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Sur le fond, les Grecs n'avaient aucune envie de quitter l'Euro, ni même de reformer leur système, ils paraissent en êtres très satisfaits...
Leurs rêves, c'est juste que le "contribuable" Européen continue à financer "à fonds perdus" leur mode de vie.Vision des 20 % de français qui vivent de nos emprunts d'état...
À méditer, pour tous ceux qui en France vivent des déficits et emprunts de notre état...
Soit, d'être entretenu à vie en nombre et privilèges par le contribuable français en attendant l'européens...
Soit le rêve Grec...
Grec français...
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Pourquoi les racistes sont-ils tous blanc ?
Avec votre pognon, France Télévisions, soutenu par le CSA, lance ces jours-ci une nouvelle campagne contre le racisme. Cette opération, pour la troisième année consécutive et à l'occasion du 14 juillet, la fête du " On est tous Français ", s'appelle " Osons la Fraternité ". Avouez que c'est original, ça nous change de "Osons le clitoris " ou Osons le féminisme " non ? Enfin, bref, par le biais de 4 clips vidéo hyper drôles qu'ils déchirent leurs races, votre télé d'Etat va essayer de vous faire prendre conscience de la stupidité qu'il y a à être blanc raciste. C'est vrai quoi, en 2015 , tout de même !: Osons la fraternité, le vivre ensemble, la diversité, youpi !
C'est chouette ce que des pros arrivent à faire avec notre pognon...A un détail près, tous les affreux nauséabonds de ces petits films sont blancs. On dirait même des souchiens pure souche, non ? C'est-y qu'il n'y aurait que les blancs-blancs pour être racistes ? Je n'ose y croire. Si ? Si !, puisqu'on te le dit et que tu l'as sous les yeux. Les blancs, c'est forcément raciste; pas les autres, pas les maghrébins, pas les noirs, pas les cafés au lait, pas les jaunes, pas les ce que vous voulez ! Les racistes, c'est les blancs. Les racistes, c'est les blancs. Repeat after me: Les racistes, c'est les blancs ! Compris ?Allez, bon dimanche et osez la fraternité, c'est France Télé qui vous invite !Folie passagère 2840.D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr
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Apparemment un accord et pris ???
Sur le fond et "populairement" rien de certain... (à suivre).
Le "peuple", il a bien voté, manifesté, râlé, ( probablement sur commande), contre ces salauds de capitalistes européens qui voulaient leur peau (récupérer le fric prêté), mais, en plus grave, ne plus en prêter...En Europe, les avis sont très partagés à la suite à donner au problème grec, (c'est la démocratie), dans cette démocratie européenne, je fais un constat, les pays qui respectent leurs contribuables sont pour la sortie de la Grèce, ceux qui, n'en n'ont rien à foutre de leurs contribuables et sont presque dans la même situation sont pour continuer à payer ...
Je ne parlerais ni de la position de Mélenchon ni de celle FN, la démocratie et le contribuable sont leur dernier souci...
Ne pas se faire d'illusions l'argent prêté est perdu et, les Grecs ne veulent pas changer leur mode de vie, c'est leur droit le plus strict, (démocratie également).
Le grand problème des Grecs. Il faut du fric pour faire tourner la machine à corruption...
Si Tsipras tien sa parole, (ce que je doute, il ne l'a pas tenu vis a vis de ses électeurs), ce pauvre peuple grec, presque mourant de faim (de 4 à 6 milliards d'Euros retirées des banques en quelques jours, et ce, sans parler de ceux qui avaient déjà fui le pays, récupéré rapidement par les plus riches et les plus corrompus)...
Quoi qu'il arrive, ce pauvre peuple grec, il va bien falloir qu'ils révisent son mode traditionnel de vie :
Finis, les petites combines sociales si sympathiques payé par le contribuable européen ...
Pour les plus gros, finis les petites et grosses combines de TVA travail au noir et autres joyeuses magouilles commerciales ...
Pour les politiques finis la corruption facile et presque officielle sous financement européens...
C'est sûr, ça va être dur pour nos pauvres grecs...
Autres grands cocus si la Grèce échoue ou même, gagne dans sa demande de pognon, (et non le contraire), notre Mélenchon national et ses copains du FN qui rêvaient du grand jour de la mort de l'Europe et de l'Euro...
Même si La Grèce quitte l'Euro, l'Euro continuera à vivre, mais restera en suspens, pour la simple raison que la France et l'Italie en sont les deux gros points faibles, le premier, tout comme la Grèce, incapable de se reformer et l'Italie très endettésPS, j'aime biens les commentaires de ceux qui disent que l'Europe n'est pas démocratique en refusant la position des Grecs ???
Mais ce que veut la Grèce ce n'est pas un problème de démocratie, c'est juste l'argent de l'Europe pour pouvoir continuer "ses traditions" de petites et grandes combines ...
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On n'a pas fini de rigoler et de payer...
« Ne jamais croire un Grec, surtout s’il t’amène un présent. » Ces mots tirés de l’Énéide, déposés par Virgile dans la bouche de Laocoon qui ne voulait pas laisser entrer le cheval de Troie, sonnent comme un avertissement. Ne jamais croire un Grec… Cet Alexis Tsipras est apparemment un grand malin, un manipulateur professionnel qui a appris à mentir pendant sa rude formation aux Jeunesses communistes, le dernier parti stalinien d’Europe, mais c’est aussi un fin politicien doublé d’un metteur en scène médiatique de talent. Le voir faire chanter les dirigeants européens, les faire danser le sirtaki, les faire monter au cocotier comme des chimpanzés apeurés, les rudoyer devant son peuple hilare… c’est du grand art ! Jean-Luc Mélenchon, l’homme qui adore admirer ses propres incantations, l’a reconnu comme l’un des siens, et Hugo Chavez, qui a eu le temps de ruiner son pays avant de mourir, l’aurait certainement adoubé.
Fin de l'horreur, horreur sans fin
Voyons de plus près ce scénario du retour à la drachme : pendant une dizaine d’années, les Grecs se sont gavés d’euros en empruntant à tout-va quasiment au même taux que les Allemands, consommant plus de 200 milliards d’euros entre 2001 et 2010 et triplant leur dette publique pour la porter à 350 milliards. Or la Grèce est un petit pays de 11 millions d’habitants dont le PIB atteignait alors à peine 230 milliards. Lorsque les Européens se sont aperçus du désastre, en 2011-2012, ils ont fermé l’open-bar, puis ont commencé par annuler 100 milliards de créances, mais ont continué à subventionner le pays pour l’aider à s’en sortir. Sauf qu’ils n’ont pas su obtenir, en échange, la moindre réforme sérieuse. Tsipras sait que la Grèce ne remboursera jamais le tombereau de dettes, même quelque peu aminci, que ses prédécesseurs lui ont laissé. Ses concitoyens, eux, ayant « le choix entre la fin de l’horreur et l’horreur sans fin » (proverbe allemand), la faillite devenait inévitable. Autant l’organiser.
Trésor de guerre
C’est là où le scénario devient absolument passionnant selon l’économiste Charles Gave, qui, le premier, a flairé le pot aux roses en réfléchissant à partir de l’adage bien connu : si vous devez 100 000 euros à votre banquier, vous avez un problème. Si vous lui devez 200 ou 300 milliards, c’est lui qui a un problème ! « La BCE est donc, dit-il, dans une situation où elle perd si elle arrête les financements, car cela forcerait la Grèce à sortir de l’Europe, et elle perd aussi si elle ne les arrête pas. » Alexis Tsipras, la décontraction hautaine et le sourire narquois, pendant qu’il occupe les médias avec des sautes d’humeur surjouées et qu’il amuse la galerie européenne, organise en sous-main la constitution d’un trésor de guerre que les autorités internationales ne pourront pas saisir. Charles Gave : « Logiquement, il aurait dû installer, comme à Chypre, des contrôles des changes, des contrôles des capitaux et que sais-je encore pour garder le peu de devises qu’il avait. Or, qu’est-ce que je constate ? Les déposants grecs peuvent librement transférer de l’argent de leur compte en Grèce à n’importe quel compte étranger [à leurs cousins en Australie, en Allemagne ou aux USA…], ou, s’ils n’ont pas de cousin, ils peuvent transformer leurs dépôts en billets de banque et les garder chez eux. »
Calendes grecques
Pendant que les médias audiovisuels européens, à voir les mines déconfites de leurs commentateurs à la langue de bois longue comme un jour sans pain, se délectent des malheurs supposés de « ces pauvres Grecs qui n’ont plus rien à manger puisqu’ils n’ont pas de quoi payer leurs achats, les distributeurs automatiques étant vides ou fermés », et pendant que tout ce que Paris compte de trotskos et de bobos se rue sur les antennes d’État et les chaînes d’info pour se plaindre des gémissements télévisés du petit peuple d’Athènes, pendant ce temps-là, donc, le trésor de guerre se constitue petit à petit, dans la coulisse. La masse monétaire grecque s’effondre officiellement. En réalité, une grande partie de cette masse monétaire s’est déjà déversée aux États-Unis, en Allemagne, en Australie et en lieu sûr, dans des coffres ou des boîtes à chaussures. Cela fait longtemps, plus de deux mille ans, que dure cette comédie, plus précisément depuis l’an 45 avant Jésus-Christ, lorsque Jules César inventa le calendrier romain. Les calendes désignaient les premiers jours de chaque mois, pendant lesquels les débiteurs devaient payer leurs dettes. Les Grecs étaient connus pour payer leurs dettes « aux calendes grecques ». En France, on dirait « à la saint-glinglin » !
Le sale gosse de l’Europe
Ce gros malin de Tsipras, qui sait s’y prendre pour jouer le sale gosse de l’Europe et faire peur aux petits marquis poudrés de la nomenklatura bruxelloise, a tout intérêt à faire durer le plaisir avant de déposer le bilan de son pays : tant que la Banque centrale européenne réescompte les bons du Trésor qui lui sont présentés par les banques commerciales grecques, la machine à augmenter le trésor de guerre souterrain peut continuer à fonctionner. Quand la musique s’arrêtera comme sur le Titanic, la Grèce fera défaut sur 300 milliards, dont une grosse partie – on parle de 100 milliards d’euros avancés par la BCE à la Banque centrale de Grèce – se retrouvera dans des coffres-forts en Grèce ou en dehors du pays. Et quand on reviendra à la drachme, qui perdra aussitôt 50 % de sa valeur initiale, l’économie locale « repartira comme une fusée » avec un énorme afflux de devises et de touristes du monde entier, lesquels débarqueront en masse après cette fabuleuse et gratuite campagne de publicité et paieront leurs vacances en Grèce deux ou trois fois moins cher qu’en Espagne, en Italie ou en France.
Alexis Tsipras, qui a sans doute, en plus, trafiqué les résultats de son référendum/plébiscite lancé à la va-vite pour ne pas avoir d’observateurs étrangers sur le dos – de toute façon, « les dindes votent rarement pour Noël » (proverbe américain) –, n’aura plus alors qu’à se rapprocher de Poutine, Obama et Xi Jinping. Avec le Russe Poutine pour lui acheter une île et une grande base militaire face à la Turquie ainsi que le passage d’un oléoduc. Avec l’Américain Obama, qui est prêt à payer pour que la Grèce reste dans l’Otan. Avec le Chinois Xi Jinping, déjà propriétaire du port d’Athènes, pour lui vendre d’autres ports et quelques concessions diverses. Il pourrait même chercher à s’entendre avec les Européens pour reporter sa dette aux calendes grecques ! Quel scénario ! On va très vite savoir si ces Grecs nous ont roulés dans la farine. S’il y a bien une chose qu’ils savent faire, c’est mener les gens en bateau. Leurs armateurs sont les meilleurs et les plus malins du monde depuis la nuit des temps. L’épée du Grec Damoclès flotte maintenant au-dessus de l’Europe…
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Je parle beaucoup de la Grèce, cela ne correspond pas à la vocation de mon site...
Pourtant, quand je vois notre gauche soutenir la Grèce au détriment du contribuable français, (on a l'habitude), mais aussi contre le contribuable européen, (lui, il a plutôt l'habitude d'être protégé par ses élus contre les abus fiscaux)...
De sentir un gouvernement qui ne se rend pas compte ou, ne veut pas se rendre compte qu'il même la France vers les mêmes problèmes que la Grèce...
"Notre" FN avec son programme économique, en tain de proposer à ses "amis" de "continuer" à vouloir prendre la même direction que la Grèce, en nous disant que, "Tsipras", et un grand homme politique qui va changer la face du monde et sauver le peuple de la dictature "supposée" des banquiers, de l'Euro et de l'Europe ...
Sans parler de celle des Américains en proposant le "libéral " Poutine ???
Plus, celui de la CGT et ses assimilés, qui a coûté à la France, des millions d'emplois + des charges sociales les plus hautes du monde, (avec un résultat des plus moyens du fait de la gestion "Cégétistes" de notre social).Je ne peux m'empêcher de faire des comparatifs des plus négatifs...
Le Figaro - LE SCAN POLITIQUE - La vice-présidente des Républicains, qui pointe le caractère «impossible» d'Alexis Tsipras, ne souhaite pas que «celui qui gueule le plus fort ait gain de cause sur tout». < Envoyer cet article par e-mail. X. Envoyer à : Séparez les ...
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