ce "système syndicale politique d'extrême gauche" qui l'aura éjecté de la présidence, ce mou est son équipe de fonctionnaires "surdiplômés" qui pensaient que le système syndical politique les soutiendraient par esprit "solidaire" de gauche, comme le PS l'a fait, à une époque très proche...
     
     
    A gauche, pour le pognon du contribuable, aucune amitié ne compte...
     
     

    Macron se lance, que va faire l'électeur "socialisant", éternel "votant utopique" et toujours roulé.

     
     
    Le FN, (extrême droite), tout comme Hollande, (avant d'être au pouvoir et Mélenchon qui en rêve), tous, ne basent leurs campagnes électorales que sur les promesses "utopiques socialisantes" et, donc impossibles à tenir, "celles d'un socialisme de rêve à la Française...
     
    (Il a ses croyants "utopiques" notre FN, tout comme Mélenchon et les quelques 10 % d'électeurs qui restent à Hollande)...
     
     

    Macron se lance, que va faire l'électeur "socialisant", éternel "votant utopique" et toujours roulé.

     

     
    Alors, pourquoi pas Macron qui semble être socialement et économiquement plus raisonnable que la moyenne générale de ses amis socialistes ou même, ennemies du FN et de l'extrême gauche Mélanchoniste et Syndicale ...
     
     

    Macron se lance, que va faire l'électeur "socialisant", éternel "votant utopique" et toujours roulé.

     

     

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  •  

    Ou, quand une minorité de privilégiés de l'emploi manifeste contre l'intérêt général...

    Soit, nos quelque 6/7 % de syndiqués "actifs" du secteur public + ceux des entreprises à monopole d'État et, leurs enfants...

      

    Ceux qui pensent  ou croient encore que "le privilège" est un droit...

      (Voir ancien régime et noblesse)

     

     les irresponsables qui manifestent contre toutes modifications de notre code du travail...

     

    Emplois, juste deux réalités... 

    le salarié de l'entreprise privée "partage" toujours les risques financiers de son employeur...

    Par le chômage...

     

    Dans les services publics et assimilés, là, quand il n'y a plus d'argent, on augmente les impôts ou, on emprunte au nom du client "utilisateurs".

     

     les iresponsables qui manifestent contre toutes modifications de notre code du travail...

    Mais dans tous les cas, "on" reste employé à vie, tout en bénéficiant des privilèges sociaux inhérents aux "largesses de l'état" pour ceux "se disant" ces serviteurs...

     (Pas totalement désintéressés les serviteurs de l'État !!!)

     

     les iresponsables qui manifestent contre toutes modifications de notre code du travail... 

     

    Combien de temps encore le contribuable, "payeurs d'impôts" et, ou, "emprunteur par obligation" va accepter ce système ?

     

     les iresponsables qui manifestent contre toutes modifications de notre code du travail...

     

    Soit l'avenir, (noir), du "surnombre" et des "avantages particuliers" de nos fonctionnaires et assimilés des entreprises à monopole d'État...

     

     les iresponsables qui manifestent contre toutes modifications de notre code du travail...

     

    Du passage de Hollande, ne restera, que le plus grand défi que devra "obligatoirement" relever notre prochain gouvernement.

     

     les iresponsables qui manifestent contre toutes modifications de notre code du travail...

     

    Maitriser les dépenses de notre état sans emprunter plus et, sans augmenter les impôts et taxes.

    Même, il devra les diminuer...

     Pour que la France retrouve sa compétitivité internationale et que le chômage diminue... 

     

    Il n'y a pas d'autre solution

     

    Sinon, nous rejoindrons la Grèce et, ce sera quand même fait, mais dans la douleur et par obligation... 

    (Plu de pognon)...  

    Sans " le pognon des autres", celui des contribuables et des emprunts pour les payer,

    que feront nos manifestants ???

     

     les iresponsables qui manifestent contre toutes modifications de notre code du travail...

     

    Lycéen frappé par un policier: deux supermarchés pillés par une centaine d'adolescents

       
    Deux supermarchés Franprix des XIXe et Xe arrondissements de Paris ont été pillés ce vendredi par des lycéens, qui dénonçaient le traitement subi la veille par un camarade, frappé par un policier. Un peu plus tôt, ce groupe d'adolescents s'en était ...
    Lycéen frappé par un policier : deux supermarchés pillés par des manifestants
    Deux magasins Franprix pillés par une centaine de jeunes en colère à Paris hier
     
     

     les iresponsables qui manifestent contre toutes modifications de notre code du travail...

     

    Etudiants Français ...

     

     les irresponsables qui manifestent contre toutes modifications de notre code du travail...

    Leur Avenir, enfin, celui des casseurs et reveurs...

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