• La France continue à s'endetter... C'est une certitude...

    Plus aucune excuse pour nos mauvais gestionnaires.

     

    Pas tous complétement "cons", les Français, ils savent et juge...

     Pas le même, mais même méthodes...

     

    La dette publique s'envole en début d'année

    Le Figaro - Il y a 3 jours
     

    Plus d'actualités pour "endettement de la france 2015"

     

    Peut importe les excuses de notre actuel gouvernement, nous sommes partis pour rejoindre la Grèce dans sa ruine ...
     

    Pas tous complétement "cons", les Français, ils savent et juge...



    Tous, nous voyons les réalités d'un gouvernement "gauchisant" voulant faire du libéralisme contrains et "fonctionnarisé", soit la "quadrature du cercle"...

    Record d'emprunts d'état, pour le premier trimestre + 51 milliards à ajouter aux presques 2000 Milliards déjà existant. (Sans parler de celles des communes).

    Ce, juste pour financer "nos" politiques et "notre" fonction publique + ses assimilés... (Leurs surnombres et avantages sociaux).
     

    Pas tous complétement "cons", les Français, ils savent et juge...

    Et pas que lui, c'est tous...


    Peut-être que ce que je dis, (j'affirme), va être contesté par les sus nommés ??? http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=40 
     
     

    Pas tous complétement "cons", les Français, ils savent et jugent...



    Si oui, eux qui gèrent le pays, j'aimerais bien qu'ils me disent ou vont ces milliards empruntés aux noms de tous les français ???
     

    Pas tous complétement "cons", les Français, ils savent et jugent...



    Pas aux entreprises privées, elles ont leurs propres systèmes d'emprunts et payent elles-mêmes leurs intérêts d'emprunts ou et actionnaires, avec leurs bénéfices...

    Pas aux particuliers "les lambdas du privé", leurs salaires sont payer par les bénéfices des entreprises, s'ils ont besoin d'argent supplémentaire, ils s'adressent aux banques et payent eux mémé leurs intérêts ...

    Les chômeurs, ils ont cotisés ??? (On devient chômeurs quand l'entreprise qui vous emploie perd de l'argent ou va en perdre, "prévisions") ...

    La sécurité sociale ??? Nous avons les prélèvements les plus hauts du monde...

    Notre propre social ??? C'est stupide personne n'empruntera pour "donner" de l'argent aux pauvres...
     
    Peut être pour les retraités ??? ils ont cotisés... (là, comme un problème, tous les français ne sont pas égaux devant la retraite, ils y a les exceptions...)
     

    Pas tous complétement "cons", les Français, ils savent et juge...



    Mais alors qui utilise cet argent, ci ce n'est notre état pour son train de vie ??? (Et ses jeunes retraités, comme la Grèce)...


    Sa mauvaise gestion et en aggravant, sa gestion partisane...
     
     
    Mais comme dirait l'autre...

    Pas tous complétement "cons", les Français, ils savent et juge...

     

     

     

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  • Ils ont fini par comprendre que les générosités de gauche, c'était toujours avec leur argent ...

    Pourquoi des Podemos ou des Syriza ne marchent pas en France

    RT en Français  ‎  
    De Barcelone à Athènes, les partis de gauches se renouvellent. La France échappe encore à ce regain citoyen. La faute à la «panne institutionnelle» du pays selon le député socialiste Pouria Amirshahi, lequel appelle à un nouvel élan politique.
     
     

    Pas complétement "cons", les Français...

     La gauche française...
     
     
    Suite à l'élection de Hollande, (ils l'avaient un peu oublié depuis le passage de Mitterrand au pouvoir), nos braves Français se sont enfin souvenus que la gauche, plus elle était à gauche, moins elle était en capacité de faire le moindre apport économiquement ou moral au pays...
     
     

    Pas complétement "cons", les Français...



    Pour les Maires, conseils généraux, régionaux, et autres en surnombres, même problème, ces gens, plus ils sont à gauche plus ils ont tendance, "inutilement", (sauf pour leur porte monnaies et propres ambitions), à se multiplier et a multiplier le personnel de "leurs souvent inutiles et couteux" services, (de 2 à 3 doublons quand ce n'est pas plus), ce suivant les meilleurs traditions administratives de notre gauche syndicale...

    Ce qu'ils ne se sont pas rendu compte c'est que leur générosité électorale, (pour ne pas dire corruption électorale), c'était toujours avec l'argent du contribuable...
     

    Pas complétement "cons", les Français...



    Et biens sûr, naturellement "le contribuable et électeur" n'en veut plus, et ce, à leurs grandes surprises...
     

    Pas complétement "cons", les Français...

     


    Pourtant, en règle générale, tous ses conseillers généraux ou autres, ce sont de braves gens, souvent bons fonctionnaires, mais, sans aucune notion économique...

     

    Pas complétement "cons", les Français...

     

    Habituée qu'ils sont depuis des décennies à utiliser l'argent des autres pour satisfaire leur "bon cœur" électoral...
     
     

    Pas complétement "cons", les Français...

     

     
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  • Prêts à consonance "politiques", franco-européennes et, à fonds perdus ... 

    Et, devinez qui va payer l'adition ???

    Ni Hollande, ni ses amis politiques c'est sûr, de plus il a dit que notre économie se portait merveilleusement bien ???

    Dormez tranquille, braves gens...

     

    L'irresponsabilité des "élites" grecques, n'a en pendant que celle de ceux qui leur ont prêtés ...

     Il éponge pour vous ...

     

    Et c’est donc une belle sortie de route à laquelle nous avons assisté en fin de semaine dernière pour un pays pourtant piloté par la fine fleur de l’intelligentsia de gauche collectiviste : (de plus, soutenus par Le FN qui y voit l'avenir de sa politique de gauche). Malgré un programme politico-économique cuisiné aux petits oignons à base d’improvisation et de fuite en avant, à l’étonnement général, la Grèce se retrouve en fâcheuse posture, à quelques heures d’une échéance de remboursement trop importante pour ses finances exsangues.

    C’est ballot. Alors que la plupart des observateurs s’étaient déjà largement détendus et prévoyaient un retour à la normale avec un plan de sauvegarde (encore un) pour éviter au pays de sombrer au premier juillet, badaboum, c’est la déroute. Avec une finesse stratégique un peu difficile à décrypter, le premier ministre grec Tsipras est reparti chez lui en envoyant paître ses créanciers.

     

    Comme prévu, les Grecs ont continué de se ruer sur les distributeurs automatiques, pour sortir autant de liquide que possible dans l’hypothèse d’un gel des capitaux. Hypothèse qui s’est révélée très raisonnable et logique puisqu’il n’a pas fallu longtemps pour que le gouvernement ordonne une fermeture d’une semaine de toutes les banques du pays, et une restriction des retraits aux distributeurs. On peut à présent s’attendre à ce que cette situation dure quelques jours encore.

    Ceci dit, on ne pourra s’empêcher de féliciter Tsipras pour son idée de référendum. Certes, quelle qu’en soit l’issue, les problèmes économiques grecs ne seront pas résolus par une réponse par oui ou non à une question politique, mais pour le premier ministre grec, c’est finement joué : qui, à part quelque dirigeant européen vraiment pas doué en communication, pourra en effet lui reprocher de demander au peuple la direction qu’il veut prendre ?

    Et puis, soyons lucides deux secondes : peu importe effectivement la réponse qui, on s’en doute, servira bien plus d’exutoire au peuple que de solution réelle à ses soucis.

    S’il répond oui (et qu’il accepte donc le compromis qui avait été décidé il y a quelques jours), ce qui serait pour le moins surprenant compte-tenu de la façon dont ont été présentées les choses par l’actuel gouvernement, cela ravira peut-être les dirigeants de la zone euro qui pourraient dans ce cas desserrer leurs sphincters et relâcher un « ouf » de soulagement en imaginant pouvoir trouver, peut-être, une issue sinon heureuse du moins contrôlée à la sortie de route grecque. Mais le peuple aura mangé son pain blanc. Désavoué, Tsipras partirait peut-être, pour être remplacé par … On ne sait pas qui. Si le meilleur est possible, il est assez peu probable, au contraire du pire.

    S’il répond non, on rentre en terre inconnue, parsemée d’hypothèses rigolotes comme le retour à la drachme (qui irait immédiatement à la poubelle ou presque), une économie rapidement délabrée par l’impossibilité totale du gouvernement à se financer, et une austérité pratique et complète impossible à amoindrir pour le peuple … qui aura mangé son pain blanc. Tsipras aura bien du mal à rester vu le grabuge qui aura toute latitude pour s’installer.

    Vous avez noté que, dans les deux cas, le peuple grec prend cher. C’est triste, mais n’oublions pas que l’ensemble de la situation n’est pas non plus arrivée complètement par hasard. Les dix, vingt, trente dernières années d’empilement de décisions catastrophique, d’État-bien-trop-providence, de laxisme budgétaire total et décontracté, tout ça a été mis en place tant par le peuple que par les dirigeants qu’il s’est choisis. Certes, l’euro a accru les problèmes (comme le montre cet intéressant graphique ici), mais il ne les a pas créés en premier lieu.

    Cependant, parallèlement à ces considérations relativement peu réjouissantes, on se doit de noter que les Grecs, pas tous fous (loin s’en faut), ont réussi à sortir une somme assez coquette du système bancaire avant que celui-ci ferme son rideau. Et si on peut supposer que la baisse des fonds bancaires disponibles, quasi-continue depuis 2009 et qui se monte maintenant à plus de 60 milliards d’euros et atteint son plus bas depuis 10 ans, n’est évidemment pas entièrement due à un retrait des dépôts (l’appauvrissement du pays étant en soi une assez bonne raison), il n’en reste pas moins que depuis septembre 2014, 33 milliards ont été retirés des banques :

     

    L'irresponsabilité des "élites" grecques, n'a en pendant que celle de ceux qui leur ont prêtés ...

    Vision gauchisante de la banque...

     

    On peut raisonnablement penser que cette somme ne peut pas être entièrement imputée à l’évaporation de la richesse grecque. Autrement dit, les Grecs ont un bas de laine de plusieurs milliards d’euros en petites coupures, et il sera fort intéressant de voir comment ils vont s’en servir, surtout si le pays voit réapparaître une monnaie locale dont on imagine sans mal qu’elle ne pourra pas rivaliser avec l’euro. Par ailleurs, on ne peut s’empêcher de penser que les Grecs, pour disposer d’une telle somme, ont depuis longtemps compris ce qui les attendait, et qu’ils n’accordent en définitive qu’une confiance très modeste à leur gouvernement.

    Devant cette situation, on ne peut trouver qu’étrange la réaction immédiate du valeureux Gouroutoumou président français lorsqu’il déclare que la France n’a rien à craindre de la situation. Ce genre de déclarations péremptoires, faites par quelqu’un qui a plusieurs fois déclaré la crise finie, le chômage en baisse et la croissance de retour, devrait normalement déclencher une nervosité maximale chez tous ceux qui se rappelleront donc l’historique du pépère en matière de franchise, d’exactitude et de clairvoyance. Si les autres éléments ne vous ont pas fait paniquer, ce dernier est décisif pour passer en mode « danger immédiat ».

     

    grexit la france rien a craindre

     

    Pour lire la totalité de l'article:

    http://www.contrepoints.org/2015/06/30/212466-la-grece-entre-la-mort-et-le-suicide

     

    Autre point de vue...

    http://corto74.blogspot.fr/search?updated-min=2015-01-01T00:00:00%2B01:00&updated-max=2016-01-01T00:00:00%2B01:00&max-results=50

     

     

     

    Ci-dessous et même si je ne suis pas d'accord avec tout ce qui y est écrit, à lire, la tribune de Jacques Sapir publiée par le Figaro décrivant pourquoi la décision de Tsipras marque le retour de la démocratie dans l'espace européen. Que ceux qui le souhaitent et peuvent prennent le temps, auparavant, de lire l'article de Jean Quatremer  en lien ici : " Aux racines de la crise grecque ". L'engouement tout naturel que suscite la décision de Tsipras d'organiser un référendum ne doit pas occulter les responsabilités du peuple grec dans son ensemble pour cette crise dont on ne voit pas la fin...

     
    " Un spectre hante l'Europe:
     
    Alexis Tsipras, dans un geste que l'on peut qualifier de «gaullien», a décidé de convoquer un référendum le 5 juillet, demandant au peuple souverain de trancher dans le différent qui l'oppose aux créanciers de la Grèce. Il a pris cette décision devant ce qu'il faut bien appeler les menaces, les pressions, et les ultimatums auxquels il avait été confronté durant les derniers jours de la négociation avec la «Troïka», soit la BCE, la Commission Européenne et le FMI. Ce faisant, il a délibérément renvoyé au domaine politique une négociation que les partenaires de la «Troïka» voulaient maintenir dans le domaine technique et comptable. Ce geste a provoqué une réaction de l'Eurogroupe d'une extrême gravité. On le mesure au communiqué publié le samedi qui, dans une note de bas de page, confirme l'expulsion de fait de la Grèce hors de l'Eurogroupe. Nous sommes ici en présence d'un véritable abus de pouvoir qui a été commis ce 27 juin dans l'après-midi. Ce qui se joue désormais n'est plus seulement la question du devenir économique de la Grèce. C'est la question de l'Union européenne, et de la tyrannie de la Commission et du Conseil, qui est ouvertement posée.
     
    La déclaration d'Alexis Tsipras:
     
    Le texte de la déclaration faite par Alexis Tsipras dans la nuit du 26 au 27 juin sur la télévision d'Etat grecque est un exemple de probité démocratique. Devant le comportement de ses interlocuteurs, et en particulier ce qu'il appelle un ultimatum, le Premier ministre grec en appelle à la souveraineté du peuple. Le texte, de ce point de vue, est extrêmement clair:
     
    «Après cinq mois de négociations, nos partenaires en sont venus à nous poser un ultimatum, ce qui contrevient aux principes de l'UE et sape la relance de la société et de l'économie grecque. Ces propositions violent absolument les acquis européens. Leur but est l'humiliation de tout un peuple, et elles manifestent avant tout l'obsession du FMI pour une politique d'extrême austérité. (…) Notre responsabilité dans l'affirmation de la démocratie et de la souveraineté nationale est historique en ce jour, et cette responsabilité nous oblige à répondre à l'ultimatum en nous fondant sur la volonté du peuple grec. J'ai proposé au conseil des ministres l'organisation d'un référendum, et cette proposition a été adoptée à l'unanimité» .
     
    Ce texte court, empli de gravité et de détermination, entrera vraisemblablement dans l'Histoire comme l'une des déclarations qui font honneur à la démocratie. Ce texte dit aussi la colère, froide et déterminée, qui imprègne son auteur. Et c'est peut-être là l'échec principal de l'Eurogroupe et des institutions européennes: avoir transformé un partisan de l'Europe en un adversaire résolu des institutions européennes.
     
    Les enseignements de la déclaration d'Alexis Tsipras:
     
    Il convient de lire attentivement ce texte, qui n'est pas que de circonstances. En effet, on peut retirer de cette courte déclaration trois points importants.
     
    Le premier est que le désaccord entre le gouvernement grec et ses partenaires a été d'emblée politique. La BCE et la Commission Européenne n'ont eu de cesse que de rechercher une capitulation du gouvernement grec, ce que Tsipras appelle «l'humiliation de tout un peuple». Ce que cherche l'Union européenne, par le biais de l'Eurogroupe, c'est de cautériser le précédent ouvert par l'élection de janvier 2015 en Grèce. Il s'agit de faire la démonstration non seulement en Grèce, mais ce qui est en fait bien plus important en Espagne, en Italie et en France, qu'on ne peut «sortir du cadre de l'austérité» tel qu'il a été organisé par les traités comme l'avait affirmé dès l'élection du 25 janvier Jean-Claude Juncker, le Président de la Commission européenne.
     
    Le deuxième point important de cette déclaration est que, pour la première fois un dirigeant légalement élu et en fonction déclare que les institutions européennes font des propositions qui, dans leur fond comme dans leur forme «violent absolument les acquis européens». C'est une accusation très grave. Elle revient à dire que les institutions européennes qui sont censées être des garants de la démocratie agissent au contraire de celle-ci. Elle revient aussi à dire que ces mêmes institutions, dont la légitimité n'existe que par délégation de la légitimité des Etats membres ont des comportements qui violent la légitimité et la souveraineté de l'un des dits Etats membres. Cela revient donc à dire que les institutions de l'UE se sont constituées en Tyrannus ab exercitio soit en un pouvoir qui, tout en étant issu de procédures légitimes, se conduit néanmoins en Tyran. Cela revient à contester radicalement toute légitimité aux instances de l'Union européenne.
     
    Le troisième point se déduit des deux premiers. Il est contenu dans la partie du texte qui dit: «Notre responsabilité dans l'affirmation de la démocratie et de la souveraineté nationale est historique en ce jour, et cette responsabilité nous oblige à répondre à l'ultimatum en nous fondant sur la volonté du peuple grec». Il place désormais les enjeux non plus au niveau de la dette mais à celui des principes, de la démocratie comme de la souveraineté nationale. Et c'est en cela que l'on peut parler d'un véritable «moment gaullien» chez Alexis Tsipras. Il a osé poser la question de l'austérité et du référendum, et a reçu un soutien unanime, y compris des membres de l'ANEL, le petit parti souverainiste allié à SYRIZA. Il s'est ainsi réellement hissé à la stature d'un dirigeant historique de son pays.
     
    Le coup de force de l'Eurogroupe:
     
    La réaction de l'Eurogroupe ne s'est pas faite attendre. Le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, après avoir qualifié de nouvelle «triste» (sad) ce référendum , a demandé au Ministre grec, M. Yanis Varoufakis, de quitter la salle de réunion. Ce faisant, il a confirmé les options et les méthodes antidémocratiques qui ont cours aujourd'hui au sein de l'Union européenne. Au-delà des mots, il y a les faits, et ces derniers sont d'une extrême gravité. Dans un acte qui conjugue l'illégalité la plus criante avec la volonté d'imposer ses vues à un Etat souverain, l'Eurogroupe a décidé de tenir une réunion en l'absence d'un représentant de l'Etat grec. De fait, l'Eurogroupe a donc décidé d'exclure la Grèce de l'Euro. Ceci constitue à l'évidence un abus de pouvoir. Et il faut ici rappeler plusieurs points qui ne sont pas sans conséquences tant juridiquement que politiquement.
     
    1. Aucune procédure permettant d'exclure un pays de l'Union Economique et Monétaire (non réel de la «zone Euro») n'existe actuellement. S'il peut y avoir une séparation, elle ne peut avoir lieu que d'un commun accord et à l'amiable.
     
    2. L'Eurogroupe n'a pas d'existence légale. Ce n'est qu'un «club» qui opère sous couvert de la Commission Européenne et du Conseil européen. Cela signifie que si l'Eurogroupe a commis un acte illégal - et il semble bien qu'il en soit ainsi - la responsabilité en incombe à ces deux institutions. Le gouvernement grec serait donc fondé d'attaquer la Commission et le Conseil à la fois devant la Cour Européenne de Justice mais aussi devant la Cour Internationale siégeant à La Haye. En effet, l'Union européenne est à la base une organisation internationale. On le constate par exemple dans le statut, et les exemptions fiscales, des fonctionnaires européens. Or, la règle dans toute organisation internationale est celle de l'unanimité. Le traité de Lisbonne a bien prévu des mécanismes de majorité qualifiée, mais ces mécanismes ne s'appliquent pas à l'Euro ni aux questions des relations fondamentales entre les Etats.
     
    3. Le coup de force, car il faut l'appeler par son nom, que vient de faire l'Eurogroupe ne concerne pas seulement la Grèce. D'autres pays membres de l'Union européenne, et l'on pense au Royaume-Uni ou à l'Autriche, pourraient eux-aussi attaquer devant la justice tant européenne qu'internationale la décision de fait prise par l'Eurogroupe. En effet, l'Union européenne repose sur des règles de droit qui s'appliquent à tous. Toute décision de violer ces règles contre un pays particulier constitue une menace pour l'ensemble des membres de l'Union européenne.
     
    4.Il faut donc ici être clair. La décision prise par l'Eurogroupe pourrait bien signifier, à terme, la mort de l'Union européenne. Soit les dirigeants européens, mesurant l'abus de pouvoir qui vient d'être commis, se décident à l'annuler soit, s'ils persévèrent dans cette direction ils doivent s'attendre à une insurrection des peuples mais aussi des gouvernants de certains Etats contre l'Union européenne. On voit ainsi mal comment des Etats qui ont juste recouvré leur souveraineté, comme la Hongrie, la République Tchèque ou la Slovaquie, vont accepter de telles pratiques.
     
    Ceci révèle au grand jour la nature fondamentalement antidémocratique des institutions de l'UE et le fait que cette dernière soit en train de se constituer en Tyrannie. Le silence des principaux responsables tant du PS que de l'ex-UMP (rebaptisée «Les Républicains») en dit long sur l'embarras d'une partie de la classe politique française. On le comprend, sans l'excuser.
     
    Le spectre de la démocratie dans les couloirs de Bruxelles:
     
    En France donc, on ressent très distinctement le malaise que provoque l'initiative d'Alexis Tsipras. Que ce soit au Parti Socialistes ou chez les «Républicains», on ne peut ouvertement s'opposer à une telle décision sans contredire immédiatement et brutalement tous les discours qui ont été tenu sur la démocratie. Mais, en réalité, le référendum grec fait planer le spectre d'un autre référendum, celui de 2005 sur le projet de traité constitutionnel en Europe. La manière dont la classe politique française, dans sa large majorité, de Nicolas Sarkozy à François Hollande en passant par les Aubry, Bayrou, Juppé et autres Fillon, avait été désavouée par la victoire du «Non», mais avait fait passer en contrebande à peu de choses près le même texte lors du Traité de Lisbonne qui fut ratifié par le Congrès à Versailles, est l'un des épisodes les plus honteux et les plus infamants de la vie politique française.
     
    On ne peut, et on ne doit, préjuger du résultat de ce référendum. Mais on doit souligner qu'il représente le retour de la démocratie dans un espace européen dont elle était absente. Il est probable que les partis d'opposition, que ce soit Nouvelle Démocratie ainsi que le Parti de centre-gauche La Rivière (To Potami) protestent et cherchent à empêcher par divers recours légaux ce référendum d'avoir lieu. Ces réactions sont exemplaires des comportements antidémocratiques qui s'épanouissent aujourd'hui en Europe. Ils apportent de l'eau au moulin d'Alexis Tsipras. On sent comment les acteurs européistes de ce drame sont aujourd'hui terrorisés par le spectre de la démocratie.
     
    Alexis Tsipras ne doit ainsi pas s'attendre à un quelconque soutien de la part de François Hollande, n'en déplaise à Mélenchon. Notre Président est renvoyé sans ménagement à sa propre médiocrité. Il ne doit pas s'attendre au moindre merci d'Angela Merkel dont la politique est la véritable cause de cette crise. Mais il peut s'attendre au soutien de tous ceux qui, en Europe, se battent pour la démocratie et la souveraineté."
     

    L'irresponsabilité des "élites" grecques, n'a en pendant que celle de ceux qui leur ont prêtés ...

     
    Mon point de vue ...
     
    Nous ne pouvons pas indéfiniment payer pour des reformes "structurelles" que les Grecs rechignent à faire... 

    Ils ont élus une extrême gauche, soutenue par l'extrême droite pour essayer d'éviter ces reformes. 

    Réformes "structurelles obligatoires" non encore totalement réalisées en France, car très impopulaires dans le petit monde fonctionnarisé du parti politique au pouvoir, le PS et nos, ses syndicats politisés...
     
     
    (D'ou le dilemme de Hollande)
     
     
    Mais, réformes quand même obligatoire, avant que nous n'arrivions à la catastrophe grecque...
     

    L'irresponsabilité des "élites" grecques, n'a en pendant que celle de ceux qui leur ont prêtés ...

     

     

     

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    Népotisme : comment François Hollande place ses amis
     
    FIGAROVOX/HUMEUR - Eric Verhaeghe revient sur la a nomination de Claude Revel, ancienne de la promotion Voltaire, comme conseillère de la Cour des Comptes en service extraordinaire. Les émoluments de cette dernière seront de 15 000 euros.

     

    C'était une des grandes accusations de la gauche contre la droite, mais là, record absolu...

    A la votre, Messieurs les cochons de payeurs

     

    Et de plus, il ne sert a rien...

     

    C'était une des grandes accusations de la gauche contre la droite, mais là, record absolu...

     

    Hollande, comme la prostate…

    by tdesjardins

    Clemenceau qui était médecin et qui avait été battu à la présidentielle disait souvent qu’il y avait deux choses totalement inutiles sur cette terre : la prostate et le président de la République.

    Pour ce qui est de la prostate, cela ne fait plus débat depuis longtemps ; Clemenceau avait raison. Et pour ce qui est du président de la République, on est bien obligé de reconnaitre que François Hollande qui n’est pas un lion fait tout pour donner raison au Tigre. Oui, à quoi ce président sert-il donc aujourd’hui ? Evidemment, à rien.

    Prenons les événements de ces jours derniers où l’actualité a été aussi lourde que variée puisque nous avons eu, coup sur coup, l’affaire des écoutes de la NSA, la querelle des taxis, la crise grecque poussée à son paroxysme, le carnage de Sousse et l’attentat (avec décapitation) de Saint Quentin-Fallavier en Isère.

    C’est-à-dire que ce que Manuel Valls se résout –enfin et heureusement- à appeler « la guerre de civilisation » a pris une nouvelle ampleur ; que l’Europe qui devait nous sauver de tout vacille comme elle ne l’a jamais fait ; qu’une nouvelle catégorie professionnelle est au bord de l’explosion ; et que des révélations (dont personne ne voulait entendre parler) nous ont clairement confirmé, une fois de plus, que nos « amis » américains étaient les plus forts et qu’ils nous méprisaient souverainement.

    A chaque fois, pour chacun de ces « dossiers », Hollande a cru devoir sortir de sa boite et jouer les chefs d’Etat. Se prenait-il pour de Gaulle, pour Churchill ou pour Roosevelt ? On ne sait pas. Mais à le voir plastronner ainsi dans la cour de l’Elysée devant les caméras, le « petit » se prenait visiblement pour un « grand ».

    Se voulant ferme, digne et énergique en montant sur ses petits ergots, il faisait savoir à Barack Obama qu’il était inadmissible que les services secrets américains aient osé espionner tous les dirigeants français et qu’il ne fallait surtout pas que cela continue. Il a même pris son téléphone pour appeler la Maison-Blanche. On imagine le sourire goguenard du président américain en écoutant les jérémiades du petit français.

    Ensuite, ce même président de la République française faisait savoir aux chauffeurs de taxi qu’il ne tolérerait aucune violence et que les taxis sauvages seraient poursuivis. Les uns n’ont visiblement pas été convaincus et préparent de nouvelles actions coups de poing. Les autres n’ont visiblement pas eu peur et continuent à charger des clients.

    A propos de la Grèce, sûr de lui comme de l’univers, Hollande nous a annoncé, le plus sérieusement du monde, qu’un accord allait être trouvé, qu’Athènes ne quitterait jamais l’Europe, en nous laissant même entendre qu’il avait pratiquement tout arrangé à Bruxelles, en calmant les exigences et surtout l’intransigeance d’Angela Merkel. Tout le monde nous annonce aujourd’hui qu’en organisant un référendum Tsipras a rompu toutes les négociations et que les Grecs vont dire « non » à Bruxelles, à Merkel, au FMI, à la terre entière.

    Mais c’est, bien sûr, à propos du terrorisme, qu’Hollande a poussé le bouchon du ridicule le plus loin. C’était sur le thème : « Dormez braves gens, je suis là et je m’occupe de tout ». Il nous demandait simplement d’être tous derrière lui en retrouvant, naturellement, le fameux « esprit du 11 janvier » (qui n’a jamais existé ailleurs que dans la gamberge machiavélique des communicants du régime). Là, ce sont « les gentils djihadistes » qui coulent des jours heureux dans les 90 mosquées salafistes de France et constituent la base de la fameuse « 5ème colonne » qui ont dû rigoler.

    Que le président de la République française condamne le terrorisme islamiste, qu’il espère que la crise grecque trouvera rapidement une issue, qu’il tente de calmer les chauffeurs de taxis et qu’il ne soit pas content que la NSA et la CIA l’écoutent roucouler au téléphone avec Julie Gayet, on le comprend.

    Mais le rôle d’un président n’est pas de geindre, de pleurnicher, de brûler des cierges, de faire des incantations. En clair, de démontrer en permanence qu’il est totalement inutile, comme une potiche, qu’il ne sert à rien, comme la prostate.

    Obama, le moindre chauffeur de taxi, Angela Merkel, Alexis Tsipras, les « émirs » de nos mosquées plus ou moins souterraines mais aussi les rois et roitelets du pétrole qui financent le terrorisme islamiste, tous le considèrent comme quantité négligeable. Tous ont compris depuis trois ans qu’à part les envolées lyriques d’une autre époque et les blagounettes de sous-officiers, Hollande ne savait qu’inaugurer les chrysanthèmes.

    Certes, il est capable d’envoyer nos soldats dans les dunes du Mali et nos Rafales au-dessus des sables de l’Irak mais il est incapable de désarmer la « racaille » (comme disait un autre qui n’a pas été plus brillant) ces islamiste qui pourrissent la vie de centaines de quartiers dans le pays en terrifiant les derniers blancs qui s’y trouvent et en préparant la victoire du Prophète. Incapable d’expulser les imams étrangers qui prêchent de djihad. Incapable de tenir un langage de fermeté aux commanditaires de cette guerre contre l’Occident

    Le scandale de la NSA, l’insurrection des chauffeurs de taxis, l’agonie de la Grèce, la tragédie tunisienne et le drame de Saint Quentin Fallavier, viennent, en quelques jours, de démontrer une nouvelle fois à quel point 51% des Français se sont trompés, il y a trois ans. Pour leur défense, ils peuvent toujours dire qu’ils n’avaient guère le choix.

    https://dub130.mail.live.com/?tid=cmjuSMj9kd5RGVgWw75adL4g2&fid=flinbox

     

    C'était une des grandes accusations de la gauche contre la droite, mais là, record absolu...

     

     

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  • Dernières nouvelles, Valls et son gouvernement viennent de se rendre compte que les islamistes avaient déclarés la guerre à la France, (entre autres), mais plus généralement à l'occident...

    Et que ça va Durer ???

     

    Ils se réunissent et nomment une commission pour prendre de rapides décisions...

    Chites ou Sunnites, religieux intégristes ou laïcs, même "basiques" du FN ou Bobos de gauche...

     

    Et il va y en avoir des grands mots et des grandes phrases...

    La france des "bisous-nounours", entre en guerre contre les islamistes ...

     

    Intégrisme...

     

    Des Intégristes il y en a partout, Islamistes, Catholiques, communistes, FN, et j'en oublis, soit tous les partisans de solutions "extrêmes" et souvent "violentes" pour mettre en avant leurs idées religieuses ou politiques ou leurs utopies.

     

    Tous autant intégristes, les uns que les autres, mais sur le fond, le Français lambda, lui, il s'en fout totalement des dérives utopiques d'une minorité de fous en tous genres...

    Ce qu'il veut, c'est sa sécurité ...

     

    Chites ou Sunnites, religieux intégristes ou laïcs, même "basiques" du FN ou Bobos de gauche...

     

    Mais voila, pas eux nos intégristes, tous, ils ont un gros problème, c'est "l'intolérance"...

     

    Chites ou Sunnites, religieux intégristes ou laïcs, même "basiques" du FN ou Bobos de gauche...

     

    De par nos libertés civiles et religieuses, nous sommes devenus les ennemis déclarés de l'islam lui, particulièrement intolérants... (presque autant que nos antiracistes)...

    Donc, "islamistement", nous sommes devenus l'ennemi occidental, (notre péché mortel, la tolérance), tolérance, à détruire par tous les moyens...

     

    Chites ou sunites, en france l'on s'en fout... Mais voila, nous sommes des occidentaux...

     

    "Il n’empêche que, tout sunnite qu’il soit, cet Etat Islamique a aussi déclaré la guerre à l’Occident comme l’avait, d’ailleurs, fait l’Iran chiite de l’ayatollah Khomeiny. Sunnites et chiites peuvent s’entretuer depuis des siècles, leur premier ennemi n’en reste pas moins l’Occident judéo-chrétien, avec sa démocratie, ses Droits de l’Homme, sa parité hommes-femmes, ses mœurs dépravées de mécréants. L’Islam, qu’il soit sunnite ou chiite, a une fantastique revanche à prendre contre cet Occident qu’il hait, qui l’a opprimé si longtemps et qui reste encore plus ou moins (et de moins en moins) le maitre du monde."

    "Quand le porte-parole de l’Etat Islamique a demandé à tous les Musulmans de la planète de transformer ce mois de Ramadan en enfer pour tous les mécréants, il ne visait pas (seulement) les chiites mais, bien évidemment et avant tout, tous les Occidentaux."

    Chites ou sunites, en france l'on s'en fout... Mais voila, nous sommes des occidentaux...

     

    "Après nous avoir raconté que l’Islam était une religion « de paix et de tolérance », parfaitement compatible avec notre démocratie et notre société, voilà qu’ils nous disent maintenant que nous n’avons rien à craindre, même s’ils nous décapitent, car ils n’ont qu’un seul ennemi, leurs frères chiites.

    Finalement, on va s’apercevoir que le slogan (fort contestable) « Nous sommes tous Charlie » risque bien d’être plus exact qu’on ne le pensait. Oui, nous risquons tous d’être massacrés comme les dessinateurs de Charlie, et même sans être chiites."

    Chites ou sunites, en france l'on s'en fout... Mais voila, nous sommes des occidentaux...

     

    Mais nous en France, celle de nos bisous nounours et autres bobos, on dit:

    " Je veux dire aux français de confession musulmane, vivez intensément ce moment, vivez le au plus profond de vous-mêmes et au moment où vous le vivrez, pensez à la République [...] et la République a besoin des Français de confession musulmane pour porter haut et loin ses valeurs ". Le même Cazeneuve qui avait déclaré le 26 mai 2014: " Aux jeunes qui partent en Syrie, je veux dire qu’il y a 1 000 combats à mener dans la République, pour la France. "

     
    Il semblerait que Yassin Salhi, 35 ans, " un père de famille tout à fait ordinaire, sympa, gentil, quelqu'un de très bien qui a une petite barbe comme tout le monde, qui joue avec les enfants ", ait reçu parfaitement le message... Oups, comme dirait l'inénarrable Cambadélis: " Grande émotion devant cet attentat et son mode opératoire. Restons unis. Pas d'amalgames. Ne jouons pas sur les peurs." Pas d'amalgame...
     
     

    Chites ou sunites, en france l'on s'en fout... Mais voila, nous sommes des occidentaux...

     

    Ne pas faire l'amalgame ??? Entre qui, les musulmans ou les musulmans, comment les reconnaitre, dilemme ...

     

    Textes pris sur: http://www.contrepoints.org/  -  http://corto74.blogspot.fr  -  http://www.thierry-desjardins.fr

     
     
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