• Niger, pays du sahel ...

     

    Comment ne pas faire le rapprochement entre le piratage en mer et les pirates des sables du Mali ...

     

    Un tanker français aurait été capturé au large de la Côte d'Ivoire

    ABIDJAN (Reuters) - Un pétrolier français dont on est sans nouvelles depuis dimanche matin au large de la Côte d'Ivoire est probablement aux mains de pirates nigérians, a déclaré lundi le Bureau maritime international (BMI). Il y a 17 membres d'équipage à ...

     

     

     

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    Fermetures d'usines

    Le grand problème et, en non résolu du côté gouvernemental est,

    le pourquoi ?

    À savoir, qu'il n'existe aucune solution politique possible, sans mettre sur la table "le pourquoi" du problème!


    Au très urgent, comment, résoudre le problème ?

     

    1.087: c'est le nombre d'usines qui ont fermé en France depuis 2009

    Depuis 2009, plus d'un millier d'usines ont dû mettre la clef sous la porte. C'est le bilan inquiétant dressé par le cabinet de veille économique Trendeo. Sur le même sujet. Quels sont les pays les plus dynamiques dans le domaine industriel ?

    Ce pourquoi, semble bien être un probleme de côut et de manque de maîtrise de notre gestion étatique ...

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  • Légiférer sur une politique d'utilité publique ou, enfumage politique

    Notre assemblée nationale légifère à grands fracas et discours sur le mariage Homo... Week-end compris, si je comprends bien, une très grande urgence...

     

    Pourtant,

     

    Problème, sans grande urgence nationale et de plus ne concernant que quelques milliers de personnes...

     

    Autres possibilités de légiférer, d'urgentes à très urgentes …

     

    Le «on» représentant l’irresponsabilité de nos dirigeants politiques, Gauche / Droite.

     

    Sur le grave problème des (3 à 7 millions) de chômeurs, ou de «sans travail», «l'on» légifère en urgence sur le code du travail (+ de 3000 pages illisibles et inapplicables), «on» laisse couler, «l'on» s'en fout, pourvu que (l'on) puisse garder ses propres avantages sociaux?

     

    Sur le problème des banlieues, liés aux problèmes de l’éducation, de la justice et des prisons,  «l'on» légifère en urgence sur les solutions possibles à apporter, «on» laisse couler, où, «l'on» s'en fout, pourvu que «l'on» puisse garder ses avantages sociaux?

     

    Sur les raisons de la délocalisation où, au choix de la fermeture des entreprises en France,  «l'on» légifère en urgence sur les solutions possibles à apporter, «on» laisse couler, où, «l'on» s'en fout, pourvu que «l'on» puisse garder ses avantages sociaux?

     

    Sur le grave problème de syndicalistes politique, plus enclin à casser de l'entreprise du patron et de l'emploi, par intérêt purement politique que de chercher une solution à nos problèmes de compétitivité à l’international, on légifère en urgence sur les solutions possibles à apporter, «on» laisse couler, ou «l'on» s'en fout, pourvu que (l'on) puisse garder ses avantages sociaux?

     

    Sur les coûts de notre fonction publique, son surnombre, ses avantages sociaux illégitimement gagnés à la force de grèves paralysantes et de clientélisme électoral, «l'on» légifère en urgence sur les solutions possibles à apporter, «on» laisse couler, où, «l'on» s'en fout, pourvu que «l'on» puisse garder ses avantages sociaux?

     

    Sur la hausse régulière de la pauvreté en France,  «l'on» légifère en urgence sur les solutions possibles à apporter, «on» laisse couler, où, «l'on» s'en fout, pourvu que «l'on» puisse garder ses avantages sociaux?

     

    Sur le grand problème des sans-abri et des mals-logés et même tout simplement du logement, «l'on» légifère en urgence sur les solutions possibles à apporter, «on» laisse couler, où, «l'on» s'en fout, pourvu que «l'on» puisse garder ses avantages sociaux?

     

    Sur le grand problème de notre sécurité sociale, (déficits, organisation, financements), «l'on» légifère en urgence sur les solutions possibles à apporter, «on» laisse couler, où, «l'on» s'en fout, pourvu que «l'on» puisse garder ses avantages sociaux?

     

    Sur les problèmes liés aux retraites, problèmes inévitables dans la conjoncture et la situation du vieillissement de la population en France et même en Europe,  «l'on» légifère en urgence sur les solutions possibles à apporter, «on» laisse couler, où, «l'on» s'en fout, pourvu que «l'on» puisse garder ses avantages sociaux?

     

    Et tant d'autres urgences nationales ...

     

     

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  • Et si la guerre au mali relançait notre économie, emplois liés à la production d'armement (production de renouvellement), vente à l'étranger de nos avions et de notre matériel militaire terrestre.

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  • Le travail en France, son coût réel et son organisation, un tout liés à des mots galvaudés.

    Emplois, patrons, chefs d'entreprises, investisseurs, bénéfices, richesse, délocalisations, risques, sécurité sociale, ...

    Puis très liés, ou même dépendant de ...

    Chômage et indemnisation, salaires, RSA et pauvreté, aides sociale, heures travaillées, licenciement, syndicats, réglementations, code du travail.

    Patrons, chefs d’entreprises, investisseurs, bénéfices et richesse, des mots rejetés par la partie gauchisante de la société française ???

    Pourquoi ? Un grand mystère pour un pays démocratique et sur le fond riche ...

     

     

    Liés à travail et chômage, une vision typiquement françaises!

     L'emploi, doit être «à vie» ?

    L'entreprise, elle, a toujours une durée de vie liée à ses productions à ses marchés, à sa rentabilité, donc toujours limité ...

    Ce qu'il fait qu'elle reste toujours «liée au mot risque», tout le monde le sait ... Mais, fait semblant de ne pas savoir donc, antagonisme avec le mot «à vie»...

    Ce grand principe « du risque entrepreneurial» est international, une entreprise n'existe que si le gouvernement dont elle dépend sait organiser et synchroniser cet ensemble fragile, «entreprises, taxations, emplois», dont, le résultat final est, le plein-emploi ou le chômage .

     

    Une entreprise doit obligatoirement gagner de l'argent pour investir et pour payer ses salariés, sont patrons et ses actionnaires)...

     

    Même si certains syndicats politisés disent le contraire, une sorte de déni des réalités.

     

    Dans entreprise, il y a un mot ou un réflexe de survie qui situe le problème...

    Les délocaliseurs, des salauds... 

    Mais pourquoi, ils délocalisent leurs entreprises?

    Ce devrait être la première saine réaction avant de traiter les délocaliseurs de salauds.

     

     

    Sécurité sociale et social, en France, très dépendant de l'entreprise, ne peuvent fonctionner que si le travail productif peut les financer .

    Seuls les «bénéfices du travail», mot très généraliste comprenant les emplois, les salaires, et toutes autres rémunérations liées à ses emplois, sont à même de financer ses deux grands principes français, le social (CAF) et, la sécurité sociale (maladie)...

     

    Donc, vouloir avoir des patrons et des investisseurs qui perdent de l'argent ou qui n'en gagnent pas ...

     

    C'est être contre l’emploi, contre le sociale, pour la pauvreté et pour la délocalisation...

     

    Notre grand problème actuel...

     

     

    La seule réponse possible, reste d'avoir des entreprises rentables, donc faisant des bénéfices, ce qui n'est pas une évidence quand ceux qui vivent de ses bénéfices les critiquent et leur refusent le droit d'exister... Ce en taxant au maximum, même au-dessus des possibilités, (la confiscation) de ses bénéfices pour un avantage particulier, celui de l’état et se ses intervenants...

    Taxations, qui si exagérés, est toujours au détriment des entreprises, entrepreneurs, investisseurs et employés produisant ses bénéfices.

    Cette production de bénéfices, étant absolument commune a l'activité de tous les intervenants de l'entreprise ci-dessus nommés, en supprimer ou amoindrir un, c'est aussi supprimer les autres... (Un équilibre encore à trouver).

    Les nationalisations ne règlent aucunement le problème, l’échec du communisme l'a prouvé...

    Seul, l'équilibre des taxations, des salaires et autres rémunérations du travail et du social, toujours Payer par les bénéfices des entreprises (même dans les systèmes socialistes ou communistes). Peuvent assurer la pérennité des systèmes emplois et social...

    Une pérennité en permanence remise en question avec l'internationalisation du travail, du commerce et de l'industrie. (Sans retour possible, c'est l’évolution naturelle de la race humaine)

    Font que nos blocages syndicaux qui s’arquent boutent sur un code du travail obsolète et incompréhensible, de plus inutilisable à l’international.

    Liés aux taxations abusives de l'Etat. (Toujours en rapport de l’internationalisation des productions industrielles)

     

    Restent à eux deux, nos meilleurs pourvoyeurs de recul, de chômage, et de pauvreté.

     

     

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