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La première preuve, l'effondrement économique systématique, (appauvrissement généralisé), de tous les pays se revendiquant d'une politique de gauche dite radicale... (même s'ils refusent de le reconnaître)
Ce qui les conduit invariablement, à fermer leurs frontières pour éviter la fuite de leurs habitants, (leur propre peuple ???).
Heureux comme un communiste...
Syriza, Podemos, Mélenchon : où en est la gauche radicale après la ...
Et même, Miss Le Pen, avec son programme économique de gauche, et son refus de l'Euro, dans les choux...
(les Grecs savent mieux compter que les militants du FN).
Cet accord est en effet un rude coup pour la majorité de Grecs qui s'étaient opposées à de telles conditions lors du référendum du 5 juillet, pour Syriza et son unité, et pour tous les partis de gauche radicale qui en étaient solidaires. Les voilà …
Copain comme cochon...
Je dis "le pognon", mais cet argent, c'est aussi l'organisation du travail et de la productivité des systèmes capitalistes, la responsabilisation du patronat, c'est son premier intérêt, celuis de bien produire pour gagner un maximum d'argent...
(Le licenciement, reste « l’échec » de l'entrepreneur, et non une volonté délibérée comme voudrait le faire croire la gauche)
Notre gauche modérée celle de notre PS s'en accommode très biens des nécessités de productivité et de bénéfices... ( Macron et autres), Tout en disant le contraire, principalement pour raisons politiques électorale...
La gauche radicale, celle que personne ne veut en France, sauf quelques %, elle, continues sont utopie anti-capitaliste tout en sachant qu'elle ne peut pas survivre sans l'argent du capitalisme, (La preuve Grec).
La principale raison des échecs systématiques de cette gauche radicale, c'est sa propension à dire que, ne plus utiliser les systèmes capitalistes de productions "peut" permettre un enrichissement de tous...Dans la réalité, pour le peuple, c'est le nivellement par le bas...
Moralité, (Et oui à gauche, on aime autant l'argent qu'à droite et même, on vote, sur des promesses électorales démagogiques de gauche, juste avec l'espoir d'en en avoir plus et plus facilement...)
Il comptait sur l'argent facile du contribuable Européen
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Tsipras, l'homme qui dit "oui" !
En fait, on n'avait pas affaire à un grand joueur d'échecs. Mais il est finalement difficile de jouer jusqu'au bout les rebelles quand on vit à crédit. Lire
Il avait juste oublié que son pays ne vivait que de l'argent des autres...
Et, que les autres, les contribuables Européens n'étaient pas forcement d'accord...
l'argent du contribuable Européen...
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Le Point L'Observatoire contre l'islamophobie, qui publie ces chiffres, établit un lien direct avec les attentats de janvier contre "Charlie Hebdo" et l'Hyper Cacher. AFP. Publié le 17/07/2015 à 19:48 | Le Point.fr. Les actes islamophobes sont en augmentation ...Il faut bien reconnaitre que les musulmans radicaux font tout pour.
Et, que nos antiracistes, passent leurs journées, par leurs excès, à mettre de l'huile sur le feu...
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Pour ma part, j'étais pour le retour de la Grèce à sa propre monnaie, c'était mérité pour les Grecs et de plus, aurait démontrer l'erreur de vision du FN...
Leur pays s'est enfoncé dans un tel merdier financier et gestionnel , qu'il ne leur restait que deux choix, caribe ou sillas ... (A quand la France ??? Qui risque de quitter l'euro "la queue entre les jambes" chassée par les pays bien gérés)
Ils ont voté pour, une solution de sagesse politique et économique...
Sans autres choix que de se serrer la ceinture avec le peu d'argent que l'Europe va encore leur donner ou, une misère immédiate correspondante au réel de leur économie... (Deux seuls choix, la reforme de leur économie ou la pauvreté des pays sous-développés...)
L'Obs A commencer par celui de l'énergie, Panayiotis Lafazanis, chef de la "plate-forme de gauche", le courant radical de Syriza, anti-euro, qui ne fait que monter en puissance dans le parti depuis le début des négociations et des concessions aux créanciers ...Les populistes vont nous dire Tsipras a agit contre la volonté de son Peuple, il mérite l'élimination, certains diront, la "guillotine" pour trahison, (ceux de notre FN ou les amis de Mélenchon) ...
À première vue oui, mais, si l'on regarde d'un peu plus prêt il a surtout agi contre, la "crédulité de ses électeurs" et contre les raisons qui l'ont fait élire, soit, ses promesses populaires et démagogiques, intenables sans l'argent du contribuable européen...
Une élection "à la Hollande" dont les bases populistes pour lui, (notre Hollande national), était l'élimination de la finance, le super impôt sur les riches, les deux étant supposés résoudre d'un coup de baguette magique les problème de chômage et de dette...
Voir ou nous en somme, plus de taxes pour tous, plus d'impôts pour les classes moyennes, plus de dettes, plus de chômages, plus de pauvres, (nos sans dents), autant de malhonnêteté politique, mais aussi, autant de riches ...
Sont retournement politique, avec Valls et Macron, (obligatoire avant la ruine totale), le même que celui de Mitterrand, mais avec moins de panache... (Nos socialistes l'avaient oubliés se demi-tour économique de Mitterrand...)
Qui va payer pour les Grecs ???, (ceux se disant populistes et ne pouvant rien résoudre d'eux même, (sans l'argent des autres) de ce qu'ils appelent , "la volonté populaire"...Le Figaro LE SCAN ÉCO - Alors qu'un troisième renflouement de la Grèce, de l'ordre de 85 milliards d'euros, a été proposé par les 19 de lane euro, le Parlement grec doit valider les douloureuses mesures d'austérité imposées, en contrepartie, par les créanciers.Cet argent va servir pour partie à rembourser des dettes, et l'autre partie, pour payer les frais de fonctionnement au jour le jour du pays, (salaires des fonctionnaires, retraites, médical, etc.)...
Ce que les Grecs eux-mêmes ne peuvent plus ou ne voulaient plus payer...
Soit, ce qui n'aurait pas pu être payé sans l'accord passé par Tsipras... (n'en déplaisent à ceux qui souhaitaient que Tsipras rejette avec "panache" la solution européenne).
Sauf en monnaie dévaluée... Suivant les prévisionnistes des financiers, autour de 60 % de moins que les salaires prévus en Euro.
dh.be Des échauffourées entre la police et des manifestants armés de cocktails molotov ont éclaté à Athènes mercredi soir à l'issue de manifestations contre le nouveau plan d'aide à la Grèce que le Parlement a adopté. Place Syntagma, où siège la Vouli (le ...Simple manifestation de mauvaise humeur des "Ex convaincus" de Syriza ou vrai mouvement "de fond" populaire ???
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Sauf, s'ils réagissent sainement au problème...
Ou, victoire "stupide" à la Hollandaise ???
De plus, si les Grecs acceptent, il va falloir continuer à payer à fonds perdus.
Décidément, le respect du "citoyen" contribuable, à gauche, il peut être classé dans les grandes utopies socialistes. Ça, tous les "non-croyants" au socialisme le savaient depuis longtemps...
Les démarches "humanitaires" de hollande vers la Grèce n'etant que celle d'un homme ne voulant pas créer un precedent pouvant le toucher directement...
Pour le FMI, la dette de la Grèce n'est pas « viable » et doit être ...
Le Monde Dans ce document, le Fonds assure pourtant que la dette grecque est « totalement non-viable » et prévoit qu'elle approchera les 200 % de son PIB dans « les deux prochaines années », contre environ 175 % actuellement. Elle ne peut être viable « qu'avec ...Bien sûr, reste le vote des Grecs pour accepter cette situation sans grands avenirs ... (sauf pour notre hollande national, qui lui, peut lire dans le problème Grec, son avenir).
Sans vouloir me mettre à leur place, je me mettrais en faillite et je me retirerais de l'Euro, ce n'est pas une monnaie pour gestion approximative...
Mais ça Hollande et ses amis, ne le savent pas.
Pour les Grecs, une mauvaise passe, mais l'occasion de repartir sur de meilleures bases en éliminant toutes dettes... (Les créanciers ont joué, ils ont perdu, c'est la règle ...
Aux contribuables Européens, les grands perdants de régler leurs comptes avec les responsables... Soit, les politiques vivant de leur irresponsabilité...
Le Monde - Après les négociations avec les pays de la zone euro, le gouvernement grec d'Alexis Tsipras doit faire face à la colère au sein de sa coalition et chez ses électeurs. En contrepartie d'un troisième plan d'aide de 82 et 86 milliards d'euros, Athènes s ...Et oui, pour les "basiques", c'est la faute aux "banquiers" ...Dit par un internaute...En parlant de Grecque, ce qu'il ne faut surtout pas oublier, c'est que si la Grèce en est là, c'est tout simplement que les Grecques s'y sont mis.
Il suffisait d'écouter ce que le peuple Grecque disait à la télévision sur les pots de vin, le moindre document ou autre, fallait mettre la main à la poche, le nombre incalculable de fonctionnaire, coup de piston (plutôt de bifton) pour faire entrer la famille.
Bref, un tant soit peu de renseignements de la culture et usages Grecques, et on comprend tout de suite que les Grecques ont creusés leur trou eux-même et que les banques n'ont fait que leur métier de .... banque !
Vaste sujet où l'on pourrait en discuter pendant des jours (pour rien, à mon avis), il ne faut pas mettre tous les pays dans le même panier, ne pas mélanger torchon et serviette.
Il y a une différence monumentale entre un pays ou le peuple subit et ou le peuple est complice et parfois, ou le peuple est pire que son gouvernement ! votre commentaire
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