• Pourtant, c'est ce qu'ils font avec le nôtre...

     

    Pourquoi nos politiques, saboteraient-ils leur avenir ???

     

    Nouvelle alerte de la Cour des comptes sur les finances publiques

    Le Figaro  
    Didier Migaud, le premier président de la Cour des comptes, en février (Jean-Christophe MARMARA/ Le Figaro). Dans leur rapport annuel sur la situation et les perspectives des finances publiques, les magistrats de la rue Cambon préviennent que la baisse ...
    Finances publiques : la Cour des comptes s'inquiète d'un relâchement
    La Cour des comptes agace le gouvernement
    Réduction du déficit public : c'est pas gagné !
     
     
     

    Pourquoi nos politiques, saboteraient-ils leur avenir ???

     
     
     
    À gauche, ils sont incapables de réduire les dépenses publiques, ou plutôt, électoralement, ils ne veulent pas...
     
     
    Pourtant, économiquement, c'est devenu une obligation.

     

    Pourquoi nos politiques, saboteraient-ils leur avenir ???

     

     
    Mais voila, le grand problème, ils en vivent tous, président, ministres, députés, sénateurs, syndicalistes, ils sont tous issus de la fonction publique et y reviendront en cas d'échec...


    Ils ne vont quand même pas saboter leur seul avenir...


    D'autant plus que c'est le contribuable, vous, nous qui payons, contant ou pas...
     

    Pourquoi nos politiques, saboteraient-ils leur avenir ???



    Que, (nos impôts, taxes et charges sociale, les plus élevés du monde étant insuffisants), pour le maintien de leurs trains de vie.
     
     Ils empruntent sans retenues au nom de nos enfants...


    J'en suis à me demander, quelle punition légale et automatique, il faudra imaginer pour que ces gens se sentent responsables de leurs actes délictuels...
    Sur le fond et "en justice", ce qu'ils font, s'appel "abus de biens sociaux"... 
     
    Soit le pillage des ressources "présentes" et, "à venir" de notre pays par quelques privilégiés généreusement rémunérés par l'état ...  
     
    Non, pas les entrepreneurs, eux ils produisent et, ils ont le "risque"...
     
    Mais par les quelques 6 / 7 millions de personnes vivant et surtout profitant de la générosité, (entre amis et complices), de notre état.

    Ou encore, escroquerie en bande organisée. Et ça, ils semblent l'ignorer.
     
     Pourquoi nos politiques, saboteraient-ils leur avenir ???

     

     
     
     
     
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  • Si on parlait d'autre chose ...

     
    Tout comme du problème Grec pour camoufler les errements de la politique économique et socialiste française... OU ...
     
    Enfumage à tous les étages...
     
     

    6 369 300 chômeurs ... Est le bien venu, le "faux scandale" des ecoutes americaines...

     
      
    Dépenses publiques, austérité et fonctionnaires... Didier Migaud tire la sonnette d'alarme
     
    A lire en fin... 
     
    Mais à gauche, noyés qu'ils sont dans leurs certitudes utopiques, ils s'en foutent...
     
     
    A fin mai 2015, toutes catégories de chômeurs confondues, la France, Dom-Tom compris, compte:
      
    6 369 300 chômeurs !!! Ce n'est plus le problème de Hollande.
     
    Il paraît, a dit le gars qui nous sert de ministre du travail, que les chiffres de mai étaient à prendre avec des pincettes car il y aurait eu un problème sur le nombre d'actualisations considéré comme relativement faible, ou fort, ou, on ne sait plus trop, enfin bref, quoiqu'il en soit: la France compte désormais et durablement plus de 6 369 300 chômeurs !
     
    Et pendant ce temps-là, les gens qui nous gouvernent actuellement nous font une petite colère parce que la NSA les a espionné, Ségolène Royal joue avec des vignettes de couleurs et s'en prend au Nutella, Fabius, en visite en Israël, se fait jeter par Netanyahu, Président inaugure à tour de bras ou se fait mousser à Bruxelles, Le Foll et Rebsamen nous prennent pour des cons, l'hystérique de Matignon continue de distribuer des coups de mentons...
     

    6 369 300 chômeurs ... Est le bien venu, le "faux scandale" des ecoutes americaines...

     
     
     Salaud d'américains, ils font mieux que nous en écoutes...
     
    Alors comme cela, les méchants américains écoutaient nos trois derniers présidents ainsi qu'une partie de leurs collaborateurs??? Quelle surprise...
     
    Le scandale a éclaté hier en fin de journée avec la publication par Médiapart et Libération d’extraits d'écoutes fournis par Wikileaks. Et aussitôt tout le monde de s'en indigner. Président réunit ce matin un conseil de défense extraordinaire, c'est dire s'il n'est pas content et si il prend la chose au sérieux. Le Foll va sur Itélé pour dénoncer ces pratiques intolérables et tous les médias s'emballent, chacun livrant une petite info dénichée, comme par hasard, depuis hier. Libération nous montre les fenêtres de l’ambassade US dont certaines seraient en fait des fenêtres en trompe-l’œil masquant en réalité des antennes et autres micros.
     
    Et tous ces gens de s'indigner. Quoi, nous aussi sommes écoutés par nos alliés, mais c'est dingue, fou, inadmissible. Heu... Les gens, quand il y a deux ans, on découvrit que Angela Merkel subissait le même sort, cela ne vous a pas mis la puce à l'oreille ? Angela serait écoutée par les Ricains et pas nos huiles gouvernementales ? T'as qu'à croire ! La bonne question serait de savoir ce que nos dirigeants ont fait pour mieux se protéger depuis l'affaire " Angela "...
     
    Bon okay, il paraît qu'ils auraient arrêté rapidement d'écouter Président, normal: juste le temps de s'apercevoir de la vacuité du bonhomme et de passer à d'autres cibles. Mais une question demeure cependant: Les Américains ont-ils su, avant Closer, pour le scooter, les croissants et jolie-Julie ? 
     
     

    6 369 300 chômeurs ... Et le bien venu, "faux scandale" des ecoutes americaines...

    Pour être ridicule, pas besoin des écoutes ...

     
     
    Pour la bonne bouche, en "nullité" gouvernementale:  et, pas que de la faute à Hollande, L'informatisation de nos administrations... 
     

    6 369 300 chômeurs ... Et le bien venu, "faux scandale" des ecoutes americaines... 

    "Bordeliques" et inutilisables, nos programmes informatiques publics

     

    Ou le savoir faire "français et informatique", bien entendu "celui concocté par nos administrations" donc, financé par le con-tribuable...

     

    Pas celui de ceux partis, "dégoutés", voir en Californie si les ordinateurs sont plus compatible avec leur vision de l'utilité informatique)...
     
     
    Apparemment, informatisation et administration restent incompatible principalement avec la volonté administrative de tout compliquer... (Faut bien justifier son surnombre)
     
    Pour un ordinateur 1+1 = 2 et non 3... Principe universel, sauf pour l'administration française...
     
    http://www.contrepoints.org/2015/06/25/212047-linformatique-et-ladministration-ca-fait-vraiment-10
     
     À chaque fois, on aura multiplié les pompes, grandioses, les mobilisations du public ou des médias, mais décidément, les plus coûteux ne sont pas ces occasions-là. De loin, les enterrements les plus coûteux furent ceux des logiciels dont l’État voulait se doter pour simplifier sa tuyauterie administrative. C’est donc à une petite rétrospective que je vous convie ici.

    Et si les grandes entreprises privées modernes sont, informatiquement parlant, à la pointe du progrès, n’hésitant jamais à dégoter des idées géniales, à faire appel à du big data et à parfois claquer des millions en technologies avant-gardistes, en centres de calcul surpuissants et en méthodologies de développement agiles et souples, lorsqu’on parle d’informatique et de services de l’État, il sera difficile de se débarrasser de cette idée d’un marécage boueux et collant de technologies disparates, dépassées, de tubulures complexes et fragiles et d’une immonde série de processus antédiluviens que personne n’osera remettre à plat tant les connaissances attachées à ces processus ont disparu avec le départ en retraite des fonctionnaires à leurs origines.

    De ce point de vue, on aura même tendance à confirmer cette impression avec les expériences plus ou moins douloureuses d’informatisation dans certains domaines, comme le RSI par exemple, à tel point que certains parlementaires en sont à demander une remise à plat complète, ou plus général encore, Pôle Emploi lorsqu’il s’est agi de fusionner l’ANPE avec les ASSEDIC. À chaque fois, le résultat fut rocailleux, pour le dire gentiment, et les usagers en subissent encore les conséquences, parfois graves, de nos jours.

    informatique du RSI

    Difficile aussi de passer sous silence l’incroyable aventure de Louvois, l’applicatif dont l’objectif était au départ de gérer l’ensemble des soldes des militaires français, et dont le développement aura rapidement dépassé toutes les prévisions budgétaires pour aboutir à une facture finale de plus de 480 millions d’euros, dénoncée par une Cour des Comptes frôlant l’apoplexie. Un petit demi-milliard d’euros auquel devront s’ajouter une ribambelle de millions d’euros pour les trop-perçus, les erreurs de soldes, les coûts de corrections et de dysfonctionnements qui ont coûté à la Défense entre 150 et 200 millions d’euros par an, c’est-à-dire peu ou prou l’équivalent des économies permises par les réductions d’effectifs que le logiciel aurait dû permettre. Et pompon de l’affaire, Louvois étant déclaré incorrigible, le ministre de la Défense a finalement jeté l’éponge et enterré, purement et simplement, le monstrueux logiciel. Ce n’est pas grave, c’est l’État qui paye, n’est-ce pas.

    Bien évidemment, le problème initial (celui du calcul des soldes militaires) n’étant donc pas résolu, il a fallu remettre en chantier un nouveau logiciel. Rassurez-vous, la facture s’établit pour le moment à 128 millions d’euros (ce n’est pas grave, c’est l’État qui paye), et la nouvelle application sera réalisée par SOPRA, qui vient de fusionner avec STERIA, la fine équipe qui avait produit la précédente performance artistique. Forcément, tout va bien se passer.

    Et puis tant qu’on est dans les logiciels de paie, il serait dommage de ne pas mentionner l’Opérateur National de Paie (ONP), developpé par le consortium Accenture-Logica-SOPRA. Ce progiciel fabuleux devait gérer la paye de 2,5 millions de fonctionnaires à partir de 2017. Je dis « devait » parce qu’après avoir investi des centaines de millions d’euros depuis 2007, l’État a décidé, là encore, d’enterrer ce projet, en l’annonçant le 4 février dernier aux 500 personnes mobilisées à temps plein sur le dossier. L’objectif de l’ONP, qui était de réaliser 190 millions d’euros d’économies par an, se traduira donc par un trou. Et quel trou ! Le naufrage de ce logiciel-ci s’établit mollement autour de 346 millions d’euros, en pure perte donc. Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas grave, c’est l’État qui paye.

     

    6 369 300 chômeurs ... Et le bien venu, "faux scandale" des ecoutes americaines...

    Le bug prévisible de l'incompétence...

     

     

     
    Soit juste trois des milliers de  raisons de notre chômage, et de nos emprunts d'état, à la Grec...
     
    Enfin, pour couper court, du bordel ambiant, les raisons...
     

    6 369 300 chômeurs ... Et le bien venu, "faux scandale" des ecoutes americaines...

     

    Dépenses publiques, austérité, fonctionnaires... Didier Migaud tire la sonnette d'alarme

    INTERVIEW Désabusé, le premier président de la Cour des comptes déplore l'inertie de l'Etat et l'augmentation continuelle des dépenses publiques.

    Un peu désabusé. A 63 ans, Didier Migaud, premier président de la Cour des comptes depuis cinq ans, déplore l’inertie de l’Etat, qui ne se réforme pas et continue d’augmenter les dépenses publiques. A la tête d’une armée de 750 fonctionnaires, qui dénonce les gaspillages de l’argent public, il se définit comme un « lanceur d’alerte » face à l’indifférence des politiques.

    Le dernier rapport de la Cour sur les finances publiques est sévère. La France est-elle le mauvais élève de l’Europe?

    Le déficit, à 4 % du PIB, s’est légèrement réduit en 2014 (de 0,1 point). C’est mieux que ce qui avait été annoncé en septembre (4,4 %), mais moins bien que l’objectif de la loi de finances initiale (3,6 %). En dépit des efforts réalisés, la France reste dans une situation plus déséquilibrée que la moyenne de l’Union européenne (UE), et sa dette s’alourdit.

    L’Etat doit-il aller plus loin pour réduire les dépenses?

    Jusqu’à présent, l’effort a surtout consisté en une augmentation des prélèvements obligatoires. Il est prévu qu’il porte sur la dépense, avec un objectif plus ambitieux pour 2016 et 2017. La France arrive au deuxième rang de l’UE pour le poids des dépenses publiques, alors que les résultats de ses politiques publiques la mettent rarement sur le podium. Il est possible de stabiliser la dépense sans remettre en cause la qualité des services publics.

    Donc il n’y a pas d’austérité en France…

    Depuis 2010, la dépense publique a continué d’augmenter, à un rythme certes ralenti, alors qu’elle a diminué chez nos voisins (hors inflation). Dans d’autres pays (Espagne, Portugal, Grèce…), on peut effectivement parler d’austérité. Il est difficile de qualifier ces situations distinctes avec le même terme !

    Le gouvernement a annoncé une revalorisation des salaires des fonctionnaires. Les frais de personnel vont-ils déraper?

    La politique mise en œuvre depuis 2013 conduit à une augmentation tendancielle des dépenses de personnel de l’État de l’ordre de 700 millions d’euros par an. Or le gouvernement s’est fixé l’objectif d’une progression de seulement 200 millions. Cela ne laisse pas de place pour des dépenses supplémentaires.

    Est-il nécessaire de réduire le nombre de fonctionnaires?

    Ce n’est pas à la Cour d’en décider. Nous ne sommes pas dans un gouvernement des juges ! En revanche, nous disons si les objectifs du gouvernement sont tenables, et à quelles conditions. L’État peut agir sur le nombre de fonctionnaires, les rémunérations, le temps de travail, la politique d’avancement… C’est à lui de choisir… ou de revoir ses objectifs.

    Vous critiquez souvent les investissements publics, notamment des collectivités locales. Pourquoi?

    L’investissement public (4,5 % du PIB) est plus élevé que chez nos voisins. Mais certains projets ne sont pas pertinents. La Cour l’a montré sur la grande vitesse ferroviaire ou sur des investissements de collectivités territoriales, comme deux stations d’épuration mitoyennes ou deux aéroports locaux distants de seulement 50 kilomètres… Un investissement n’est pas vertueux en soi. Son efficience doit être évaluée dès l’amont et la décision doit en tenir compte, ce qui n’est pas suffisamment le cas.

    Sur les dépenses, vous dénoncez la « politique du rabot » de l’État…

    Là où nos voisins ont engagé une véritable réflexion, la France comprime trop souvent les dépenses de façon uniforme, sans s’interroger sur les missions de l’Etat ou examiner leur articulation avec celles des collectivités locales. À la longue, cela a des effets négatifs et affecte le moral des gestionnaires publics.

    La France a-t-elle un problème culturel avec la dépense publique ?

    Il faudrait cesser de raisonner uniquement en termes de moyens. En matière d’éducation nationale, par exemple, mettre fin à la dégradation de nos résultats n’est pas qu’une question de crédits, mais surtout d’organisation, de fonctionnement et de répartition des moyens existants. Même chose pour la formation professionnelle (32 milliards d’euros) : ceux qui sont le plus éloignés de l’emploi sont ceux qui en profitent le moins !

    Qui vous écoute ?

    L’opinion publique semble de plus en plus consciente que l’on ne peut pas augmenter indéfiniment la dépense sans s’intéresser aux résultats des politiques menées. La Cour est une sorte de lanceur d’alerte institutionnel. Ses travaux servent le débat public. Ensuite, ce sont les pouvoirs publics qui décident.

    Vous avez recommandé la fermeture de certains organismes publics inutiles. L’Etat ne vous a pas suivi…

    Nous avons proposé de fermer certaines structures devenues inutiles, comme la chancellerie des universités de Paris ou la Sovafim. Mais l’État a préféré les maintenir…

    Comment l’expliquez-vous ?

    Il y a toujours quelqu’un qui bénéficie de 1 euro d’argent public, même mal dépensé !

    Propos recueillis par David Bensoussan, Thierry Fabre et Ghislaine Ottenheimer

     

    6 369 300 chômeurs ... Bien venu, le "faux scandale" des ecoutes americaines et autres enfumages...

     

     

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  • La colère gronde au sein de Syriza en Grèce

    Boursorama  
    Elu en janvier sur la promesse de mettre fin à cinq ans de politiques d'austérité, Alexis Tsipras a pourtant devant lui la tâche délicate de convaincre son parti, Syriza, d'accepter son programme de réformes, qui prévoit entre autres un recul de l'âge ...
    Vous avez indiqué être intéressé par SYRIZA. Cela ne m'intéresse pas.
    Début de fronde parmi les élus de Syriza en Grèce
    Alexis Tsipras de retour à Bruxelles, début de fronde au sein du parti ...
     
     
    C'est de plus en plus évident les Grecs ont voté "très" à gauche de plus, soutenu par leur équivalent de notre FN, juste avec l'espoir de ne plus rembourser leur dette et de pouvoir continuer à vivre et prospérer avec l'argent des autres...

    L'argent des autres, une tradition de gauche en train d'être reprise par notre FN...
     

    Contrairement à ce que la gauche, la nôtre comme la leur, dit: ce ne sont pas les pauvres qu'ils cherchent à protéger, ce n'est qu'eux-mêmes, (les fonctionnaires Grecs et français), et leurs avantages sociaux à vie...

    La gauche et le FN + l'argent des autres, mêmes visions politiques, la meilleure pour être élu.

    Caviar à volonté...

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  • Grèce : "le mot austérité n'est pas approprié", selon Trichet
    L'ancien président de la BCE a expliqué que ce qui se passe en Grèce et qui est qualifié d'austérité, "c'est le retour progressif, ordonné à l'équilibre". Lire

     

    Enfin une utilisation du mot "austérité" sans les abus de langage "politiques" de la gauche ou du FN...

     

    Le mot "austerité", nos politiques devraient l'utiliser avec plus de réserve...

     

    Le mot "austérité" n'existe pas pour un économiste, ou alors, il signifie, "avoir des dépenses publiques correspondantes à l'économie réelle du pays."


    Raisonnement valable pour la France et tous les pays endettés, soit, "l'austérité" demandée par les économistes, (les vrais, pas les utopiques recrutés et salariés par nos politiques)...

    Le mot "austerité", nos politiques devraient l'utiliser avec plus de réserve...



    La signification réelle de ce mot ce n'est pas: priver le citoyen de son niveau de vie, mais l'adapter aux réalités économiques du moment... 



    "Austérité", c'est devenu un mot utilisé par nos politiques "irresponsables" pour dire, nous, si vous nous élisez, nous continuerons à dépenser l'argent que nous n'avons pas... Après nous, la fin du monde les autres se démerderont avec les dettes que nous avons faites.

     

    Le mot "austerité", nos politiques devraient l'utiliser avec plus de réserve...



    C'est pourtant simple et crédible, tous vous le savez, même les plus utopiques, beaucoup plus que les bavardages de nos politiques irresponsables...
     

    Tous nos hommes politiques actuels sont des utopiques, juste la droite modérée, (pas le FN), l'est un peu moins que les autres... (Leurs électeurs étant les payeurs des utopies politiques gauchisantes).

     

    Le mot "austerité", nos politiques devraient l'utiliser avec plus de réserve...

     

    http://www.contrepoints.org/2015/06/23/211904-uberpop-localisation-des-radars-sur-facebook-quand-letat-pousse-a-la-clandestinite

    Tout ce développement est finalement assez prévisible : plutôt que choisir l’adaptation, l’État, faible avec les forts, transige devant eux, plie, s’aplatit et devient leur petit commissaire en charge de lui réorganiser le marché pour que tout revienne dans l’ordre précédent (par nature pourtant impossible à rétablir).

    Et comme il est faible avec les forts, il sera, à l’opposé, fort avec les faibles. Rien de tel que cogner sur les automobilistes qui ont le mauvais goût d’essayer de se sortir du chômage ou des fins de mois difficiles en faisant un travail honnête et qui ne vole personne (leurs clients, dégoûtés des exactions de ces médiatiques taxis, leur sont définitivement perdus).

    Et tant qu’à être fort avec les faibles, et pour regarder la même catégorie de faibles, il s’en prendra aussi à ces automobilistes qui ont eu l’impudence de signaler les radars sur Facebook. On se souvient en effet que plusieurs membres d’un groupe Facebook donnant la localisation des radars en Aveyron avaient été condamnés en première instance pour « soustraction à la constatation des infractions routières », ce qui était, on en conviendra, une application assez extensive de l’esprit de la loi ; après tout, si on prévient qu’un radar est positionné à un endroit donné et que l’automobiliste ralentit en conséquence, il n’y a pas, par définition, infraction routière, et dès lors, impossibilité de la constater. En outre, l’effet obtenu (la réduction de vitesse aux endroits signalés) est officiellement le but poursuivi par ces radars …

    Évidemment, si le but est de rançonner les automobilistes, on comprend la hargne dont font preuve les autorités qui n’ont plus l’occasion d’embusquer le contribuable sur les routes de France. Le groupe de condamnés avait fait appel et la décision de la Cour d’Appel de Montpellier a été mise en délibéré au 21 septembre prochain.

    Or, tant dans le cas d’Uberpop que dans ce cas ubuesque de localisation des radars sur Facebook, on sent comme un petit souci se profiler à l’horizon.

    En s’agitant rageusement comme il le fait, l’État, par défaut d’action, par une action illisible, ou par action claire contre les réseaux sociaux, va criminaliser progressivement Uberpop ou les citoyens attentifs aux radars. Petit-à-petit, il n’obtiendra qu’une seule chose : les pousser à la clandestinité

     

    Le mot "austerité", nos politiques devraient l'utiliser avec plus de réserve...

     

     

     

     

     

     

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  • Mais pourquoi les français trichent ??? 

     

    (Question "jamais posée" par nos gouvernants)... 

     

    Le pognon du niveau de vie de notre état, de ses politiques, fonctionnaires et assimilés...

     

    Peut être pas sans bonnes raisons...

     

     

    Le "pognon" du niveau de vie de notre état, de ses politiques, fonctionnaires et assimilés...

     

    Les fraudes fiscales et sociales ont (encore) progressé en 2014

    L'administration a procédé en 2014 à des redressements fiscaux de 15,3 milliards d'euros de droits, assortis de près de 4 milliards de pénalités, et à 852,6 millions de redressement pour fraude sociale. Bercy. NICOLAS MESSYASZ/SIPA. Partager sur ...

    La lutte contre les fraudes fiscale et sociale a rapporté près de 20 ...La Voix du Nord

    La lutte contre la fraude fiscale a ramené 19,3 milliards d'euros en ...20minutes.fr

    Éditorial :La lutte contre la fraude fiscale et sociale, un très bon filon pour l'EtatCapital.fr

    Articles de fond :La lutte contre la fraude a rapporté gros à l'Etat en 2014Le Figar

     

    Le pognon du niveau de vie de notre état, de ses politiques, fonctionnaires et assimilés...

     

     

    Le résultat... (hautement prévisible)

     

     

    Le pognon du niveau de vie de notre état, de ses politiques, fonctionnaires et assimilés...

     

     

     

     

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