La guerre du pétrole, ( jusqu'à ce jour nous la croyons réservée à la gourmandise financière et aux chantages guerriers des pays arabes), elle est devenue interne, française et au service des corporatismes...
Il suffit de quelques milliers de "radicalisés" cégétistes ou de FO, (les mêmes bases de violence staliniennes), pour bloquer toute distribution de pétrole...
Soit "tous" nos transports et donc notre économie qui en depend à 100 %.
Blocage mortel pour la sécurité des français et pour notre industrie (chômage).
La France et déjà en plein décrochage économique, nos système sociaux ne fonctionne plus que médiocrement tout en restant les plus onéreux...
Systèmes sociaux dirigés par la CGT et FO qui y trouvent leurs financements.
Bloquer simplement les transports publics étant devenu insuffisant, depuis longtemps nous nous y sommes habitués et, savons compenser...
Salarié Cégétiste,
de vous, consommateurs et contribuables, dit cochons de payeur,
rien à foutre...
Le rêve de nos syndicalistes "politico fonctionnarisés", le pouvoir absolu ...
Leur méthode, détruire les gouvernements en place en bloquant, avec quelques milliers de permanents, toutes activités économiques dans le pays.
Train, essence, électricité, transports routiers, Etc.
Leurs éternels discours de mauvaise foi, ce n'est pas notre faute... C'est la faute aux gouvernements qui n'acceptent pas de céder à nos propositions, demandes...
Syndicalisme politique d'extrême gauche qui n'arrive pas à imposé ses idées par les systèmes électoraux, (moins de 15 % d'électeurs très à gauche et y croyant réellement dont, moins de 8 % de réellement syndiqués)...
Devant ces résultats populaires des plus décevants.
Notre modèle syndical politique et ses - de 8 % de fidèles cotisants, est bien décidé à imposer sa vision économique par la violence de ses manifestations publiques et par les blocages techniques du pays ce, du fait de leurs positions dominantes dans les services publics et autres sociétés de services à monopole d'État, des gens sans risque de chômage...
Service est entreprises d'État, d'où sont issus la grande majorité de leurs permanents les plus radicalisés.
Position dominante obtenue par la violence de quelques milliers de sympathisants regroupés en corporation de "permanents syndicaux grassement rétribués" par nos services publics et Paras publics...
Les cotisations syndicales ne finançant plu rien depuis longtemps.
Staline où ses homologues des dictatures de gauche n'avaient pas agi différemment pour prendre un pouvoir, (pouvoir absolument personnel), qu'ils disaient "révolutionnaires et populaires"...
Le grand mensonges du PC, Staline, juste le plus grand assassin de son propre peuple...
Nous en avons vu les résultats avec l'ex- URSS et nous les voyons encore dans les "rares pays" fonctionnants sur ces systèmes.
Quel "dit prolétaire" ou "syndicaliste" français voudrait vivre dans un de ses paradis communistes ou socialiste ???
Philippe Martinez et ses quelques milliers de fidèles, majoritairement "fonctionnaires" ou "salariés des entreprises à monopole d'État", tous, "permanents syndicaux" fonctionnants en "castes corporatives" et, tous, voulant sauver leurs privilèges et même, si possible, en obtenir de nouveau par la force...
Tous, vivant aux crochets du contribuable sous le "fallacieux" prétexte de rétablir la dictature du prolétariat.
Soit, pour le prochain gouvernement, "quel qu'il soit", une probable obligation, dissoudre ce système politico fonctionnarisé, pour sauver notre économie et notre démocratie.
Aucune partie de l’extrême gauche n’est épargnée par cette culture de la violence.
Ces mouvements ont ceci d’étonnant qu’il leur semble naturel de faire coïncider, dans leur discours, action violente et revendication démocratique, comme si leur parole et leurs actes représentaient ceux du peuple.
Cette position est d’ailleurs très fréquente parmi les populismes, de gauche comme de droite."
En savoir plus sur http://www.contrepoints.org/2016/05/25/254233-cette-violence-traverse-toute-culture-dextreme-gauche#zlWXtcFp8BxCboK0.99
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La très musclée fuite en avant de la CGT ! SNCF, RATP, les routiers, les marins, les dockers, les aéroports et les raffineries : le syndicat de Philippe Martinez semble pressé d'en découdre !
Nouailhac - Par Jean Nouailhac Modifié le 17/05/2016 à 06:46 - Publié le 17/05/2016 à 06:34 | Le Point.fr Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, semble tenté par une stratégie jusqu'au-boutiste ! i Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, semble tenté par une stratégie jusqu'au-boutiste ! © ELLIOTT VERDIER
Le moustachu Philippe Martinez vient de lancer un message violent au gouvernement et au patronat. Après l'intermède sans gloire de son prédécesseur Thierry Lepaon, englué dans les dépenses somptuaires d'aménagement de son appartement de fonction et de son bureau, le nouveau leader de la CGT veut redorer le blason terni de son syndicat en revenant vers les fondamentaux des luttes sociales du passé : parties de bras de fer, stratégies jusqu'au-boutistes, épreuves de force et multiplication des blocages.
Il rêve de faire à Hollande et sa loi travail le coup que Bernard Thibault, il y a dix ans, avait fait à Villepin et à son CPE. Il est décidé en plus à faire plier le patronat de la SNCF dans la révision actuelle du statut des cheminots et à remporter une spectaculaire victoire dans le rail en utilisant l'Euro comme levier pour arriver à ses fins.
Sans compter que s'il veut mettre de l'huile sur le feu, il a toujours sous le coude les intermittents de la CGT Spectacle, au moment où la saison des festivals va commencer.
« Le bouton grève est sous mon bureau », a lancé comme une menace Denis Gravouil, le numéro un de la CGT Spectacle. Le saccage d'une dizaine de locaux de députés socialistes La castagne a commencé la semaine dernière avec le saccage d'une dizaine de locaux de députés socialistes au Havre, à Rennes, à Caen, à Toulouse, à Dijon, à Lyon… Les casseurs n'ont pas été désavoués par la CGT, ou pas assez clairement ni assez fermement.
Le secrétaire général de l'union locale CGT du Havre, Reynald Kubecky, par exemple, s'est contenté d'un « Le saccage, on ne cautionne pas », ajoutant juste après « mais la colère est légitime car on ne doit pas utiliser le 49.3 comme ça ».
De deux choses l'une : soit le service d'ordre de la CGT, le SO en langage d'initié, est incapable de contenir les casseurs et ce serait un mauvais signe pour la puissante organisation syndicale...
Soit elle tolère ces brutalités et ces dégradations parce qu'elle espère en tirer profit : elles ont en effet l'avantage de faire monter la température sociale nécessaire à la réalisation de ses intentions cachées. C'est comme ça qu'on a pu entendre, jeudi dernier, lors des manifestations à Paris contre la loi travail, des cris venant d'excités masqués tels que « SO, salaud, le peuple aura ta peau » ou « Flics, SO, même combat ».
Martinez pourrait avoir intérêt à laisser faire son ultragauche Il peut y avoir plus grave : une CGT dépassée sur sa gauche dans ses propres rangs par les extrémistes de Lutte ouvrière. Martinez pourrait avoir intérêt à laisser faire son ultragauche brutale et bruyante, ne serait-ce que pour montrer à quel point sa CGT est déterminée.
On se croirait vraiment revenu en arrière dans certaines épreuves de force du passé, sauf qu'à l'époque, les CRS et les gendarmes mobiles recevaient des instructions beaucoup plus claires et plus strictes de maintien de l'ordre.
Les discours ampoulés d'apparente fermeté de Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur d'un gouvernement qu'on a rarement vu aussi faible, ne vont certainement pas suffire pour empêcher la castagne de se développer si telle est bien l'intention de la CGT.
« Les salariés sont décidés à s'engager dans un mouvement dur », a martelé Philippe Martinez la semaine dernière. Toutes les actions annoncées à la RATP, chez les routiers, les marins ou les dockers, dans les aéroports et les raffineries n'auraient en réalité qu'un seul but : développer une atmosphère générale de lutte sociale tout autour, comme pour le protéger, du noyau dur du syndicat, le cœur de son réacteur, la SNCF, qui est avec EDF l'un des deux bunkers inviolables patiemment constitués depuis près de soixante-dix ans par l'aristocratie communiste du syndicat.
Prêts à tout, même pendant l'Euro de football Pour défendre le statut et les positions inexpugnables, hors de tout contrôle et hors du droit commun, de leurs bunkers SNCF et EDF, certains éléments de la CGT sont prêts à tout, y compris à paralyser la France dans une grève générale des trains pendant l'Euro de football qui va débuter dans quelques semaines. Depuis mars, les cheminots ont déjà fait grève à trois reprises pendant trois périodes de vingt-quatre heures. Cette fois-ci, la CGT, avec SUD, son poisson-pilote, a appelé à une grève reconductible, chaque mercredi et jeudi pour la CGT Cheminots et chaque jour pour SUD Rail, dont le préavis court jusqu'au 11 juillet, le lendemain de la finale de l'Euro. Si c'est bien la castagne que la CGT a choisie pour arriver à ses fins, il va falloir s'attendre à vivre très prochainement des moments difficiles. Le gouvernement sera-t-il à la hauteur de l'enjeu ?
Je rajouterais, aux "imbécillités" de notre actuel gouvernement son approche des heures supplémentaires...
Suppression de leur défiscalisions et, pour complément de bêtise, la réduction des % de salaire pour heures supplémentaires...
Un gouvernement qui semble être contre toutes évolutions sociétaires par le travail...
Un gouvernement de fonctionnaires à vie et qui ne compte que sur le travail et les taxations du travail des autres, pour se salarier et financer ces privilèges.
Un gouvernement qui aujourd'hui paye au prix fort son soutien, (pour raison électorale), à un système syndical, "politique et corporatif", totalement obsolète et destructeur d'économie.
Soit, la fin de ce système syndical programmé avec la fin politique d'un PS auquel plus personne ne croit...
2 articles d'illustration du suicide syndical français...
Les usagers ne devraient plus rester bien longtemps otages du service public et de la CGT Cheminots : l’ouverture de la SNCF à la concurrence entraînera une remise en question financière et sociale.
Par Éric Verhaeghe.
image: http://www.contrepoints.org/wp-content/uploads/2016/05/3959235644_ae8f721531_z.jpg
SNCF By: Terrazzo – CC BY 2.0
Sans que personne ne le voie clairement, les cheminots sont à la source d’un désordre français majeur, qui déstabilise l’ensemble du champ social. La préparation du rail européen passe en effet par la conclusion d’une sorte de convention collective à l’échelle de l’Union, beaucoup moins favorable que le statut accordé aux salariés de la SNCF. Bloqués pendant des années par un syndicalisme que Guillaume Pépy a protégé, les cheminots français découvrent peu à peu qu’ils ne seront plus seuls à utiliser les rails financés par le contribuable. Ce réveil salutaire mais douloureux perturbe en profondeur le paysage social français.
Le risque d’un statut européen du rail
On ne le dit pas assez, mais les innombrables grèves qui se succèdent à la SNCF, en ordre dispersé, protestent toutes contre la négociation d’une convention collective nationale du rail qui remettra en cause le statut des salariés de la SNCF. Ceux-ci vivent en vase clos, depuis 1936, à l’abri de leurs petites combinazioni syndicales et font, depuis des années, l’autruche face à l’imminente ouverture du rail à la concurrence. L’ouverture du transport ferroviaire de voyageurs à la concurrence arrive. Cette salutaire introduction permettra de secouer le cocotier des rigidités de la Vieille Dame nationale.
Elle ne va évidemment pas sans susciter un puissant tir de barrage. Pourtant, le mouvement paraît inéluctable : il est désormais incontournable que la branche du rail existe et dispose d’une convention collective moins contraignante que le statut de la SNCF. Les syndicats français l’ont bien compris, les avantages que la « bête SNCF » leur donne depuis des années touchent à leur fin. Les entreprises ferroviaires qui pourront assurer du transport de voyageurs dans quelques années en France pourront recruter sous des conditions moins favorables que la SNCF.
La seconde mort de la Libération
Historiquement, les syndicats ont pu justifier les avantages extravagants (dont la retraite à 50 ans) qu’ils pouvaient revendiquer au nom de la Libération et des prix qu’on lui prêtait. Personne n’a en vérité jamais vérifié attentivement si la légende forgée au sortir de la guerre sur l’engagement patriotique des cheminots se justifiait. Mais la conviction intime régnait : sans eux, la France n’aurait été ni vainqueur ni libre en 1945.
Ce légendaire héroïsme des cheminots a justifié bien des compromis. Tout le monde a fermé les yeux sur la participation de la SNCF aux déportations, et l’histoire n’a retenu que les sabotages postérieurs à la rupture du pacte germano-soviétique. En 1945, les cheminots ont refusé de rejoindre le régime général de la Sécurité sociale et ont préféré garder leurs avantages et leurs règles spécifiques, bien plus favorables.
Il a fallu attendre près de soixante-dix ans pour que ces privilèges soient remis sur la table et révisés. Seule l’Europe aura permis d’aborder sans pollution historique ni légendaire la vérité des faits. Enfin, on peut discuter de ce que doit être la condition de travail d’un conducteur de TGV, sans évoquer la sabotage des lignes menant en Normandie en 1944.
Privatisons la SNCF et le rail, enfin !
Reste à aller jusqu’au bout. Les grèves auxquelles nous assistons sont les derniers témoignages des prises d’otages du service public par les toxiques CGT Cheminots et autres coordinations pseudo-ouvrières. Ceux-là adorent parler comme s’ils incarnaient le prolétariat, alors qu’ils en sont juste les rentiers ordinaires. Personne ne dira jamais la souffrance des vrais prolétaires, usagers du rail, qui furent pris, pendant des années, en otage des revendications incertaines lancées par des syndicats très protégés par Guillaume Pepy. Tous ces lève-tôt ont dû composer avec les irrégularités capricieuses du syndicalisme ferroviaire et arriver au boulot quand ils le pouvaient.
Une étape doit encore être franchie : la refonte de la gouvernance de la SNCF. Guillaume Pepy, à force de manœuvres et d’entregents, a beaucoup profité du système pour un bilan social et économique cataclysmique. Il est temps que la France de la rente et du fromage laisse la place à la France de la compétition et de la réussite. Mais il faudra probablement attendre le prochain quinquennat pour y arriver.
En savoir plus sur http://www.contrepoints.org/2016/05/23/253684-les-cheminots-cgt-ou-la-rente-syndicale-en-action#Zfaw8SGW2AJObD1l.99
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Qui veut la mort de la SNCF ? Sinon, son syndicalisme jusqu'au-boulisme...
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/021878157038-qui-veut-la-mort-de-la-sncf-1217498.php?izxIT26tpPB1vpDz.99
Malgré ses atouts nous nous évertuons à mettre à terre un modèle que l’étranger nous envie.
Etat et syndicats ont des responsabilités partagées dans la crise du ferroviaire
Quel beau pays que le nôtre. C'est en effet, un des seuls pays où l'on prend un malin plaisir à critiquer et, pire, détruire des projets que le reste du monde nous envie. C'est le cas bien sûr de notre système de santé que l'on détruit faute d'un consensus minimum sur des réformes de bon sens que des réflexes de repli catégoriel rendent impossibles. Mais c'est peut-être plus encore le cas de la SNCF. Le service public est considéré, à l'étranger, comme un modèle aussi bien par son maillage fin du territoire que pour ses prouesses technologique que symbolise le TGV. Et, malgré ces atouts incontestables, nous nous évertuons à mettre ce modèle industriel à terre. En témoignent au premier chef ces grèves répétitives lancées, si possible, en période de départ en vacances. Mais en témoigne aussi une insuffisance d'investissements pour préparer l'avenir qui se traduit par une obsolescence des infrastructures que des rapports d'expertise dénoncent à date régulière et qui ne font l'actualité que quelque jours, quand un drame se produit comme ce fut le cas récemment à Eckwersheim et à Brétigny-sur-Orge .
Ces dysfonctionnements interviennent alors que le rail n'a jamais été aussi menacé qu'aujourd'hui. Au-delà de l'ouverture à la concurrence européenne, ce qui menace le modèle ferroviaire, ce sont des évolutions comme le covoiturage et le transport par bus que le gouvernement vient d'encourager, évolutions qui, comme la courbe du chômage, ne sont pas près de s'inverser de manière significative.
Les Français râlent contre la SNCF car ils savent que leur vie quotidienne en dépend. C'est vrai bien sûr, en période de grèves mais c'est plus vrai encore des multiples dysfonctionnements qui polluent leur vie de salariés jour après jour. Les Français devraient, de ce fait même, au contraire de ce qu'ils font, témoigner de leur solidarité vis-à-vis de la SNCF. Car ce n'est pas cette entreprise qui en est la cause première de leur tracas. Ce sont, à égalité de responsabilité, les syndicats et l'Etat qui sont à l'origine de tous leurs maux.
Une négociation sociale d'importance stratégique est en cours à la SNCF qui doit se conclure avant le 30 juin 2016. Elle porte sur la signature d'une convention collective couvrant l'ensemble du secteur ferroviaire - une première - et sur un nouvel accord d'entreprise qui doit remettre à plat, entre autres, l'organisation du travail. Nul doute que la menace de grèves pendant l'Euro 2016 donne un fort pouvoir de négociation aux organisations syndicales. Mais ce serait un immense gâchis si celles-ci se servaient de celui-ci de manière irresponsable. Elles auraient mieux à faire de négocier durement sur l'accord de gestion prévisionnelles de l'emploi et des carrières (GPEC) qui constitue le principal levier de remise en marche de l'ascenseur social à la SNCF.
Mais l'Etat est au moins aussi coupable que les syndicats de la dégradation de la situation à la SNCF. Vis-à-vis de l'entreprise publique, il fait preuve d'une hypocrisie totale. Il dénonce, à grand renfort de médiatisation, les carences - objectives - de l'opérateur ferroviaire mais il empêche celui-ci de faire les investissements nécessaires à la résolution de ces problèmes. L'Etat est en train de détruire le modèle économique du TGV en imposant des lignes absurdes aux coûts pharaoniques (comme Lyon-Turin par exemple) et des arrêts incessants que des députés en mal de légitimité lui imposent. Et, pendant ce temps, les investissements indispensables à l'entretien et à la modernisation du réseau qu'utilisent les Français tous les jours sont repoussés année après année.
Il faut mettre un terme à cette situation. Si, au lieu de ne pas prendre les décisions et de ne pas signer les accords qui s'imposent, les syndicats et l'Etat prenaient un peu de temps pour se projeter dans l'avenir et ouvraient les chantiers ferroviaires les plus créateurs d'emploi et de croissance économique, ce serait bien mieux.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/021878157038-qui-veut-la-mort-de-la-sncf-1217498.php?izxIT26tpPB1vpDz.99