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Les illusions battaient alors leur plein chez les tenants de la gauche populiste de toute l’Europe, y compris chez le militant du FN pour qui la victoire du « non » allait changer en faveur de Tsipras le rapport de forces au sein de la zone euro. Ils négligeaient ainsi un peu trop vite que le résultat du référendum n’engageait en rien les autres pays membres de cette zone.
Juste bon à ça...
Pour le FN, c'était principalement l'espoir de voir l'écroulement de l'Euro et la victoire de "Poutine" comme sauveteur de la Grèce ...
Pas fou Poutine, il avait bien compris quel était le problème des Grecs... De Plus ses fonctionnaires et retraités sont moins bien lotis que ceux de la Grèce.
Idem pour elle...
Pourquoi, en effet, le vote des Grecs engagerait-il les contribuables finlandais, autrichiens ou allemands, qui ne sont pas prêts à maintenir la Grèce sous perfusion sans qu’Athènes accepte d’entreprendre les réformes qui rendraient l’économie grecque compétitive et le budget de l’État viable ? Pourquoi les Slovaques, les Lettons ou les Lituaniens, dont le PIB par tête ainsi que leurs retraites sont inférieurs à ceux de la Grèce, devraient-ils se serrer la ceinture pour aider à entretenir en Grèce une administration hypertrophiée connue pour son inefficacité et un système de pensions qui n’arrive pas à s’autofinancer ?
Pourquoi les Irlandais, les Portugais ou les Espagnols devraient-ils soutenir la demande de Tsipras d’une réduction de la dette publique grecque, alors qu’ils sont arrivés à mettre en œuvre des réformes qui portent leurs fruits, tout en respectant leurs obligations financières ?
Extrait de: http://www.contrepoints.org/2015/07/24/215269-la-grece-et-le-desarroi-de-la-gauche-populiste
Qui décemment, voudrait payer sans compensation, mis à part des irresponsables ou des rêveurs...
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"Les abatteurs n'ont pas joué le jeu
Dans son rapport, le médiateur montre que les abattoirs ont bien augmenté leur prix d'achat aux éleveurs, mais sans aller jusqu'aux cinq centimes prévus par l'accord. Dans un tableau détaillant l'évolution des prix de la viande de vache à l'entrée des abattoirs auprès des dix plus gros abatteurs français, il constate que la hausse des prix est minime.
Par exemple, pour "l'abattoir A", elle passe de 3,94 euros le kilo de carcasse la première semaine à 3,99 euros pendant deux semaines, puis reste à 4,03 euros les semaines suivantes. Francis Amand observe que la cotation moyenne a augmenté de 10 centimes d'euros par kilo, alors que les engagements pris devaient aboutir à une hausse de 20 centimes sur le dernier mois.
Le rapporteur explique aussi que les abatteurs se sont concentrés dans un premier temps sur les "seules races à viande", au détriment des vaches laitières de réforme. Ces dernières sont des vaches écartées du troupeau après quelques années de production laitière, pour être abattues pour leur viande.
En revanche, le document montre que la hausse des prix a été respectée dans le secteur de la viande porcine, même si ce prix permet de couvrir les coûts, mais pas forcément de faire des marges suffisantes pour rembourser des emprunts."
Beaucoup d'abattoirs sont communaux ou régionaux, (subventionnés par nos impôts, car souvent à perte) ???
Voir également du coté syndicale de la FDSEA...
Dans nos départements ruraux, l’homme fort n’est ni le préfet, ni l’évêque, ni le président du conseil départemental mais bel et bien le président de la FDSEA locale. C’est lui qui réserve à ses petits copains les prêts, les meilleures terres, les meilleures ventes. Ce système féodal est évidemment l’une des premières causes de la catastrophe. Il faudrait donc, d’abord et de toute urgence, abattre cette Bastille syndicale et libérer notre agriculture.
https://dub128.mail.live.com/?tid=cmPBYU8Cgx5RGkZQAiZMJDPA2&fid=flinbox
Autrement dit, fonctionnarisés et syndicalisés sur le modèle CGT... (Tout comme nos entreprises à monopole d'état et notre Sécurité Sociale)
De ce côté, surement de gros problèmes de mauvaise gestion, surnombre de "fonctionnaires" = faibles présences au travail + faiblesse des horaires d'activités + combines syndicales...
Donc obligatoirement, des coûts de fonctionnement très élevés et une mauvaise rentabilité (improductivité) ...
Le tout, payé par les éleveurs et nos impôts communaux...
Une gestion au détriment du consommateur et des paysans avec sont cortège d'avantages acquits, "syndicalement et à vie" ...Vision d'un fonctionnaire déçu des avantages de son statut...
La mort programmée de notre Économie par une certaine gauche...
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http://corto74.blogspot.fr/search?updated-min=2015-01-01T00:00:00%2B01:00&updated-max=2016-01-01T00:00:00%2B01:00&max-results=50
La France envoie un commando de choc en Grèce !
Bon, vous n'êtes pas obligé de rire mais avouez que ce serait dommage de s'en priver... Le gouvernement se mobilise enfin et envoie un commando de choc en Grèce... pour sauver l'élevage français ! Avec ça, aucun doute, les barrages d'agriculteurs devraient être levés les uns après les autres.Tout est drôle dans ce communiqué, absolument tout, de A à Z.Je vous laisse avec Jean-Philippe " Harlem " Désir et vous invite à prendre connaissance de son CV officiel ICI (l’œil rigoureux aura remarqué que nulle mention n'est faite de ses condamnations passées), de sa déclaration de patrimoine ICI et de sa déclaration d’intérêt ICI; j'en ris encore.Absent pour toute la journée, je répondrais à vos commentaires en début de soirée !Bonne journée à tous, même en Socialie !D'accord, pas d'accord: atoilhonneur@voila.fr
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EN DIRECT - Éleveurs: Hollande se rend à Dijon, les blocages se poursuivent
Le Figaro - Le premier ministre a exhorté les éleveurs à lever les barrages après avoir pris connaissance en détail du plan d'aides présenté hier et que François Hollande ira défendre dans la matinée à Dijon. La tension reste vive dans le centre-est du pays. Les ...Beau voyage sous forte escorte policière et tri sévère des interlocuteurs, (que des favorables syndiqués à gauche), donc probablement, il n'en sortira que du vent règlementaire et un peu plus de dépenses gouvernementales...
Quand même, je trouve curieux qu'un ancien "président" de la Corrèze, pays d'élevage, ne connaisse pas mieux les problèmes (déjà anciens) des filières élevages et laitières...
Il est bien probable que cet homme, (avant tout un politique purement politicard et Énarque de naissance), ne se soit jamais occupé de ses filières autrement que pour serrer "électoralement" des mains lors des évènements agricoles locaux ou nationaux, (foires agricoles).La terre est basse pour un énarque...
Pour moi, qui suis Limousin, (même région), il y a deux possibilités, ou la libération totale du marché avec les conséquences favorables sur les prix, mais défavorables pour l'emploi agricole...
Le problème étant pour la France des réglementations, taxations et charges sociales internes, trop hautes, (les plus hautes du monde), pour rendre compétitive ou même tout simplement rentable, toutes activités compétitives, y compris l'agricole)...
Ou, la fixation par décrets trimestriels de prix agricoles minimums, (du déjà vu),permettant à nos paysans de continuer à produire traditionnellement et d'entretenir les campagnes françaises...
Bien sûr, ce ne sera pas gratuit, cela devra être financé par nos impôts et taxes, pour compenser les prix des marchés internationaux sur la france... (Comme pour les entreprises à monopole d'état).
Soit une nouvelle taxe pour financer les dégâts du déjà trop de taxes et charges ??? (système bien connus et apprécié politiquement en France)...
Un choix de Société...
Le limousin "bucolique" ...
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Phénomène apparemment inconnu de nos gouvernants et syndicats de gauche...
http://www.contrepoints.org/2015/07/22/215021
"Ces prétentions sont d’autant plus trompeuses que les soi-disant droits sociaux susmentionnés destinés aux salariés n’existent pas. Toutes les cotisations sociales et patronales, ainsi que les droits-créances tels que les congés payés que la bureaucratie prétend mettre en place au profit du travailleur sont en réalité financés en amputant la rémunération de ce dernier en amont, c’est-à-dire à la source, sans qu’il le sache. Ces dispositifs s’ajoutent au droit fiscal classique puisque les cotisations sociales ne sont pas des impôts d’un point de vue strictement juridique bien qu’elles restent des prélèvements obligatoires. L’artifice comptable qui permet de faire passer les cotisations sociales pour des cotisations patronales a très bien été décrit à de nombreuses reprises."
Pour eux, la hausse des prix ou la perte de compétitivité des produits français, C'est toujours la faute aux producteurs, transformateurs et commerçants, jamais à nos taxes et charges sociales les plus hautes du monde...
Et pourtant, notre perte de compétitivité à l'international y compris en France, c'est bien, notre taxation et nos charges sociales qui sont devenues au fils du temps et des besoins "illimités" de notre état, une totale aberration économique.Apparemment, à gauche, ils n'ont pas très bien compris...
Que personne ne voulait ou, ne pouvait plu payer !!!
En Grèce, les habitants redoutent une flambée des prix
Les banques ont rouvert en Grèce et les premières hausses de la TVA ont été appliquées. Comment les Grecs font-ils face à ces changements ? LireOui, ils vont avoir une hausse des prix en correspondance à la hausse des taxes et charges sociales qu'ils vont devoir payer... Ce, comme la France et tout autres pays n'ayant jamais assez pour payer les frais de fonctionnement de son état ou, souvent, ses habitudes de corruption...
Ceux voulus par les politiques et leurs nécessités de promesses "corruption" électorale. Ou encore, pour affiner, corruption due à la démagogie électorale, (promesses à tenir).
Soit, le problème "lui bien français", de nos agriculteurs et autres... Les prix à la consommation "augmentent" et personne ne gagne plu d'argent, sauf l'état et de plus, comme c'est encore insuffisant, il lui faut emprunterNouailhac - Grèce : les leçons d'un carnage médiatique
Les dix informations et éclairages sur la culture locale dont il faudra se souvenir lorsqu'éclatera la prochaine crise grecque. LireÀ la prochaine...
Tsipras a dit oui aux conditions européennes pour continuer à recevoir l'argent des contribuables Européens, il n'avait pas d'autre solution...
Les Grecs ont dit majoritairement oui à l'euro, ils savaient ce qu'ils allaient perdre en quittant l'Euro... (Inflation monstre correspondante à l'état économique du pays)
Mais, Tsipras, en contradiction avec ses électeurs...Et, les Grecs en contradiction avec leurs traditions...
Vont-ils tenir des promesses faites en totales contradictions avec leur culture et mode de vie ???
Et, encore plus difficile, avec l'habitude prise de vivre avec l'argent du contribuable Européen???
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